Peut On Refuser La Vérité

s’est joué de la mort et l’a enchainé → Refus de mourir alors que la mort est inévitable. 2. Il offense Zeus, il le trahit en révélant son secret. Il est donc puni et doit accomplir une tâche « inutile et sans sens » : rouler sans cesse un caillou en haut d’une montagne → Vie absurde, qui n’est qu’un éternel recommencement. 3. Dans sa deuxième vie, il refuse de retourner aux Enfers comme il l’avait promis : volonté à tout prix de rester en vie → Refus de mourir alors que la mort est inévitable

alors du principe que l’art doit représenter , figurer et donc imiter quelque chose, et qu’il ne peut pas ne pas puiser matière et inspiration dans la réalité. - Pour Aristote, l’imitation est naturelle chez l’homme , on apprend en imitant et au travers de l’imitation, que ce qu’on apprécie dans l’imitation, c’est le fini dans l’exécution, l’habileté technique de l’artiste ( ou artisan?). L’art peut aussi par là immortaliser ce qui  n’est que fugace ou mortel ( portrait) , nous renseigner sur ce

joue pas le jeu... La réponse est simple: il refuse de mentir. » Meursault ne veut pas suivre les règles de vie que les gens acceptent pour vire le mieux possible car il préfère être honnête avec lui-même. La vie en communauté demande certaines obligations telles que réagir de façon adéquate suivant les circonstances car lorsque l'on vit en société il faut s'octroyer les bons comportements. Or Meursault ne peut pas s'intégrer dans ce milieu car il refuse d'être infidèle à sa conscience et à son corps

affirmée comme pouvoir de réflexion et de synthèse, la conscience est sérieusement mise en cause depuis le XIXe siècle, d'abord par des philosophes, puis par la psychanalyse : il en résulte qu'on peut être tenté de n'y trouver désormais rien de plus qu'une source de tromperie sur ce que peut être la vérité d'un sujet. C'est particulièrement dans la « prise de conscience » – lorsque le sujet prétend mieux saisir ce qui se passe, aussi bien en lui qu'au-dehors – qu'interviendrait, et obligatoirement

comme la terreur, la pitié, la crainte. Aujourd'hui on dirait que le théâtre (mais aussi le roman, le cinéma) permet de nous délivrer de certaines angoisses. On peut se demander de quelles angoisses peuvent nous délivrer les morts de Juliette, de Ruy Blas, de Dom Juan. L'angoisse de la mort ? Ces pièces nous donnent l'illusion qu'on peut l'affronter bravement. Et que l'immortalité est à portée des hommes.  Les personnages héroïques nous permettent de vivre par procuration des sentiments extrêmes

comme la terreur, la pitié, la crainte. Aujourd'hui on dirait que le théâtre (mais aussi le roman, le cinéma) permet de nous délivrer de certaines angoisses. On peut se demander de quelles angoisses peuvent nous délivrer les morts de Juliette, de Ruy Blas, de Dom Juan. L'angoisse de la mort ? Ces pièces nous donnent l'illusion qu'on peut l'affronter bravement. Et que l'immortalité est à portée des hommes.  Les personnages héroïques nous permettent de vivre par procuration des sentiments extrêmes

consentement. De l’absence du principe qu’est la justice au consentement à l’autorité établie la conséquence est bonne. L’ambition pascalienne est de comprendre l’ordre politique, cad la réalité que constitue la vie politique, par l’imagination, qui est la vérité de cet ordre, qui donne à cet ordre son sérieux, sa consistance, et de retenir une leçon pratique de cette compréhension. Il ne faut pas remettre en cause l’efficace politique de l’imagination, sauf à mettre en péril l’ordre politique puisqu’il tient

connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le cœur ». Le mot « vérité » est unique, mais a-t-il une seule ou plusieurs significations ? Y a-t-il un seul type de vérités, ou plusieurs, et la connaissance de la vérité, de même, est-elle unique ou multiple ? Plus précisément, ne doit-on considérer comme vrai que ce que l’on peut connaître avec certitude, parce que cela a été prouvé ou démontré par la raison ? Y a-t-il un sens à parler de vérités religieuses et peut-on légitimement

avant qu'on se soit instruit. Le préjugé fait qu'on s'instruit mal. Le préjugé peut venir des passions ; la haine aime à préjuger mal ; il peut venir de l'orgueil, qui conseille de ne point changer d'avis ; ou bien de la coutume qui ramène toujours aux anciennes formules ; ou bien de la paresse, qui n'aime point chercher ni examiner. Mais le principal appui du préjugé est l'idée juste d'après laquelle il n'est point de vérité qui subsiste sans serment à soi ; d'où l'on vient à considérer toute opinion

tolérance pointé par K. Popper. Mais on peut se demandant aussi si toute opinion parce qu’elle est avant tout une conviction, n’est pas porteuse d’intolérance pour ce qui la met en cause. Enfin, du point de vue de quelqu’un qui posséderait la vérité sur un sujet, toute opinion à ce sujet ne serait-elle pas intolérable dans la mesure où la conviction propre à l’opinion s’oppose aux critères de validités rationnels propres à la vérité ? Mais alors ne serait-ce pas la vérité de l’intolérance contre celle propre