Phedre Coupable Ou Victime

“Phèdre” (1677) Tragédie en cinq actes et en vers Analyse Intérêt de l’action Racine est fidèle aux sources : - “Hippolyte couronné” d’Euripide dont le texte nous est parvenu et qui avait été précédé d'un “Hippolyte voilé”, également d'Euripide, mais perdu. Racine a, comme il le dit, «suivi une route un peu différente [...] pour la conduite de l'action» et a imité quelques scènes. - “Phèdre” de Sénèque, elle-même imitée d'Euripide : il lui a emprunté en particulier l'aveu de Phèdre

Phèdre - I,3(Texte1) THEATRE : TEXTE ET REPRESENTATION   TEXTE 1   Racine PHEDRE - Acte I, scène 3 Introduction :   Racine, dramaturge du XVIIème siècle, s’inspire essentiellement de l’Antiquité grecque pour écrire ses tragédies. Comme tout classique, défenseur de la Raison, ce poète dramatique, à l’opposé de Corneille, choisit de montrer avec pessimisme les ravages de la passion sur les protagonistes souvent féminins.             Dans Phèdre, créée en 1677, l’épouse du héros Thésée, tombe

En 1677, Phèdre, la dernière grande tragédie de Racine, met en scène la mythique descente aux enfers d'une incomprise. Vouée au malheur par son hérédité, Phèdre aime sans espoir son beau-fils Hippolyte. Dans cet extrait de la scène 3 du premier acte, c'est la première fois que Phèdre entre en scène. Elle se confie à sa nourrice qui l'a élevé : Oenone. [lecture]. Vous m'avez demandé en quoi l'aveu de Phèdre donne à l'héroïne sa dimension tragique. Pour répondre à cette question, j'étudierai dans

Acte V, scène 7 : voici les dernières paroles que Phèdre adresse à Thésée avant de mourir PHEDRE 1622 Les moments me sont chers, écoutez-moi, Thésée. C'est moi qui sur ce fils chaste et respectueux Osai jeter un oeil profane, incestueux. 1625 Le ciel mit dans mon sein une flamme funeste ; La détestable OEnone a conduit tout le reste. Elle a craint qu'Hippolyte, instruit de ma fureur, Ne découvrît un feu qui lui faisait horreur.

 RESUME DE L’ŒUVRE PHEDRE DE JEAN RACINE Jean Racine (1639 – 1699) Jean Racine (1639 – 1699) RÉSUMÉ DE L’ŒUVRE PHEDRE JEAN RACINE Biographie et bibliographie de Jean Racine Petite biographie et bibliographie de Jean Racine

Aricie que son père lui interdit. Dans la troisième scène Phèdre encore plus hésitante qu'Hyppolite avoue aussi son amour interdit envers celui- ci à Oenone sa confidente. Dans son discours, on remarque la description très intense au niveau physique et physiologique de cette passion amoureuse qui la hante. L'espoir est aussi un thème de cet acte. En effet dans la scène 4 on apprend la mort du roi, époux de Phèdre, Dans la troisième scène Phèdre encore plus hésitante qu'Hyppolite avoue aussi son amour

séduction de Phèdre dans cette scène. Phèdre est l’héroïne d’une tragédie grecque écrite par le dramaturge Racine. Seconde épouse du Roi Thésée, elle est amoureuse de son beau-fils, Hippolyte. L’extrait de la pièce se déroule à Trézène, en Grèce, alors que tout le monde croit que Thésée est mort en mer. C’est un personnage fort en émotions et en contradictions. Phèdre est écartelée

La passion coupable de Phèdre ➢ Quelle logique peut-on trouver aux différentes étapes de ce récit, qui fait l’historique de la passion de Phèdre ? • a . les mots-clés de chaque “partie” : v. 269-272 l'hymen v. 273-278 un trouble v. 279-283 un temple v. 284-288 Hippolyte v. 289-292 révolter v. 293-296 son exil v. 297-300 l'innocence v. 301-306 ennemi v. 307-310 mon crime b. les connexions d’une étape à la suivante : On peut constater que la partie qui suit est souvent introduite par des expressions

l'oeuvre de Racine, "Phèdre". Phèdre, victime d'une malédiction divine la condamnant à un amour impossible, est éprise de son beau fils Hippolyte, enfant de Thésée. Pensant Thésée mort elle avoue ses sentiments. Horrifié, Hippolyte la repousse. Quand Thesée réapparait, Phèdre n'ose se présenter devant lui. Pour expliquer cette absence Oenone, sa nourrice, accuse Hippolyte de cet amour coupable, mais pour se défendre ce dernier dévoile à son père son amour pour Aricie. Quand Phèdre l'apprend par Thésée

soumettent et les détruisent. Il y a donc une faille à creuser dans l'énoncé. À supposer que voir soit un acte, un simulacre d'acte pour le personnage Racinien, et plutôt quelque chose que le monde lui impose, qu'il n'a pas choisi. «Je le vis» (Phèdre): mais à aucun moment je n'ai cherché, voulu le voir. Le seul désir du personnage est de n'être plus vu et de ne plus voir. Quitter le monde où il est prisonnier (monde de la lumière, de l'évidence). Le personnage est obligé de voir tous les regards