Peut On Satisfaire Tous Nos Désirs

comme la chance, est un hasard, une chose à laquelle on ne s’attend pas. Le bonheur est une aspiration que tous recherchent, et qu’on ne peut maitriser. De plus, Epicure associe le bonheur au plaisir. Mais ces deux termes peuvent être contradictoires. En effet, le premier est un état durable de satisfaction, tandis que le deuxième, quant à lui, est éphémère. Ainsi, le bonheur serait la somme de tous les instants de plaisir. Mais certains problèmes peuvent nuire au bonheur, d’après Epicure qui a trouvé

souffrance, une forme d'insatisfaction. Désir de nourriture : la gourmandise Désir de la chair : la luxure, concupiscence Désir de l'argent : la cupidité Désir du pouvoir : l'envie Désir des honneurs : l'orgueil Nous éprouvons sans cesse des désirs : que le désir vise un objet déterminé − une belle voiture − ou un état diffus et général − le bonheur −, désirer semble faire corps avec l'élan même de la vie qui sans cesse nous entraîne au-delà de nous-mêmes : vers les objets extérieurs pour nous

voilà l'affirmation commune à toutes les doctrines de l'Antiquité et elle semble dictée par le bon sens. Comment faire alors pour atteindre notre but si nous ne voulons pas que les caprices de la fortune dictent seuls notre sort ? Nous connaissons tous des instants de plaisir, mais le plaisir est ponctuel, alors que le bonheur réclame la durée. La question est donc bien la suivante : comment donner au plaisir un temps excédant celui de l'instant ? La réponse épicurienne est simple : il faut et il

est que, afin de mettre fin à la guerre perpétuelle qui règne entre les pauvres et les riches, les gens agissent pour satisfaire la volonté générale. Cette volonté est celle du peuple, qui n’a pour seul but que le bien commun. Elle est dictée par des lois générales qui dirigent la société et ses membres. Donc, selon Rousseau, les hommes devraient cesser d’agir afin de satisfaire leur propre volonté et mettre au premier plan la volonté générale, qui au final, rendrait tout le monde heureux et serait

selon lui illusoires, en nous expliquant son fondement. Ensuite (l6-l13) il nous expose son developpement, la facon dont elle répond à nos questions et enfin (l13-l18), Freud conclu sur le fait que la religion n'est pas toujours capable de satisfaire nos désirs, elle n'est pas infaillible. Dans cette première partie, Freud énonce sa thèse, à savoir la provenance des idées religieuses, leur origine, et la capacité qu'elles ont à répondre à nos questions. Selon lui, le sentiment religieux qurait

question qui fallait poser parce que le terme est tellement vague qu'on peut répondre tout et son contraire en deux phrases sur le sujet. Pour moi, il faut d'abord distinguer le désir du besoin car le désir c'est l'envie oppressante et forte de posséder quelque chose qui n'est pas nécessaire à l'Homme pour survivre, alors que le besoin correspond à une contrainte imposée à tout Homme comme manger, boire dormir... Il peut cependant y avoir une dépendance dans le désir qui lui donne une apparance

membre d'un groupe). •Des désirs : Moyen privilégié de satisfaire un besoin . Besoin de manger et désir manger un steak. Besoin de se vêtir et désir un costume Pierre Cardin. Le marketing ne crée pas les besoins, ceux-ci préexistent, mais il influence les désirs. Il suggère au consommateur qu'une MERCEDES peut servir à satisfaire un besoin d'estime. Il ne crée pas le besoin d'estime, mais propose un moyen de le satisfaire. (Les besoins sont limités. Par contre, les désirs culturellement différenciés

Peut-on désirer sans souffrir ? Tout ce qui vit a des besoins, si tant est que vivre, ce n'est pas être autosuffisant, mais au contraire dépendre, pour sa propre survie, d'un milieu extérieur : la plante a besoin d'eau et de lumière ; l'animal de manger, de boire et de dormir. . Seulement, parce qu'il est doté de conscience et capable de se représenter lui-même, l'homme n'est pas qu'un être de besoins, c'est aussi et peut-être surtout un être de désirs. Le désir se distingue du besoin en ceci

rien et tout à la fois et espère toujours satisfaire son désir. De ce fait le désir peut devenir l’essence de l’Homme. Ce désir vient du sentiment d’un manque, d’une privation. Par définition, je ne peux désirer ce que j’ai déjà. Mais le désir s’accompagnant d’un sentiment de manque peut alors signifier souffrance de l’être. Il faut alors tenter de supprimer ou, tout du moins, atténuer cette souffrance dans le désir, ce qui implique de savoir quel désir peut me faire faire souffrir, quel désir est

qu'il vit, l'homme connaît la pression du besoin et la nécessité vitale de sa satisfaction. Seulement, parce qu'il est doté de conscience et capable de se représenter lui-même, l'homme n'est pas qu'un être de besoins, c'est aussi et peut-être surtout un être de désirs. Le désir se distingue du besoin en ceci qu'il n'est pas issu de notre seule nature d'êtres vivants ; par conséquent, sa non-satisfaction n'entraîne pas nécessairement la mort. Pourtant, le désir a ceci de commun avec le besoin qu'il