Philippe Claudel

Le mythe de l'artiste torturé est-il fondé ? Considéré tantôt comme mélancolique, dépressif ou névrosé, le créateur hors-norme est habité par une sensibilité extrême. La cyclothymie rythme son œuvre. Mais pour Philippe Brenot, le génie n'est en aucun cas réductible à la seule folie : "Le génie est multiforme, mais il puise toujours son énergie à la source intérieure de son humeur et du dynamisme des idées. Les créateurs d'univers sont rarement des êtres lymphatiques, conformistes ou bien-pensants

littérature contemporaine française reflète souvent le quotidien et exprime les inquiétudes, les souffrances provoquées par le monde qui nous entoure. En effet, le passage proposé ici est un extrait du roman La petite fille de Mr Linh écrit par Philippe Claudel en 2005. Ce passage évoque l'apparition lumineuse et le bonheur que représente Mr. Bark dans la vie obscure du personnage principal, Mr Linh. La structure du texte étant d'une grande clarté, nous suivrons l'ordre du texte en montrant d'abord

que praticien (celui qui dégrossit les blocs de marbre) et par la suite il dirige d'atelier en 1893. Durant une grande partie de sa vie François Pompon exerce l'activité de praticien pour d'autre sculpteur tel que Antonin Mercier (1888), Camille Claudel et René de St-Marceaux jusqu'en 1914. En parallèle il commence à réaliser ses oeuvres personnelles et devient animalier par goût et par nécessité : « petit ours brun » et « petite chouette » en 1918. Il réalise en 1920 un première essai en

Biographie de Camille Claudel Camille Claudel naît le 8 décembre 1864 à Fère-en-Tardenois en Picardie. Elle passe son enfance à Villeneuve-sur-Fère, dans un presbytère. Apres être convaincu de sa vocation de sculpteur, elle décide d’aller s’installer à Paris faire ses études. Elle entre dans l’académie Cola Rossi et a pour maître Alfred Boucher. Celui-ci transmettra certainement les rudiments des techniques de la taille du marbre à son élève. Alfred Boucher devant partir pour un séjour à Florence

s’oppose à l’art traditionnel et participe à l’art de l’impressionnisme. Rodin aime représenter le corps nu et ses mouvements avec réalisme et audace mais ses sculptures peuvent parfois choqué .A 43 ans, il tombe amoureux d’une jeune sculptrice Camille Claudel qui va beaucoup l’inspirer. Très célèbre à la fin de sa vie, il reçoit médailles et récompenses et meurt malade à 77 ans en 1917. Contexte historique (social, artistique…): Pour la première fois, un artiste décide de matérialiser la pensée en

Camille Claudel est née à Fère-en-Tardenois (Aisne) le 8 décembre 1864, de Louis-Prosper Claudel, conservateur des hypothèques, et de Louise-Athanaïse Cerveaux, fille du médecin et nièce du prêtre du village. Après la disparition de Charles-Henri (né en août 1863)[1], le premier fils du couple, mort à seize jours, Camille devient l'ainée d'une famille qui comptera deux autres naissances. Par la suite, le couple s'installe à Villeneuve-sur-Fère, petit village à quelques kilomètres de Fère-en-Tardenois

En 1855, il fit la découverte/100 de la sculpture et en tomba amoureux. Ses collaborations avec Albert-Ernest Carrier-Belleuse et Antoine-Joseph Van Rasbourgh lui permirent de se faire remarquer. En 1883, Rodin fait la connaissance de Camille Claudel, son élève, qui deviendra finalement sa muse. Ils eurent une relation artistique et amoureuse qui dura entre 10 à/150 15 ans. Il fit des nombreuses œuvres très importantes et rencontra plusieurs gens d’influence au cours de sa vie. Il épousa sa

Camille Claudel, c'est pour beaucoup parler de sa relation avec Rodin, fondée sur un amour passionné et sur le partage d'une même vocation, celle de sculpteur, ou son internement de trente ans. Mais Camille Claudel ne réalisa pas toute sa vie des œuvres sous l'emprise de la passion aveugle voire servile qu'elle prêtait à Rodin. L'artiste a sa propre sensibilité, sa propre force créatrice et émouvante dont la valseuse est un exemple majestueux. Réalisée dès 1889, alors que Camille Claudel est en

de rupture, de déstructuration si proche de nous que l'on a aucune peine d'une part, à imaginer la fureur et les égarements à venir et d'autre, à dire également qu’ici Camille Claudel a fait bien plus qu’immortaliser dans le plâtre, puis dans le bronze, l’envol de son dieu, sa profonde détresse, sa souffrance. Paul Claudel en parlait ainsi : « Cette jeune fille à genoux, cette jeune fille nue, c’est ma sœur! Ma sœur Camille. Implorante, humiliée, à genoux, cette superbe, cette orgueilleuse, c'est

fait entrer dans le cercle restreint des sculpteurs célèbres. Cette oeuvre l’occupera jusqu’à la fin de sa vie et sera à l’origine de ses sculptures les plus connues. En 1883, Auguste Rodin fait la connaissance de la sculptrice française Camille Claudel (1864 – 1943) qui devient tout d’abord son élève puis sa compagne jusqu’à sa mort. En 1885, la commande pour le groupe statutaire en bronze "Les Bourgeois de Calais" est passée. L’Etat passe de nouvelles commandes en 1889 pour la sculpture de Victor