Peut On Se Passer De Toute Croyance

"La valeur de la philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain même. Celui qui n'a aucune teinture de philosophie traverse l'existence, prisonnier de préjugés dérivés du sens commun, des croyances habituelles à son temps ou à son pays et de convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le consentement de la raison. Pour un individu, le monde tend à devenir défini, fini, évident ; les objets ordinaires ne font pas naître de questions et les possibilités peu familières

Dissertation : le politique peut-il éradiquer la violence ? Le politique, a priori, est fondé sur le caractère inacceptable de la violence. Il cherche à faire valoir l’ordre de la parole, le logos comme alternative à la violence. Le vivre ensemble suppose en effet que les conflits soient tenus à distance, régulés, voire supprimés. Les deux termes « politique » et « violence » se définissent à travers une structure d’opposition : d’un côté la violence comme usage illégitime de la force, de l’autre

 La croyance, une science aveugle, ou source de connaissances ? Ce fait de croire se traduit par plusieurs définitions, mais dans le cas du sujet de cette dissertation, nous retiendrons une seule définition. Une croyance reste essentiellement un acte de tenir pour vrai une quelconque information affirmative, principale point commun avec le savoir. Mais ce point commun suffit-il afin de les placer sur la même ligne d’horizon ?. Ils apparaissent comme contradictoires, semblable mais tellement

Dieu. Ce sont des propos athées, qui nient toute référence possible à Dieu. Dans la scène, il y a un débat philosophique entre Sganarelle et Dom Juan et Sganarelle va argumenter pour défendre ses croyances (longuement) tandis que Dom Juan résumera en une phrase sa foi. Par la mise en scène, Molière place ses sympathies dans les propos de Dom Juan. C’est une pièce de théâtre, les gestes ont du sens. 1)Débat philosophiques : a)Opposition des croyances : Pour Sganarelle l’athéisme est du domaine

Maghreb : L’enfant endormi, une croyance « berbère » qui défie la science ? En effet, « l’enfant endormi », Le bou – mergoud, en terme berbère marocain, est une croyance qui n’est répandue que dans les régions berbérophones du Maroc, Tunisie et Algérie, où le rite malékite tient une place très importante.   Ce mythe d’endormissement du foetus consiste à endormir, par voie de sorcellerie blanche, un enfant dont la mère ne souhaite pas la naissance immédiate. Soit parce qu’elle a trop d’enfants

demonstration, qui doit être acceptée par tous, être universelle, tandis que la croyance est, quand à elle, une proposition particuliere, qui ne necessite aucune demonstration et qui releve plus du domaine du coeur, des sentiments, de l'abstrait. Pour certain, la croyance represente une sorte de barrière, un obstacle à la verité, mais cette idée est-elle juste? De plus, la verité n'est-elle pas en somme, une croyance comme une autre? Pour repondre à cette question, nous verrons dans une premiere

Peut-on parler d’une religion naturelle ? Les hommes attendent des diverses religions la réponse aux énigmes de la condition humaine, qui hier comme aujourd’hui, troublent profondément l’Homme et sa compréhension du monde. Certains ont épousé les croyances des religions instituées, qui reposent sur des affirmations non prouvées et donc imaginaires alors que d’autres se sont intéressés a trouver une explication plus rationnelle. Quand a-t-il été possible de parler d’une religion naturelle et en quoi

pUn texte qui peut sembler paradoxal puisque Voltaire est déiste, rationaliste et qu’il refuse toute croyance dans la possibilité de Dieu d’intervenir dans les affaires des hommes, mais cette forme lui permet de faire appel au cœur de l’homme et à sa raison. Il utilise la force oratoire de la prière et son ton solennel pour donner plus de force à son appel. Les valeurs qu’il invoque sont des valeurs chrétiennes : fraternité, honnêteté, respect... Le combat de Voltaire rejoint celui des encyclopédistes

philosophie», page 88-91 du manuel. Selon les dires de M. Blackburn, ce que l’on pense peut orienter notre recherche et c’est très facilement démontrable dans le film Agora, particulièrement lorsque les élèves d’Hypatie tentent d’expliquer et de chercher une solution au problème des saisons dans le système du géocentrisme et des cercles parfaits et c’est tout à fait compréhensible. Par exemple, selon les anciennes croyances, la terre était plate et la terre était le centre de l’univers. Les anciens ont

tout un chacun peut se vanter d’y avoir accéder. Chaque personne dans son être peut y aspirer, elle n’est soumise à aucune contrainte et à aucune loi. La chose abstraite qu’est la vérité, selon les théories relativistes comme celle de Protagoras (L'homme est la mesure de toute chose : de celles qui sont, du fait qu’elles sont ; de celles qui ne sont pas, du fait qu’elles ne sont pas.), la vérité change selon tous les individus. Il n’y a rien d’imposer sur la vérité, personne ne peut y mettre des limites