Peut On échapper à Son Destin

I- Un univers onirique A-Les conditions du cauchemar -personnages : Oedipe est censé réaliser l'exploit de battre le Sphnix grâce à son intelligence, or il est présenté ici comme un dormeur, incapable de maîtriser les événements. Le texte se déroule en trois temps, endormissement progressif "d'une voix faible" alors que la Sphnix a utilisé l'image du "bras inerte sur lequel le dormeur s'et endormi", réveil "Oedipe pousse un cri", gestuelle du dormeur qui sort du sommeil "Il remue un bras

L'approche « scientifique » du monde humain, de ce monde que Dilthey désignait encore comme un « monde de l'esprit » pour le protéger des sciences de la nature, tend à l'objectivité. Le terme doit être entendu au sens fort : pris comme objet, l'homme est réifié, transformé en simple chose, et ses comportements, qu'ils soient bons ou mauvais, voire méchants, ne sont plus, après analyse, que les résultats de mécanismes inconscients et aveugles. Le plaidoyer de l'avocat y gagne, bien entendu. Son discours

personne qui n’est pas soumise à la servitude. Ceci est la définition de la liberté au 21e siècle, mais la vision que les hommes portent sur celle-ci ne fût pas la même depuis toujours, ce qui est naturellement normal puisque les courant de pensés changent avec les années. Alors, la liberté dans le stoïcisme représente une chose totalement différente de la définition citée plus haut. Mais, pour bien comprendre leur vision de la liberté, il faut savoir que le Destin a un rôle primordial pour les stoïciens

pouvoir, paternité, mari... S'il disparaît, tout peut changer. Il décide de tout et tant qu'il est vivant, l'ordre ne peut pas changer. Vivant => ordre, obstacle Mort => ordre nouveau • Destin: Fatal Incarné par les dieux et ici surtout par Vénus (déesse de la passion amoureuse). Elle impose à Phèdre sa destinée tragique. Vénus se venge contre les descendants du Soleil car celui-ci l'a trahie en dénonçant une de ses liaisons adultères. Phèdre ne peut donc se détacher de son amour pour Hippolyte que

seule raison, qui peut être bonne ou mauvaise, son titre assez accrocheur. « Le réel et son double », j’ai directement pensée à la réalité à laquelle on ne sait pas faire face, on lui trouve toujours ce double qui nous protège du brut de la réalité parfois trop difficile à supporter, cette façade qu’on connait comme telle mais qu’on n’ose s’avouer. Chacun d’entre nous passons par là un jour ou l’autre croyant pouvoir nous protéger grâce à ce dédoublement de la réalité qu’on lui a créé dans le but

qqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqq- qqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqq Le fatalisme (mot formé à partir du latin fatum : le « destin ») est une doctrine selon laquelle le monde dans son ensemble, et l'existence humaine en particulier, suivent une marche inéluctable (fatalité), où le cours des événements échappe à la volonté humaine. De ce point de vue, le destin serait fixé d’avance par une puissance supérieure aux êtres humains, qui peut être Dieu, ou bien la nécessité naturelle, ou encore les lois gouvernant l’histoire

logique temporel : on a la littérature de consentement et la littérature de dissidence. Leur différence réside dans l’utilisation du romanesque. Dans la première le roman dépeint un monde imaginaire, la seconde développe l’idée de créer un monde à l’image de la perfection divine. Le roman peut-être considéré comme vil car il est mensonger, mais il peut aussi être considérer comme un échappatoire notre monde Pourquoi ? L’explication vient du fait que l’homme cherche à se détacher du monde car

ci au début du roman n'est qu'un sentiment étrange qu'il ne peut nommer et à laquelle il trouvera une correspondance par la suite. La nausée constitue ainsi à elle seule, la vision de l'homme et du monde que se fait Sartre. La nausée est le roman d'un homme seul, qui vit dans un hôtel isolé et dont on ne sait rien de sa famille ou même de ses amis. Sa solitude apparaît comme un mode de vie « Moi je vis seul, entièrement seul. Je ne parle à personne, jamais ; je ne reçois rien, je ne donne rien. » Roquetin

chevaliers), empruntés à la mythologie et à la bible·         Le niveau de langue est soutenu, littéraire.·         Les thèmes dominants sont l’amour, la mort, le malheur, la fatalité, un héros en prise avec son destin auquel il ne peut échapper.·         La règle des trois unités : de lieu (toute la pièce se joue en un seul lieu, donc un seul décor), de temps (l’histoire dure une journée et ne doit pas dépasser le cadre de 24 heures), d’action (une seule ne peut échapper.·         La règle des trois unités :

diérèse→ elle ne peut pas y échapper : une force supérieure s’acharne sur elle.  Ajoute « cruelle destinée » →2 exclamatives → très touchée par ce qu’elle vit.  « Par mon époux lui-même à Trézène amené, j’ai revu l’ennemi que j’avais éloigné » → rechute  Comme elle le dit à la fin de l’extrait, vers 305 et 306, je cite : « Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachées, c’est Vénus toute entière à sa proie attachée » : → Phèdre = jouet de Vénus → pas de possibilité de délivrance, à part la mort