Phedre Intrigue Principale

 Créée le 1er janvier 1677, Phèdre représente l'apogée de l'œuvre tragique de Racine. Il a trente-sept ans et, depuis son premier chef-d'œuvre, Andromaque, joué dix ans plus tôt, il a écrit à peu près une pièce par an. Protégé et admiré par le roi, élu à l'Académie française en 1672, il atteint le sommet de sa carrière. C'est en cette même année 1677 qu'il va se marier avec une riche bourgeoise parisienne et qu'il sera nommé, avec Boileau, « historiographe du roi ».Désormais, Racine n'écrira plus

Le personnage principal est Aristide Rougon, dit Saccard, qui va faire une rapide fortune en spéculant sur les futurs terrains à bâtir à l'époque des grands travaux menés à Paris par le baron Haussmann. L'action se déroule à Paris. Eugène Rougon a fait carrière en politique grâce à son soutien à Napoléon III: il est ministre. Son frère Aristide commence en bas de l'échelle par un modeste emploi. Sa femme s'appelle Angèle. Ils ont une fille (Clotilde) et un garçon (Maxime), ce dernier vivant encore

d’or de la littérature classique en France. Chapitre I : La genèse du classicisme en France 1. Un grand pouvoir en coulisse : la centralisation monarchique  Aux XVIe et XVIIe siècle, conformément aux trois grandes classes, il y a trois courants principals de la littérature : la littérature des salons, la littérature réaliste et la littérature classique.  À la différence des académies, des cercles littéraires les salons littéraires tenus par des femmes provoquent la préciosité qui se distingue par

suite, l'unité de lieu s'est resserrée autour d'un lieu unique représenté par la scène. En une intrigue : l'unité d'action (Aussi appelée unité de péril). Tous les événements doivent être liés et nécessaires, de l'exposition jusqu'au dénouement de la pièce. L'action principale doit être ainsi développée du début à la fin de la pièce, et les actions accessoires doivent contribuer à l’action principale et ne peuvent être supprimées sans lui faire perdre son sens[1]. Conformément au respect de

diamants de verres »,« palais de toiles », etc.. ). Ces différentes descriptions ont un point en commun, elles représentent des notions irréelles (arbres en carton). Le théâtre, est à la base une fiction et rien d'autre. En d'autres termes, les intrigues proposées ne sont que virtuelles, tout ce qui entoure le jeu des acteurs est fictif. Dans la pièce des « Criminels » le metteur en scène utilise un plateau tournant qui permet de faire changer les décors, cet effet n'est pas caché au spectateur,

un faux pas :  « l'homme, qui sans être éminemment vertueux et juste, tombe dans le malheur non a raison de sa méchanceté et de sa perversité mais à la suite de l'une ou l'autre erreur qu'il a commise ». les principaux auteurs (les plus connus) de la tragédie classique sont Jean Racine (Phèdre, Andromaque, Bajazet, Iphigenie, et britanicus sont ses œuvres les plus connues) et Jean-pierre Corneille (Rodogune, Médée, Le Cid, et Horace sont se œuvres les plus connues). I/ Une imitation des œuvres

créer dans le va-et-vient du personnage principal entre les deux femmes à qui il fait la cour. -Anne Ubersfeld rappelle la distinction entre une lecture syntagmatique du texte et une lecture paradigmatique décolle du texte, et examine les connotations, les allusions cachées derrière ces mots. Au théâtre, la lecture paradigmatique est particulièrement riche, elle s'exprime dans la mise en scène : Ubersfeld donne comme exemple une mise en scène de Phèdre par Antoine Vitez en 1975, dans laquelle

chambre du personnage principal. L'épilogue : Tout texte ajouté à la fin d'une œuvre littéraire et qui apporte, de manière indépendante, des éléments nouveaux postérieurs aux événements racontés. II LES PHASES DE L'ACTION DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262b ; cf. aussi M&T p. 121) L'exposition : La ou les premières scènes qui fournissent les informations (sur les personnages ou la situation) nécessaires pour comprendre la suite de l'action. Elle doit éclairer et intriguer. Exemple : La scène

les mêmes personnages. Un tableau : Partie d'un acte caractérisée par un changement de décor, donc de lieu. Dans l'acte II de Rhinocéros de Ionesco, par exemple : 1° tableau = le bureau d'une administration ; 2° tableau = la chambre du personnage principal. L' épilogue : Tout texte ajouté à la fin d'une œuvre littéraire et qui apporte, de manière indépendante, des éléments nouveaux postérieurs aux événements racontés. II LES PHASES DE L'ACTION DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262b ; cf. aussi M&T p. 121)

Travail : 1. Questionnaire de lecture : Que savez-vous de l’auteur de cette pièce ? A quel genre théâtral cette pièce appartient-elle ? En quelle année a-t-elle été représentée sur scène pour la première fois ? Qui sont les personnages principaux ? Dans quelle ville et dans quel pays l’action se situe-t-elle ? Résumez l’intrigue d’Iphigénie. Le mythe : a) Pour quelle raison Grecs et Troyens s’affrontent-ils ? b) Par quelle célèbre ruse les Grecs entrent-ils dans Troie