Phallocratie

1990 27 2- 223.889 4- 111.925 6- 78.000 3- 157.594 7- 68.150 10- 40.262 9- 48.038 5- 91.103 8- 60.933 1- 456.881 1.336.775 1.398.782 3.177.915 95,57 74,45 (Chiffres issus de P.Arnaud, Le genre ou le sexe ?…,ibid) 6.2.4-Persistance de la phallocratie sportive : -1980 : première femme présidente d’une fédération « sportive », la FFEPGV. -1981 : nomination des premières femmes (2) au CIO -1998 : première femme présidente d’une fédération olympique (sports équestres) 7-Conclusion : -Pour

femme va prendre son destin en mains face à la privation de ses droits. Elle va chercher des voies et moyens pour sortir de cette souffrance qui lui est imposée. Chez Béyala le silence se donne ainsi à lire comme un motif de dénonciation de la phallocratie mais il est également révélateur d’un conflit de génération. Le silence des mères et des grand-mères est dénoncé abruptement par l’écrivaine qui souligne là toutes les difficultés auxquelles doit faire face la jeune fille, nouvelle femme à venir

des femmes noires dans les sociétés plantocratique et en général au sein de la société esclavagiste fait qu’elles ne sont pas considérées comme des femmes, en particulier au regard des autres, notamment la figure centrale de la Lady. En outre la phallocratie est découragée au sein des plantations par les maitres parce qu’il ne faudrait pas que le pouvoir de l’homme noir sur la femme vienne concurrencer le pouvoir des maitres. Ces conditions font que ces femmes ont du se montrer « masculines ». Elles

correcte. MOTS DÉSIGNANT DES RÉGIMES POLITIQUES 1/ Théocratie 2/ Monarchie 3/ Technocratie 4/ Démocratie 5/ Despotisme 6/ Bureaucratie 7/ Gérontocratie 8/ Oligarchie 9/ Ploutocratie 10/ Stochocratie 11/ Totalitarisme 12/ Anarchie 13/ Dictature 14/ Phallocratie 15/ Aristocratie DÉFINITIONS DE MOTS a/ Régime politique où le pouvoir est détenu par un seul chef, le monarque ou le souverain. b/ Forme de gouvernement dans lequel le pouvoir souverain est exercé par les meilleurs, les plus méritants, les

place importante au principe féminin, à partir d’Aristote elle s’est mise à privilégier exclusivement le principe masculin… L’avènement au 19ème siècle de la philosophie nihiliste fascinée par la mort et le néant a aussi marqué le triomphe de la phallocratie à l’image caricaturale d’un Schopenhauer ! C’est aussi en ce siècle mélancolique et « morbide » que deux mémorables « actes de décès » ont été prononcés par de célèbres philosophes allemands, ce qui ne saurait être le fruit du hasard. Hegel a annoncé

filiation/alliance. Entre sexe et rôle. On tend aussi vers une fluidité, une mobilité des identités. Ensemble de thèmes que nous ne développerons pas, faute de temps. Mais ces tendances nivellent les contours de la différence. Dʼautant plus que la phallocratie perd sa légitimité. La famille nʼest plus centrée sur le père. La diminution de la puissance paternelle a commencé il y a bien longtemps, et ceci indépendamment du mouvement des femmes. La famille est aujourdʼhui, en principe, centrée sur lʼenfant

— Pas grand-chose, reconnut Zac. Il était encore sous le coup de la surprise. Tu lui as peut-être même donné matière à réflexion. Elle ne se faisait guère d’illusions. Quelques paroles ne suffiraient pas à venir à bout de quatre-vingts ans de phallocratie. — Qu’est-ce qui a déclenché votre dispute ? demanda Zac. — Apparemment, il t’a intimé l’ordre de me prendre un rendez-vous chez le gynécologue de Harley Street. C’est vrai ou pas ? — Vrai. — Avais-tu l’intention de le faire ? Une petite grimace

c’est assurément Calixthe Beyala qui va le plus loin dans l’audace langagière. Cette « amazone des lettres africaines » , selon l’heureuse expression de Jacques Chevrier, part résolument en guerre contre « la dictature des couilles » (entendez la « phallocratie ») et parle, avec mépris, des « fesses coutumières», ces matrones africaines conservatrices des coutumes rétrogrades de soumission et d’allégeance excessives aux pères géniteurs et aux maris jaloux. La plupart de ses textes tournent autour du sexe

prétendre à l’exhaustif, mais citons quelques traits bien communs : -«L’ au-delà » comme espérance et par conséquence le mépris de la vie et du corps et la mort comme une porte vers Dieu, -la « famille patriarcale » comme seul modèle social admis où la phallocratie ne tolère aucune résistance et par conséquence directe, -la haine/peur du féminin et de la sexualité (bien sûr, en tout premier lieu, celles des femmes), puis le rejet des « déviants », -l’asservissement du politique au religieux et la loi divine

électorales » (Libération, 1984). [9] 1986 = Élections législatives en France : victoire de la droite : le président François Mitterrand (socialiste) doit « cohabiter » avec le premier ministre Jacques Chirac (UDF-RPR). [10] Phallocrates = Partisan de la phallocratie*. ⇒ machiste. Domination des hommes (et de la symbolique du phallus) sur les femmes. [11]Rabâcher = Revenir sans cesse, inutilement ou fastidieusement, sur ce qu'on a déjà dit. « Les vieilles gens rabâchent ». ⇒ radoter, ressasser. [12] nervi