Peut On Vivre Sans Loi

facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale : on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale ; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur. Nietzsche, lui, la critique comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. Épicure (IIIe siècle av

Père sévère qui donne la loi. On accorde plus de place au corps et aux émotions qu’à la logique. On va vers une relation directe entre l’individu et Dieu. La religion est définie à travers des pratiques et des croyances collectives dans un invisible ou un au de-là. On ne peut pas vivre pleinement sans spiritualité qui est la vie de l’esprit, l’humour, l’amour ou encore la contemplation de la beauté du monde qui peut susciter un sentiment de sacré. On ne peut pas vivre sans foi non plus, une adhésion

est l'institution qui permet à deux personnes de s'unir pour vivre en commun et fonder une famille1. Les articles 143 et suivants du code civil régissent le mariage civil qui est la consécration par le droit du couple mais depuis 1999, il existe aussi les statuts du concubinage et du pacte civil de solidarité (PACS). Le mariage est un acte juridique solennel par lequel deux individus s'unissent et dont les effets sont fixés par la loi. Le mariage est aussi une institution et non pas un simple contrat

bonheur et tempérance et la vision originale de Calliclès qui prône l' intempérance. Calliclès cherche a convanincre le sage Socrate qu'il faut assouvir ses désirs sans frein et que cela est juste car conforme à la loi de la nature. On peut alors se demander ce qu'il pense de la morale traditionnelle et des conventions, des régles que les hommes s'imposent à eux-mêmes et aux autres. Aprés avoir exposé sa thése (Calliclès (L1)... éclosent (L5))

Dans ce texte, Hobbes explique pourquoi c'est préférable de vivre en société, plutôt que d’être "hors de la société civile" comme a l’état d'origine, d'animal. Pourquoi accepter d'être gouvernés, vivre dans une société ou il y a des lois, des commandements avec des risques de sanction; car c'est avoir des limites dans sa liberté naturelle, Pourquoi ne pas faire « tout ce qu'il nous plait». I/ Hobbes compare de l'homme à l'état d'origine et civil 1. L'état de nature assure une liberté destructrice

régissaient les rapports entre les humains avant cette période. Il s’agit donc de se demander si une société sans droit est concevable ? La question ne porte pas seulement sur la possibilité d’une société sans droit mais est ce que cette société peut perdurer sans ce droit. Les formes de droit abordé seront principalement les droits civil et pénal qui organisent à deux la société. Dans un premier temps nous nous intéresseront à la nécessité du droit dans le bon fonctionnement de la société (I)

Tous ont à vivre ensemble. Cette vie commune, selon la première déclaration des droits de l’homme, doit assurer à chacun et sa liberté de conscience, qui exclut toute contrainte religieuse ou idéologique, et l’égalité de droit, incompatible avec la valorisation privilégiée d’une croyance. La puissance publique promeut le bien commun. Elle devra donc être neutre sur le plan confessionnel et développer, par l’instruction, l’exercice autonome du jugement, afin que tous apprennent à vivre leurs convictions

tragique, il ne doit pas chercher sa vérité individuelle, mais chercher la vérité, ou mieux chercher s’il existe la vérité par-delà la diversité, s’il existe quelque chose au-dessus de l’homme, au-delà de l’homme, qui ne soit pas relatif mais absolu. On peut ainsi comprendre les dieux comme la personnification, la réalisation de cet absolu de l’homme. Et c’est face à cet absolu que l’homme découvre sa situation tragique. Or, l’homme recherche l’absolu. S’il acceptait sa finitude, la finitude absolue de

une œuvre reste le même, car on ne peut effacer l’impression qu’elle nous a faite lorsque nous l’avons découverte. En parler, c’est la faire vivre plus longtemps. Problématique 1. Ne ferait-on pas mieux de s’en tenir à la première lecture pour garder intacte son émotion, en mettant toute son énergie à vivre le récit ? Mais, ce faisant, ne risque-t-on pas de passer à côté d’éléments signifiants, de symboles et de thèmes enrichissants ? 2. L’analyse que peut faire le critique à partir de ce qu’il

et cet objet peut être matériel ou non. Quant à la loi elle a plusieurs significations possibles. D’une part elle a un sens juridique, celle d’une prescription ou de loi divine « tu ne tueras point », d’autre part celui de règle dont la transgression est considérée comme une faute même si elle n,’est pas suivie obligatoirement de sanctions. Troisièmement elle peut avoir le sens de normes à laquelle on ne peut que se soustraire tel l’impératif catégorique qui seul à valeur de loi pratique chez