Phedre De Racine Question Et Réponses

départ : l'anti-héros a une lâcheté et des vices impensables à l'époque classique. Toutefois cette mode ne s'est pas étendue dans toute la littérature même si elle a découvert tout du moins quelques points stratégiques. Ainsi, désormais, les réponses de la question du personnage principal en tant que héros sont devenues plus différentes, plus variées.         Néanmoins, cette divergence nouvelle peut être mise en cause : effectivement, dans certains romans, les personnages principaux peuvent revêtir

Les métaphores et les comparaisons qui renforcent l’expression des sentiments. • Les hyperboles et oppositions qui intensifient l’émotion. • Les ellipses narratives qui laissent deviner l’horreur de la situation. • La ponctuation expressive : questions oratoires, exclamations… > Le registre tragique Il est lié au genre théâtral de la tragédie, mais on peut également le rencontrer dans le roman ou la poésie. Proche du registre pathétique, il met en scène des situations où l'homme est écrasé

INTRODUCTION En imitant Esope et Phèdre qui avaient eux-mêmes écrit une fable afin de calmer les Athéniens lassés de leur tyran, La Fontaine, poète français de la période classique, propose plus de XX siècles après, une fable qui s’intitule « Des grenouilles qui demandent un roi ». Extraite de son œuvre Fables, écrite en 1693, ce récit met en exergue la complexité de la nature humaine en invitant son lecteur à réfléchir sur la notion d’insatisfaction suscitant un désir de changement sans réel

1630, Jean Mairet rappelait, dans ‘’Le grand et dernier Soliman’’, qu’en 1553 Soliman le Magnifique (évoqué par Racine : «Soliman (vous savez qu’entre tous vos aïeux, Dont l’univers a craint le bras victorieux, Nul n’éleva si haut la grandeur ottomane)» [vers 463-465]) fit exécuter le prince Mustafa à I'instigation de la sultane Roxelane (qui fut citée aussi par Racine, qui ne parla pas toutefois de la mort de Mustafa). En 1637, Dalibran fit jouer ‘’Soliman’’. Dans les années

théâtral appelé tragi-comédie: ce genre de pièces n'était pas un mélange de tragique et de comique, mais une tragédie à fin heureuse. ll avait donc paru nécessaire de créer un mot différent pour désigner ce genre hybride. Et pourtant, Corneille et Racine oseront, sur ce point, contredire Aristote et l'opinion traditionnelle. En effet, si la fin catastrophique était une condition absolue, une pièce telle que Cinna ne pourrait être classée comme tragédie. Dans cette pièce, Corneille s'inspire d'un épisode

RÉÉCRITURES Le XVIIème siècle voit apparaître une nouvelle notion : la réécriture. Les écrivains redécouvrent les textes anciens de l'Antiquité et s'en inspirent. Ils vont même jusqu'à citer leurs sources dans leurs ouvrages. Il n'est pas, ici, question de plagiat, mais de transformation. ->LES TYPES DE RÉÉCRITURE La réécriture est un exercice de style : une reprise et une adaptation d'un tout ou partie d'une œuvre déjà existante. Ce n'est pas une copie, mais une transformation. On s'inspire

mais ils vous ont nommée. Un oracle cruel veut qu´icy vostre sang coule sur un autel. (Agamemnon à Iphigénie, p. 237) Notre mémoire traite l´analyse de l´œuvres du 17e siècle, intitulée Iphigénie dont l´auteur est l´écrivain bien connu – Jean Racine. Le choix de cette œuvre était influencé par la condition de devoir choisir une pièce de théâtre de l´époque du classicisme ou du rationalisme et même de notre intérêt de la thématique antique. La problématique majeure à laquelle l´œuvre s´intéresse-t-elle

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Bérénice’’ (1670) Tragédie en cinq actes et en vers de Jean RACINE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : les sources (page 3) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 12) l’intérêt documentaire (page 17) l’intérêt psychologique

sixième réflexion, «De l’amour et de la mer», pourrait en être un exemple éloquent. A partir d’une comparaison courante de la littérature -qu’il bouleverse sans se soucier des coeurs qu’il perturbera- La Rochefoucauld amène le lecteur à remettre en question sa vision bien souvent fantasmagorique des passions amoureuses. La tumultueuse expérience de l’océan, à laquelle on aimait comparer les mystères des relations passionnelles, devient voyage des plus ennuyeux, parsemé ça et là de dangers inutiles

résistance de l’autre, éventuellement par le recours à la violence. Le conflit est la manifestation de deux libertés opposées et la lutte entre les consciences qui veulent exister en tant conscience par rapport à l’autre, le conflit. AFFRONTEMENT : QUESTIONS : Quelles sont les natures du conflit ? Comment est représenté ce conflit ? Le conflit au théâtre peut il être réduit à un simple affrontement entre des personnages ? Dans quelle mesure le théâtre est il par excellence le lieu du conflit et