Peut On Vivre Sans Désirs

t’il, pour être heureux n’avoir plus de désirs ? Le bonheur est défini par la satisfaction de certains désirs. Mais il existe cependant des désirs assouvis qui ne nous rendent pas heureux pour autant (les désirs matériels). Les désirs qui impliquent la souffrance ne peuvent nous rendre heureux. Il en va de même des désirs qui impliquent des plaisirs mêlés de douleurs (comme le dit Platon). Dès lors, pour être heureux, il importe de connaître le Bien et de vivre selon lui. Et s’il est difficile à connaître

Alexia Devoir de philosophie ACCOMPLIR TOUS CES DESIRS EST-CE UNE BONNE REGLE DE VIE ? Désirer est un sentiment commun à tous, se distinguant du besoin en étant temporel, sans limite et pouvant se déplacer d’objet en objet. Le besoin est nécessaire, le désir quant à lui est contingent. Le cœur pourrait être vu comme un besoin et acheter une paire de talons de marque un désir. Sans le cœur on ne peut vivre, sans la paire de talons, il est possible de marcher, de se déplacer, mais l’idée de

dans l’absence de contrainte? Les désirs de l’Homme sont, dans une certaine mesure, à l’origine d’un malheur. Cependant, certains désires sont nécessaire à notre bonheur et son inscrit dans la nature humaine. Ainsi, il est humain de désirer, et l’Homme, par nature, ne peux pas renoncer à ses désirs, néanmoins il peut essayer de les maitriser, de les limiter. Les désirs humains sont parfois à l’origine d’un malheur, de déception ou encore de désillusion .On peut constater, comme dit Rousseau dans

Etre raisonnable est-ce renoncer à ses désirs ? L’homme de par sa nature est un être de manque, il peut se définir par ses besoins primaires, naturels auxquels il ne peut échapper (se nourrir, manger, dormir) mais il se distingue des animaux par ses désirs spirituels. En effet en plus de vouloir combler ses besoins l’homme à cette capacité à désirer ce qui est superflu et inutile à sa survie. Il transforme ses besoins en désirs (se nourrir & gastronomie ; le sexe & l’érotisme etc.) ou désire ce

permettant d’oublier la fragilité et la futilité de sa misérable vie. Mais l’homme qui désire ne peut être satisfait, car ses désirs sont complexes et infinis, et tout objet de désirs implique une précision et une finitude. Ainsi, l’homme ne peut être comblé dans ses espérances et ses désirs, puisqu’ils ne peuvent être assouvis. Mais l’homme qui ne désire pas demeure un homme finit, sans projet ni but, il ne peut avancer. Dans ce paradoxe entre la souffrance et le désir, une question se pose : L’homme

qui arrive sans décision. On peut distinguer besoin et désir. Ils sont tous les deux l'expérience d'un manque. Le besoin est nécessaire, on ne peut pas s'en passer alors que le désir ne l'est pas. Le besoin est nécessaire à la vie il est déterminé et peut être satisfait. Le désir lui porte sur le superflu à la survie. Il est indéterminé, indéfini et semble ne pouvoir être satisfait durablement. Pour vivre heureux et libre, il faut vivre pleinement ses désirs. On doit laisser aller ses propres

rellement ce que nous désirons ? Avant toutes choses, il faut définir chaque chose :On va désirer certaine choses sans savoir vraiment pourquoi, comment est-ce possible de ce poser la question de si « je » désire cela ou pas, Sommes nous maître de nos désirs ? Cela ne reviendrait t-il pas â être conscient de tout, de soi ? Serions-nous à l’abri des différentes influences de la vie ? De la mort ? Car pour l’être encore faudrait t-il savoir quand ces intempéries peuvent survenir. Des questions existentiel

bonheur, et à la satisfaction de leurs désirs. Il pose alors la question du rapport de la satisfaction des désirs et du bonheur. Schopenhauer dans cet extrait pose les problèmes suivants ; Le désir tend vers la satisfaction mais peut-il vraiment être satisfait ? Faut-il renoncer au bonheur ? Sommes-nous voués à souffrir du seul fait que nous sommes vivants, humains, mortels et de ce fait condamnés à désirer ? La thèse défendue dans ce court extrait peut- être qualifiée de pessimiste. Le philosophe

semble plutôt qu'il faille se libérer de certains désirs. Mais plus profondément encore, il faudrait laisser s'exprimer les désirs fondamentaux de l'homme, les désirs qui font naître la raison. Au premier abord, le désir d'autrui fait que l'homme n'est pas libre, dans ces actes, ses envies. Prenons par exemple, un jeune adolescent, qui vit encore chez ses parents. Celui-ci est sous l'autorité des ses parents et doit donc respecter leurs désirs. Si les parents désirent que ce jeune adolescent

organiques et psychologiques qui me poussent à posséder un objet en vue d'en tirer plaisir. Cet objet peut être matériel ou non. Lorsqu'on se demande si être raisonnable, c'est renoncer à ses désirs, on semble insinuer qu'en effet, il faut renoncer à ses désirs pour être raisonnable. Cela signifie alors que chaque désir est déraisonnable, que les désirs nous poussent à agir sans raison. Cette déraison peut, peut-être s'expliquer par la nature même du désir qui se trouve être pour l'homme une source négative