Peut On Vivre Sans Désirs

Peut on vivre sans rien faire ? « Il faut manger pour vivre » certes nous l’avons beaucoup entendu cette petite phrase, puisque notre vie tourne autour de la nourriture. A croire qu’il suffirait de manger pour vivre. Mais vivre ne serait –il donc qu’une question de survie ? Ce n’est pas si sûr : car si vivre consisterait seulement à se nourrir, elle favorisera surement la mort, par exemple si on ne sait pas gérer la quantité de notre alimentation et qu’on tombe dans l’obésité, l’agonie ou la

traduisent de différentes manières selon les individus (argent, famille, drogue, célébrité, etc…), il peut donc être matériel ou non mais aussi irréel, c’est à dire un idéal qui en effet n'existe pas et ne serait qu’une utopie, un désir imaginaire, inatteignable. Encore une fois le bonheur est une sensation relative à chacun et peut être vu et considéré de mille et une façons. Cependant, comment vivre une vie épanouie et remplie de bonheur selon la société d’un individu ainsi qu’avec les exigences morales

Dans l‘essai que j‘ai lu , la philosophie ne rend pas plus heureux mais aide à l’être car cela nous permet de se poser les bonnes questions, à mieux penser et donc à mieux vivre. Qu’en pensez-vous Mr Jemenfou ? L > Donc en gros ce que je vais dire : "Je suis d'accords avec vous Laloufoque, la philosophie aide à mieux vivre, à se poser les bonnes questions. Par contre je ne suis pas d'accord avec le fait que ça ne rende pas plus heureux. Autant que nous sommes, nous philosophons, c'est dans notre

est omniprésent peut-on envisager une vie sans désir ? I) Le désir comme manque (Platon, le banquet) Dans le banquet : plusieurs définition du désir : Chaque convive adopte une perspective différente pour caractériser le désir. Personnes réunis : poète, médecin, auteur, philosophe, homme politique, 2 amis de Socrate. Désir considéré comme sentiment humain et puissance universelle, du coté du bien, inspire la vertu et des belles actions. Il faut distinguer 2 types de désirs : Le désir populaire :

de tous les jours non seulement à mieux vivre nos désirs mais surtout à mieux vivre nos craintes. Il en existe plusieurs formes. Les psychanalystes tels que Freud et Jung ont tenté de les définir bien que de façon très différents : pour Freud c’est à partir d’une grille LIBIDINALE POUR Jung, il existerait une corrélation entre la conscience et l’inconscient et que le rôle du rêve serait de faciliter le conscient à mieux gérer les frustrations et mieux vivre dans la réalité. Du côté de la neurologie

l’homme qui ne cherche pas à satisfaire ses désirs mène « une vie de pierre ». De plus, Épicure nous enseignait qu’en apprenant à nous contenter de plaisirs simples, nous pouvons trouver l’ataraxie, ou l’absence de trouble, et ne pas souffrir du manque. Ainsi, le bonheur vient du fait que l’on doit apprendre à combler ses désirs : la fin du désir est le commencement de la vie heureuse. Cependant, le sens même du mot « désir » semble indiquer qu’il ne peut jamais être complètement comblé, le propre

désir. Et même plus, cela semble bien absurde, dénué de sens, puisque être animé d'un tel désir nous condamnerait à l'insatisfaction nécessaire, c'est-à-dire au malheur. En effet, on peut définir le bonheur, en première approche, comme l'état de satisfaction pleine et entière de tous les désirs d'un être. Cependant, peut-on échapper au désir de l'impossible ? Le désir ne porte-t-il pas en lui la démesure, l'excès qui le pousse au toujours plus ? Le propre du désir n'est-il pas de se porter sans cesse

qui renvoie au manque et à ce qui est utile pour le combler, et de la nécessité qui peut être impersonnelle voire logique. Cette classification n'est pas séparable d'un art de vivre, où les désirs sont l'objet d'un calcul en vue d'atteindre le bonheur. Selon Épicure "Parmi les désirs naturels, les uns sont nécessaires pour le bonheur les autres pour le fait de vivre." Il existe également six grands désirs qui animent les Hommes et correspondent en même temps à six des sept péchés capitaux

A l’origine, le désir est le constat d’une absence, doublé d’une idée de regret. Le désir manifeste donc à la fois l’absence et l’aspiration, le souhait, de recouvrer cette perte ou ce manque. Bien que lié au besoin, qui en est peut-être l’origine, il s’en distingue par plusieurs traits. Le besoin s’apaise dans la satisfaction, tandis que le désir semble insatiable, passant d’un objet à un autre. Il engendre des rêves et des phantasmes, il est producteur d’images mais il est également

Faut-il maîtriser ses désirs ? "Freed from desire, Mind and senses purified." Gala, Freed from desire   Introduction Est-il possible de comprendre ce qui anime les hommes ? Est-il possible d'en tirer des conclusions sur ce qu'ils devraient se donner pour objectifs ? Il serait plus facile de répondre à ces deux questions si les humains n'étaient que des animaux occupés à satisfaire leurs besoins et leurs envies, ou, tout à l'opposé, de purs esprits guidés par la seule volonté rationnelle. Pour