Philippe Pétain

de transports, de logement et vestimentaires pour s’occuper des prisonniers. 6. De Gaulle s’oppose à la majorité et en particulier à la Haute-Cour toujours en vue d’une France encore plus forte et parfaite. 7. Envers Philippe Pétain, de Gaule est assez indulgent. Pétain s’est retiré « dans le silence » et est déjà âgé. De Gaulle l’estime donc finalement comme « sage » et « digne », de plus « ce qu’il avait couvert était indéfendable ». Il laisse donc transparaitre de la pitié pour cet homme

commandé par Philippe Pétain. Trente-quatre ans séparent le jeune lieutenant du vieux colonel qui, à cinquante-six ans, commande l'obscur 33e RI, quand d'autres sont déjà généraux. Pétain, qui a perdu la foi, passe pour un libertin et compense ses déboires et sa réputation par un isolement et une froideur calculés. Pourtant, il sait parfois briser la glace pour ses officiers qu'il estime beaucoup. Voilà un caractère qui plaît au lieutenant de Gaulle, chez qui, semble-t-il, Pétain reconnaît aussitôt

portraits élaborés sont rares (Ils sont beaucoup plus nombreux chez Saint-Simon). De Gaulle accorde la plus grande place aux hommes d’Etat, alliés ou adversaires, qu’il a rencontrés. C’est ainsi que Staline, Hitler et Mussolini (en diptyque), Churchill et Pétain ont droit à des portraits développés, alors que le nouveau Président des Etats-Unis Harry Truman ou le premier ministre Clement Attlee qui remplaça Churchill ne sont quasiment pas décrits. De Gaulle a privilégié les membres du «club desgrands» (70)

République n’est pas en mesure d’agir sur les évènements : faiblesse du pouvoir exécutif, retrait des personnalités marquantes des années 1920, absence de majorité parlementaire stable... Elle est emportée par la défaite militaire de juin 1940. Philippe Pétain, président du conseil des ministres, négocie l'armistice avec les Allemands, obtient les pleins pouvoirs et devient le « chef de l'État français ». Toute mention du terme République disparaît des actes officiels de l'État français. À la Libération

l'armée française sombre en quelques semaine et survient alors le désastre de mai-juin 1940, suivie de l'occupation allemande. La France se retrouve avec le sentiment d'une nation humiliée et asservie. Un homme va alors se démarquer : le maréchal Philippe Pétain. La république étant pour lui responsable de la défaite, il entend reconstruire la France sur des bases nouvelles en redonnant au pays ce qu'il juge être ses vraies valeurs. Nous pouvons alors nous demander quels ont été les rôles joués par

Charles DE GAULLE Charles DE GAULLE est né le 22 novembre 1890 à Lille. Sorti de l'École militaire de Saint-Cyr en 1912, il a rejoint l'infanterie sous les ordres du colonel Pétain. Lieutenant au début de la Première Guerre mondiale, il est nommé capitaine en janvier 1915. Gardé captif par les Allemands en Bavière, il est libéré après l'armistice du 11 novembre 1918 et reçoit diverses distinctions. Il est affecté en 1931 au secrétariat général de la Défense nationale à Paris : c'est l'occasion

19 ème siècle : Instabilité politique sous divers régimes : monarchie ( Louis-Philippe)-république-empire ( Napoléon III ). Époque entrecoupée de révoltes et révolutions. (décrites par exemple dans les misérables de Victor Hugo). C'est la montée et le triomphe social de la classe bourgeoise décrite par Honoré de Balzac. La nostalgie de l'époque révolutionnaire et les déceptions devant les valeurs de la classe bourgeoise sont à l'origine du Romantisme en littérature ( inspiré par les poètes allemands-Goethe-

maréchal Pétain, nommé le 16 juin chef du gouvernement Français , annonce à la radio de Bordeaux qu'il vient de demander un armistice à l'ennemi . Le lendemain, 18 juin, le général de Gaulle, sous-secrétaire d'État à la défense nationale et à la guerre dans le précédent gouvernement de Paul Reynaud, lance en réponse à la radio de Londres un appel à une résistance dans lequel il prédit la victoire. Décrivant les raisons de la défaite, il explique, au contraire du maréchal Pétain, pourquoi

Ainsi, il marque le coup d’envoi d’une mémoire glorieuse et basée sur une double négation: tout d’abord un refoulement du régime de Vichy et un oubli de la défaite de 1940. La collaboration n’est que l’affaire d’une poignée de traîtres. Pourtant Pétain est arrivé légalement au pouvoir: les députés de la Troisième République lui ont donné les pleins-pouvoirs. Le mythe de la France résistante s’impose comme une évidence. Il faut survaloriser la résistance unie derrière

la période de la Seconde Guerre mondiale entre le déclaration de guerre de la France à l‘Allemagne et l‘invasion de la France le 10 mai 1940. Lors de la défaite de l’armée française en 1940, le gouvernement de Vichy (représenté par le maréchal Philippe Pétain) signa l'accord de l'armistice avec l'Allemagne le 24 juin. A la suite à cette déclaration, Paris devient une « ville ouverte »: dés lors, Paris n’est plus la capitale de la France et devient le siège du commandement militaire allemand en France