Peut On Vivre Sans Religion

: La morale peut-elle se passer de la religion ? 1)- Analyse du sujet : Définitions des termes du sujet ; Présupposés : Le sujet présuppose qu’il existe un lien évident entre la morale et la religion, que la morale se rapporte à la religion. Alternative : Forme du sujet : Enjeux : Le rapport entre la morale et la religion, il faut trouver les liens entres ces deux termes. La morale se fonde-t-elle sur la religion ? La religion sert-elle de

Introduction  Dans la société, l’homme manifeste un besoin de vivre en communauté que dans le but de satisfaire sa perpétuelle quête de bien-être afin de mieux supporter le poids de l’existence. D’autre en plus, les divers entités humaines qui constituent le tissus social1 sont toutes aussi différentes l’une de l’autre, encore leur faudrait il, pour pouvoir cohabiter, la meilleure théorie qui répond le mieux au désir de vivre ensemble. Ainsi, de cette nécessité de formule efficace, découle de

solidement, un terrain approprié doit être choisi, autrement dit, une conviction de base. Où trouver celle-ci plus indubitablement, qu’en la certitude que nous vivons ? L’être qui se sent vivre peut douter de tout, sauf de sa propre vie. La vie s’impose à nous, en nous-mêmes et en tout ce que nous voyons vivre. Nous ignorons ce qu’elle est, mais nous ne pouvons échapper à son énigme. Nous vivons, telle est l’affirmation sur laquelle s’érige la philosophie qui est en droit de s’intituler Maçonnisme

occupée du bonheur (savoir comment vivre dans le bonheur). Comment le pouvoir peut me permettre d’accéder au bonheur ? On ne voit qu’un aspect de la philosophie, c'est-à-dire savoir comment la société s’organise pour pouvoir accéder au bonheur. Dans l’histoire des idées politiques, pour que l’homme soit heureux, il faut qu’il soit libre c'est-à-dire que l’on reconnaisse ses droits et ses libertés, d’où la démocratie. Il y a aussi une place donné à la religion car au nom de principe sacré et de

prospérité. Cependant, en considérant « l'homme à part », Tocqueville émet l'idée que les « croyances communes » sont nécessaires à l'épanouissement d'une société, mais aussi à l'homme, dans son élévation personnelle. La religion est-elle le grand bien de la démocratie ? La Religion permettrait-elle l'égalité entre tous? Nous analyserons d'abord dans un premier temps, les trois parties du texte et dans un second temps nous verrons l'interet et les limites de celui ci. D'emblé, l'auteur nous montre

l’Homme est, la religion est. Les premiers êtres humains avaient leurs croyances, leurs rites, leurs entité supérieure qui les régissait. Aujourd’hui encore, une majorité d’hommes et de femmes vivent l’esprit profondément ancré dans la religion, pratiquants ou non, ils croient en un ou plusieurs dieux, y consacrent de leur temps et se laissent guider par ces tous-puissants. Jamais néanmoins l’existence d’un être immortel, parfait, n’a pu être démontrée, et c’est pour cela que l’on ne peut accorder à la

L’UTILITÉ DES RELIGIONS. Il faut d’abord avoir consulter les différentes significations que révèle l’étymologie du mot religion, pour remarquer que le sens du lien entre la communauté et la divinité ou encore le lien social qu’elle créé , est la signification principale du mot religion . Depuis leur apparition, les religions ont agit comme un des facteurs primordiaux de la cohésion sociale, elles ont structuré les cultures et les mœurs de toutes les civilisations .La religion accompagne

n’en peut douter, qu’il est bien plus utile aux hommes de vivre selon les lois et prescriptions déterminées de notre raison qui, nous l’avons dit, ne visent que ce qui est véritablement utile aux hommes. En outre, chacun désire vivre, autant que faire se peut, en sécurité et à l’abri de la crainte ; ce qui pourtant ne peut guère avoir lieu tant que chacun aura loisir de tout faire à son gré et qu’on ne concédera pas à la raison davantage de droit qu’à la haine et à la colère. Car nul ne peut vivre

L. FERRY, « Apprendre à vivre, Traité de philosophie à l’usage des jeunes générations », édit. Plon, Paris, 2006 Chapitre I page 15-31 : qu’est-ce que la philosophie ? La finitude humaine et la question du salut Philosophie et religion : 2 façons opposées d’approcher la question du salut. Les trois dimensions de la philosophie : l’intelligence de ce qui est (théorie), la soif de justice (éthique) et la quête du salut (sagesse) P15 : L’histoire de la philosophie = 5 étapes P15 : Définition de la

juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi. Article 2 1. Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. 2. De plus, il ne sera