Peut On Vivre Sans Superstition

contre le racisme a porté ses fruits. Il est mort pour son rêve, mais son rêve a changé le regard que chacun porte sur celui qui est différent. Il est évident que la place d’un rêve doit s’inscrire dans la réalité de la vie. Il est impossible de vivre sans imagination, sans se projeter dans un avenir que l’on conçoit beau, qui nous grandit et qui nous permet de devenir ce que l’on rêve d’être tout en gardant les pieds sur terre. Il suffit de penser à une jeune fille née au début du XXème siècle

antérieur et supérieur comme le mouvement l’est au repos. Ce Dieu réel, les mystiques l’ont perçus. La religion le tient avant tout pour un Etre qui peut entrer en rapport avec nous : or c'est précisément de quoi est incapable le Dieu de Kant. On allègue en effet que l'expérience de ces grands mystiques est individuelle et exceptionnelle, qu'elle ne peut pas être contrôlée par le commun des hommes, qu'elle n'est pas comparable par conséquent à l'expérience scientifique, il y aurait beaucoup à dire sur

fait sentir plus que jamais et les inégalités sociales semblent plus illégitimes qu’avant. LES IDEES COMMUNES AUX PHILOSOPHESla liberté : « Les hommes naissent tous libres. C'est le plus précieux de tous les biens que l'homme puisse posséder. Il ne peut ni se vendre ni se perdre. »  (d'après un article dans l'encyclopédie). Ils sont aussi pour la liberté d'expression, car il y a la censure qui l'interdit (aucune critique n'est permise à ce temps...).  la raison : C'est le moyen d'acquérir des connaissances

- Cependant le philosophe et l'homme vivent dans la même société : l'homme et le philosophe doivent être en société pour vivre, travailler, plaire ou se rendre utile. 2) Les valeurs, les idées, les messages du philosophe - Ne pas aller "tête baissée" mais toujours réfléchir et analyser la situation. - Se servir de la raison (vérité) que de la grâce (apparence). - Vivre en société et ensemble sans haine (le philosophe qui est la référence du texte n'a pas de pays ennemi car il veut juste être

qu'il y en ait. Le philosophe, au contraire, démêle les causes autant qu'il cst en lui. [...] La vérité n'est pas pour le philosophe une maîtresse qui corrompe son imagination, et qu'il croie trouver partout; il se contente de la pouvoir démêler où il peut l'apercevoir. Il ne la confond point avec la vraisemblance; il prend pour vrai ce qui est vrai, pour faux ce qui est faux, pour douteux ce qui est douteux, et pour vraisemblable ce qui n'est que vraisemblable. Il fait plus, et c'est ici une grande

beaucoup, des écrivains, désireux de transmettre leurs idéaux au travers de l’écriture, dont la diffusion s’est considérablement améliorée avec l’invention de l’imprimerie en 1443. L’un de ces grands humanistes est Rabelais, créateur du roman moderne. Peut-on considérer cependant que la forme romanesque soit la plus appropriée pour exposer à un lecteur les idéaux humanistes ? Nous verrons qu’elle présente, en effet, bien des avantages ; que d’autres formes littéraires peuvent sembler plus efficaces.

animaient l'école épicurienne à l'égard du fondateur en sont une preuve éclatante. Il était à peine mort que déjà on l'honorait de statues. Pour ses disciples, Épicure est le libérateur. À ces âmes courbées depuis longtemps sous le joug de tristes superstitions, il apporte un immense soulagement. C'est le défenseur des droits de la liberté et de l'indépendance personnelle contre toute tradition religieuse. Il y a au Louvre un marbre qui représente sur une de ses faces Épicure, et sur l'autre son inséparable

méthode Hugo prend position et nous amène à faire de même (coté critique du texte) « gentlemen » : mot en italique Voc anglais // référence au sens de gentilhomme : lord, noble. Sa classe social + éducation, code d’honneur // forme d’ironie : peut on les considéré comme tels ? Des spectateurs payant dans ces circonstances ? Moral ? Immoral ? ( ce qui est juste, moral, ou bien) Dans le texte : immoral, car ils se cachent pour tuer. Si elle était moral, ils n’auraient pas besoin de se cacher

de se demander si elle ne serait pas l’expression provisoire de l’ignorance des hommes à donner une explication rationnelle à toute chose? Est-elle un phénomène du passé qui survivrait encore dans la mentalité d’hommes à l’esprit faible et crédule? Peut-elle être justifiée, dans une certaine mesure, par la raison elle-même ? A quel besoin fondamental la croyance religieuse répond-elle? Telles seront les questions qui guideront ce cours.   I L’HOMME : ANIMAL RELIGIEUX A) Une double étymologie Si

à définir historiquement la philosophie des Lumières : il cherche à savoir comment l’homme éclairé peut accéder aux Lumières, comment il est possible à l’humanité de sortir de la nuit des préjugés. Seul l’usage libre de la raison permet à l’homme de penser et de se délivrer de l’obscurantisme. Le texte ouvre ainsi un horizon politique : seuls des hommes capables de penser par eux-mêmes peuvent vivre dans un Etat républicain, au lieu d’être les sujets d’un despote. Leur liberté de penser ne met pas