Peut On Penser Sans Livres

salamandre, reconnu pour être un animal qui provoque des inflammations, représente les camions de pompier qui mettaient le feu aux maisons. 2) La première partie dure environ une semaine, peut-être un peu plus. 3) Une preuve évidente est le fait que depuis déjà un temps, il avait commencé à ramasser des livres de un peu partout, et les avait cachés dans le climatiseur pour les lire. Montag se questionnait sur l’homme, le passé, et la forme que leur société était entrain de prendre. 4)

paquet ne contenait rien d’autre que des livres. Voyant mes parents souriants, ravis, fiers de leur trouvaille, je fis mine d’être satisfaite et les embrassais. Mam mère s’approcha de moi et me glissa au creux de l’oreille « Fais en bon usage, ma Chérie ». À cet instant précis, je ne compris pas la signification de son propos. Je la compris bien plus tard. Ce cadeau contenait deux livres. Le titre du premier me laissa perplexe, je ne savais quoi en penser : Deux jours à tuer de François d’Epenoux

plaisirs minuscules écrit par Philippe Delerm.]3[ Chacun de ses auteurs défend une certaine conception du livre et de la lecture. Pour Rousseau, non sans paradoxe pour un philosophe, les livres sont néfastes. « Je hais les livres »l.1 écrit-il avant de se justifier en expliquant que la trop grande quantité de livres publiés nuit à la formation de l’esprit. En effet, pour lui, les hommes se dispersent, négligent leurs qualités individuelles de réflexion en se limitant à un vernis culturel de vagues

comme par exemple le visage de la guerre. Donc sur cette peinture on peut voir un gigantesque visage humain qui occupe toute la toile, la lumière le met bien en valeur elle reflète sur la partie droite du visage puis nous pouvons voir son ombre apparaitre derrière celui-ci. Ce visage est entourrés de serpent brun, en bois; telle la tête de méduse on peut penser que ces serpents cherchent à mordre et à blaisser Cela peut symboliser les attaques constantes des personnes souffrantes de la guerre

PREPARATION : Thème : Les écrivains peuvent-ils changer la société ? Thèse : 1) Oui, car la population moyenne a tendance à suivre les façons de penser des plus lettrés qu’eux, elle peut penser qu’ils montrent un exemple d’une certaine sagesse, ils peuvent donc utiliser cette influence pour dénoncer les injustices qu’ils décèlent dans la société (Candide, Voltaire) 2) Oui, car ils font prendre conscience ( "souvenirs de la nuit 4" dans Les Châtiments de V.Hugo et aussi Germinal de Zola)

de nombreuses figures de style, proprement « bradburien ». Le roman décrit une société du futur (par rapport à l’auteur) dans laquelle la lecture des livres, source de questionnement et de réflexion est strictement prohibée par le gouvernement, car considéré comme un acte antisocial. Un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres ; or le pompier Montag se met pourtant à remettre en question cette société où le bonheur est devenu un bien de consommation. Dans le cadre de l’épreuve

Sujet : Montaigne a dit : « Fâcheuse éducation qu’une éducation purement livresque » Introduction Quand Montaigne affirme que « l’éducation purement livresque » est un regrettable voire déplorable moyen d’éducation, il n’est pas le seul à le penser à son époque. Le terme très restrictif « purement » donne à cette affirmation un caractère d’exclusivité dont nous exposerons les dangers. Pourtant, sans aller jusqu’à l’exclusion totale du livre dans l’éducation, cette expression laisse toutefois

« Multiples sont les apports de la lecture d’œuvres littéraires » ; tout d’abord voici la preuve que les livres peuvent nous procurer des sensations : La lecture est un moyen de nous détendre, de nous décontracter. Cela nous donne l’opportunité d’oublier le monde réel qui est autour de nous pour nous plonger dans le monde imaginaire de la littérature. Il est souvent difficile de se relâcher, d’évacuer tout le stress de la vie quotidienne ; on n’a toujours peur de ce qu’il va se passer par la suite

plus vivre par influence, par contagion, mais pour reconnaître, choisir son propre chemin et devenir soi-même." Mais le livre est-il uniquement un outil de liberté ? Nous verrons qu'il peut effectivement être un outil de liberté, mais qu'il ne se définit pas uniquement par rapport à celle-ci. Le livre peut tout d'abord être un outil de liberté car il permet l'accès à la connaissance. D'après Guéhenno, le livre est un outil de liberté car il nous aide à forger notre propre jugement et à agir

renoncé à son droit d’agir suivant le seul décret de sa pensée. C’est donc seulement au droit d’agir par son propre décret qu’il a renoncé, non au droit de raisonner et de juger ; par suite nul à la vérité ne peut, sans danger pour le droit du souverain, agir contre son décret, mais il peut avec une entière liberté opiner (1) et juger et en conséquence aussi parler, pourvu qu’il n’aille pas au-delà de la simple parole ou de l’enseignement, et qu’il défende son opinion par la raison seule, non par