Peut On Se Faire Justice Soi Même

LA JUSTICE et LA LOI I : Définitions et problèmes : Le mot « justice » vient du latin « jus » qui signifie « le droit ». La « loi » correspond à la réalisation de la justice, à l’ensemble des règles destinées à en rendre compte. Si la justice se rapporte à l’institution judiciaire, à ses magistrats, aux différents codes de lois, on comprend alors qu’être juste, c’est respecter les lois et que l’injuste est celui qui désobéit. On s’aperçoit que cette idée demande examen, car notre expérience

Sujet : Pensez-vous que la justice actuelle soit plus « juste » qu’à l’époque de Voltaire ? À l’époque de Voltaire, la monarchie absolue règne en France. Il n’en empêche pas moins que le philosophe est un féroce opposant à l’obscurantisme qui ne recule pas à utiliser son art pour dénoncer les travers de la société : intolérance religieuse, esclavage, monstruosité de la guerre… Ainsi Voltaire n’hésite pas à prendre parti dans des grands procès religieux opposant une justice catholique à des protestants

sait ce qui est bon pour la cité, il est celui qui est populaire et qui sait l’attirer à lui. C’est un démagogue. Il se fiche du contenu de son discours. Peut importe l’idée tant qu’on a le peuple. Son inverse même est l’idée du philosophe. Le philosophe lui, veut connaitre ce qui est bon pour la cité et, une fois cette connaissance connue, veut faire ce qui est juste, en dépit de l’opinion du peuple. Alors, quelle est la valeur de la rhétorique ? Semble-t-il qu’elle rend puissant ceux qui la maîtrise

établi et dont l’autorité est le garant. L’injustice d’un autre côté peut se définir par rapport à un affect, du point de vue d’une personne comme un acte immérité, un vice, ou un désordre social ; ou par rapport à la justice, comme étant contraire à celle-ci que l’on prenne la justice comme vertu, comme exigence visant l’équité, elle est alors ce qui va à l’encontre de ce qui tend vers cet idéal d’équité ou à la justice comme institution, l’injustice étant alors contraire à ce qu’elle édicte

loi et à la justice lors d’un conflit, plutôt que de le régler seul en laissant s’emparer la vengeance ? Sait-on se venger ?), et puis un enjeu psychique et psychologique (le châtiment permet-il un vrai apaisement pour les victimes ? Y-a-t-il une limite à la vengeance ?) et un enjeu juridique (quelle différence fait-on entre la légitime et le légal ?) Cela nous amène donc à la présence de notions clés telles que : le devoir, la justice, la légitimité

naturelles ne peut être dit juste si l’on se réfère à un principe moral qui invite à accorder à chaque homme des droits identiques à ceux de ses congénères. Ainsi, le droit et la justice ne se recouvrent pas nécessairement. Si l’homme qui respecte des lois égalitaires s’avère juste dans la mesure où il n’enfreint pas l’équilibre des droits et des devoirs institué par ces mêmes lois, celui qui se plie à des lois qui contredisent l’égalité entre les hommes, quand bien même est-il dans son droit, ne peut être

nous davantage sur l’ouvrage en lui même. C’est un recueil de notes dont les fragments ont été retrouvés et ordonnés post mortem qui aborde la notion  de vertu. Ainsi donc, L’éthique à Nicomaque est un traité qui concerne la façon de vivre d’un homme vertueux.   Aristote met en lumière la vertu de justice dans le Livre V. De nombreux philosophes se sont intéressés à cette vertu de justice. Aristote présente une définition et une conceptualisation de la justice. Il propose une vision différente de

explication 1 Dans ce texte célèbre, extrait des Pensées, Pascal médite sur les relations entre la justice et la force. La justice n'est pas nécessaire : l'effet ne s'ensuit pas nécessairement de la cause, alors que l'effet s'ensuit nécessairement de la force, c'est toute la différence entre une loi sociale et une loi naturelle. La justice, en tant qu'institution sociale est contingente, la force en tant que loi de la nature, est nécessaire. Dans la société, les lois qui régissent les

Cela veut die que l’on est en train de quitter le point de vue individuelle pour rentrer dans le collectif. On va donc s’interroger sur la société, les lois, la justice, l’état… Société : Toute société n’est pas politique, une société ça peut être une entreprise, on parle aussi de société animal, on parle même de jeu de société. On peut essayer de trouver les caractéristique commune : la société est un groupement d’individus, il y a nécessairement des règles commune et une organisation commune,

texte que nous allons étudiez, la force est nécessaire à la justice afin de la faire appliquer, la force a besoin de la justice pour se légitimer. Il faut donc les assembler mais pourtant contraire. Pascal montre comment cette contradiction peut être surmontée. Il oppose les concepts de justice et de force et il conclût à la fin qu’il est nécessaire de les mettre ensemble. Puis il dénonce la force qui prétend être juste. La justice défend les idéaux d’égalité entres les hommes, la liberté individuelles