Peut On Vivre Sans Superstition

le terme dîn, qui peut être considéré comme équivalent de celui de religion, désigne avant tout les prescriptions de Dieu pour une communauté3. En chinois, le terme zōng jiào (宗教), inventé au début du xxe siècle pour traduire celui de religion, est connoté de l'idée d'un enseignement pour une communauté4. Le bouddhisme est souvent considéré comme religion bien qu'il n'y soit question ni de Dieu, ni de nature divine5. La religion peut être comprise comme une manière de vivre et une recherche de

le terme dîn, qui peut être considéré comme équivalent de celui de religion, désigne avant tout les prescriptions de Dieu pour une communauté[3]. En chinois, le terme zōng jiào (宗教), inventé au début du xxe siècle pour traduire celui de religion, est connoté de l'idée d'un enseignement pour une communauté[4]. Le bouddhisme est souvent considéré comme religion bien qu'il n'y soit question ni de Dieu, ni de nature divine[5].La religion peut être comprise comme une manière de vivre et une recherche de

de foudre inversé. On ne peut pas être obsédé à ce point sur une personne sans qu'il ne se passe autre chose par la suite. Bérénice de Racine est à l'origine de la citation de la fin du texte. Bérénice est une tragédie sur l'amour impossible : une reine juive et un jeune citoyen romain qui devient empereur, et devra épouser une citoyenne romaine. Le choix du devoir ou celui des sentiments : il choisira le devoir.     A la fin de cet incipit, on peut même croire que le personnage

concepts 1-La notion de religion La religion peut être comprise comme une manière de vivre et une recherche de réponses aux questions les plus profondes de l’humanité, en ce sens elle se rapporte à la philosophie. Mais elle peut aussi être vue comme ce qu’il y a de plus contraire à la raison et jugée synonyme de superstition. Elle peut être personnelle ou communautaire, privée ou publique, liée à la politique ou vouloir s’en affranchir. Elle peut aussi se reconnaître dans la définition et la pratique

interprétation de la philosophie de Leibnitz qui dit que « tout est bien dans le monde ». Voltaire soutient la thèse que la raison triomphe toujours dans sa lutte contre le fanatisme qui caractérise l’histoire de la civilisation. A travers son œuvre on peut voir ses idées dominantes : la métaphysique est un préoccupation constante ; il préfère le doute et le monde physique. La métaphysique est dangereuse car elle divise les hommes et le pousse vers le fanatisme ; la sagesse pour l’homme est rechercher

t’égarer parfois à ton Selon lui, l’homme est livré au jeu du destin et cherche dès lors à déchiffrer le sens de sa destinée, par la superstition ou en s’attachant à des objets ou des symboles, comme Léon l’explique au sujet d’une amulette : « Je ne crois cette amulette investie d’aucun pouvoir magique, mais l’homme est si vulnérable face au Destin qu’il ne peut que s’attacher à des objets enveloppés de mystère. » (p. 37) La magie est intégrée dans la vie quotidienne et parfois valorisée par le

c'est l'ignorance qui suscite la crainte, on a peur que de ce que l'on ne connaît pas, que ce de ce qu'on l'on ne maitrise pas. La peur se transforme en angoisse et à partir de là au lieu de penser par lui même l'ignorant va s'attacher à des superstitions qui vont accentuer les souffrances, car quoiqu'il fasse ou croît ce ne lui procura le bonheur. Par exemple ce n'est pas parce que l'on évite de passer sous une échelle que l'on ne sera plus malheureux. Comprendre que nous sommes responsables

ennui, c'est d'exister sans vivre. Les grands hommes font leur propre piédestal, mais l'avenir se charge de la statue. Une maison heureuse, comme l'homme, peut devenir un cadavre. Il suffit que la superstition s’y installe et la tue. Avez-vous déjà remarqué que mûrir et mourir sont presque le même mot. La nuit, on pense mieux car la tête est moins pleine de bruit. Plus j'observe la magnificence et la perfection de l'univers, plus je me convainc que tout cela ne peut-être le simple fruit du

l’Encyclopédie. Puis le dernier texte, réalisé par le chef du romantisme Victor-Hugo est un discours, Discours à L’Assemblée. Nous nous intéresserons et comparerons les stratégies argumentatives qu’utilisent chacun de ces auteurs dans les textes. On peut déjà différencier les textes en fonction de leurs visées : le texte A et C tentent de persuader en sensibilisant les lecteurs grâce aux émotions et aux sentiments. Tant dis que le texte B cherche plutôt à convaincre sur l’ampleur qu’a prit la misère

romains comme Epicure et Lucrèce ou encore Sextus Empiricus ou Pyrrhon. Leur philosophie est « comment vivre bien ? Comment atteindre le bien vivre ? » L’epicurisme est un art de vivre raffiné et une conception du monde très savante. Une école a été crée par Epicure, les disciples venaient pour y trouver un remède contre les angoisses qui les étreignaient. Lucrèce : lutte contre les superstitions Sextus empiricus (médecin grec) : Scepticisme fondé par Pyrrhon mais n’a rien écrit mais grâce à Sextus