Philippe De Sucy

Adieu 1819. Par une brûlante journée de l'été finissant, deux chasseurs - deux amis, le marquis d'Albon et le baron Philippe de Sucy - égarés dans une forêt de l'île-de- France entrevoient, sous les frondaisons d'un parc à l'abandon, une silhouette féminine d'une grâce aérienne. En cette jeune femme, folle, qui ne sait plus que répéter machinalement un seul mot, « Adieu », Philippe, bouleversé, reconnaît la comtesse Stéphanie de Vandières, la maîtresse passionnément aimée dont il fut tragiquement

schéma raconte la trouvaille de la maison et de Stéphanie par le marquis Albon et Philippe de Sucy. -2 : Le deuxième schéma raconte la guerre de la campagne de Russie lors de la retraite des armées napoléoniennes et plus particulièrement le fameux passage de la Bérézina. -3 : Le troisième schéma naratif raconte la suite du premier schéma, la mort de Stéphanie a la retoruvaille de Philippe de Sucy et le sucide de Philippe a la mort de Stéphanie. 6) Quel est le registre du second schéma narratif ?

m'aventurer dans un pays inconnu avec un magistrat, fût-il comme toi, mon cher d'Albon, un vieux camarade de collège ! - Mais, Philippe, vous ne comprenez donc plus le français ? Vous avez sans doute laissé 1 votre esprit en Sibérie, répliqua le gros homme en lançant un regard douloureusement comique sur un poteau qui se trouvait à cent pas de là. - J'entends ! répondit Philippe qui saisit son fusil, se leva tout à coup, s'élança d'un seul bond dans le champ, et courut vers le poteau. - Par ici

dans les Etudes philosophiques. Cette nouvelle raconte l’histoire de Philippe de Sucy qui lors d’une partie de chasse avec son ami le marquis d’Albon se retrouvent à l’ancien prieuré des Bons-Hommes. Là, Sucy reconnaît son grand amour, Stéphanie, qui erre dans le parc. Lors d’une conversation avec un médecin, il apprend que cette dernière est devenue folle après avoir vécu en novembre 1812 le drame de la Bérésina. Dés lors, Sucy va tout mettre en œuvre pour ramener la raison à sa bien-aimée.

La commune dispose d'un monument classé et de deux monuments inscrits à l'inventaire des monuments historiques. Le château de Sucy est classé depuis le 18 juillet 1975c 1. Il a été édifié en 1660 par l'architecte François Le Vau pour le financier Nicolas Lambert, qui possédait en outre l'hôtel Lambert à Paris. Les dépendances, métairie et orangerie ont été transformées respectivement en musée et siège de la Société historique, et en lieu d'expositions et de concerts. Au terme d'une longue et méticuleuse

principal Philippe de Sucy, de son compagnon le marquis d’Albon et de la scène dont ils sont témoin. (l’apparition de la comtesse de Vandières) * Le retour en arrière, sur l’épisode de la retraite de Russie des troupes impériales en 1812 lors du passage de la bérézina où cette même comtesse et le baron vont être séparés de façon tragique. Situation du texte : Début du texte -> automne 1819. Après être resté prisonnier pendant 6 ans et revenu en France depuis 11 mois, Philippe de Sucy aperçoit

aussi considéré par une œuvre romantique, elle met en scène deux amants « le colonel Philippe de Sucy et la Comtesse Stéphanie de Vandieres. Cette œuvre exprime les sentiments amoureux. Cette œuvre présente le fantastique : l’évocation de Stéphanie aliénée, errant comme un fantôme dans un paysage de ruines : « cette femme semblait dans une méditation profonde »p36. Cet amour est impossible car en effet Philippe est comme condamné par la folie qui ronge Stéphanie, en raison de son histoire difficile

L’histoire Lors d’une journée à la chasse deux amis, le marquis d’Albon et le baron Philippe de Sucy, rencontrent une femme manifestement folle prés d’une demeure à l’abandon. Philippe reconnaît alors la comtesse Stéphanie, sa maîtresse, dont il fut tragiquement séparé en 1812 lors du passage de la Bérézina. C’est alors qu’un espoir va naître chez le baron qui va tout faire pour que Stéphanie recouvre la mémoire. Malgré ses efforts, la comtesse reste folle et le baron à bout de nerfs veut

Visitation avec François de Sales. Elle perd son père en 1627, puis sa mère en 1633 puis trois de ses grands-parents. Elle est élevée par son grand-père, puis à la mort de ce dernier ce sont ses deux oncles l’abbé Philippe de la Tour de Coulanges, qui possédait un château à Sucy, près de Paris et Christophe de Coulanges le « Bien-Bon » qui lui donneront une instruction et une éducation exemplaires. La légende veut que Ménage et Chapelain aient été ses maîtres. Mais ces importants personnages

soir » Ce paragraphe plante le décors, il nous amène dans l'œuvre et dans la scène. Balzac nous décrit le décors pour nous y plonger, un décors de forêt et de chasse. On retrouve d'autre passage comme cela dans l'œuvre, trois page plus loin « Philippe de Sucy tressaillit […] douce teinte d'un crépuscule d'automne » On trouve ici un long passage qui nous décrit encore l'univers autour des deux hommes, mis à part quelques dialogues qui entrecoupent la description. Dans Un cœur simple de Flaubert, on