Peut On Vivre Sans Religion

Que ce soit aujourd'hui ou il y a 3000 ans, la religion a toujours été omniprésente. Pour certains elle prend une valeur énorme ; elle devient très importante, voir indispensable. Pour d'autres, elle n'est que l'ombre d'un ensemble de rites et de croyances qui ont été jadis primordiaux dans la vie d'un bon citoyen. Ces exemples représentent deux des nombreuses positions qu'on l'on peut adopter face à la religion, qu'elle soit catholique, protestante ou autre. La prise de position s'avère substantielle

La religion Préhistoriens ont mis en évidence à l’humain quand il y a culte aux morts. Manifestation d’une pensée face questions métaphysiques. Religion = trait culturel, mais pas forcément égal à Dieu. Définition religion : phénomène (fait social). Religiere = apporter ses soins, vénérer ; ligare = lier (au sens d’attacher ensemble). Relation horizontale : lie les hommes à ce qu’il y a là haut, c'est-à-dire une transcendance. Transcendance : au-delà de l’homme, dépasse raison humaine Immanent :

de la religion, qui impose des principes trop strictes pour atteindre le bonheur après la mort. Dans cette lettre, à travers la voix d'Usbek, Montesquieu veut montrer sa propre vision du bonheur. Il explique que pour vivre heureux, on doit vivre en utopie, dans un lieu isolé du reste du monde, mais vivre en union avec le monde alentour et nos voisins. La religion peut également apporter du bonheur, et adoucir nos vies, sous certaines conditions. Pour vivre heureux, on doit d'abord vivre en utopie

biens âme ne peut mérir N'avoir les cieux. Je n'en suis jangleresse : En cette foi je veuil vivre et mourir. A votre Fils dites que je suis sienne ; De lui soient mes péchés abolus ; Pardonne moi comme à l'Egyptienne, Ou comme il fit au clerc Theophilus, Lequel par vous fut quitte et absolus, Combien qu'il eût au diable fait promesse Préservez-moi de faire jamais ce, Vierge portant, sans rompure encourir, Le sacrement qu'on célèbre à la messe : En cette foi je veuil vivre et mourir.

Morale religieuse Religion et morale ont toujours été présentées de manière tellement indissociable qu'il est fréquent, même chez les grands auteurs (Voltaire, Dostoïevski…) de penser que la morale ne peut exister sans religion. Il faut reconnaître que les religions, en particulier celles des Ecritures Saintes (judaïsme, christianisme, islam) ont proposé - il serait plus exact de dire imposé - une morale prête à l'emploi, selon laquelle, pour chaque homme, tout acte de la vie, et même toute

La religion existe depuis des milliers d’années, peut-être même des millions d’années. Que ce soit en un dieu, plusieurs dieux ou une force mystique, l’homme a toujours eu des croyances surnaturelles. La question que je me pose est: une société sans foi est-elle possible? Ce qui revient à dire: pourrions-nous vivre sans religion? Pour répondre à cette question, il faut savoir que la religion aide l’être humain à se discipliner, permet une appartenance à un groupe et donne un sens a l'inexplicable

réflexion, et de rhétorique Sujet : L'homme peut vivre sans lois. Introduction L'homme doit d'abord être considéré comme un animal si l'on remonte à ses origines. C'est un animal sociable: il ne peut s'épanouir qu'au milieu de ses semblables. Mais il est aussi un animal égoïste. Son «  insociable sociabilité » comme l'a écrit Kant, fait qu'il ne peut ni se passer des autres ni renoncer, pour eux, à la satisfaction de ses propres désirs. Il peut se passer de lois, mais cela ne rentre pas dans

du mot latin colère (« habiter », « cultiver », ou « honorer ») suggère que la culture se réfère, en général, à l’activité humaine. Toute culture se construit grâce au contact entre différentes communautés, qui apportent leurs façons de penser, de vivre et d’agir. Il est évident que les échanges culturels ne produisent pas tous les mêmes effets ni les même conséquences, mais c’est à partir de ces contacts que se produiront le métissage culturel. * Introduction : Dans un premier temps, je vais

Des conflits indéniables Commençons donc par cette question. A priori, oui, il y a une guerre, parfois violente, entre science et religion. Que l'on songe par exemple à l'Inquisition, au philosophe italien Giordano Bruno qui a été brûlé sur le bûcher à Rome, en 1600, par les pouvoirs religieux, pour avoir dit que l'univers était infini. Ou encore à Galilée à qui l'Eglise a intenté un procès pour avoir défendu la doctrine de l'héliocentrisme (c'est la Terre qui tourne autour du Soleil et non la

l’on va mourir ? Autrement dit, quel sens est-il urgent de donner à notre existence face à cette angoisse métaphysique ? Que faire du peu de temps qui nous est imparti ? D’une manière plus générale comment analyser notre rapport à la mort pour mieux vivre notre vie de simples mortels ? Chez nous les humains, le plus souvent, la tendance est de viser un certain idéal, avoir une vie bien remplie, la plus intense possible. Contrairement à l’animal qui est programmé pour effectuer toujours les mêmes