Philippe V le Long

MEDICIS, duc de Florence, et ses cousins : o LORENZO DE MEDICIS (LORENZACCIO) o CÔME DE MEDICIS, LE CARDINAL CIBO. LE MARQUIS CIBO, son frère. SIRE MAURICE, chancelier des Huit. LE CARDINAL BACCIO VALORI, commissaire apostolique. JULIEN SALVIATI. PHILIPPE STROZZI et ses fils : LES CLASSSIQUES A PORTEE D’OREILLE www.lyre-audio.com Lorenzaccio Alfred de MUSSET 2 / 257 • • • • • • • • • • • • • • • PIERRE STROZZI, o THOMAS STROZZI, o LEON STROZZI, prieur de Capoue, ROBERTO CORSINI

d'un processus est aussi le début de son déclin... nous continuons depuis à piétiner sur place, perdus au fin fond du bout de cette "crise" qui n'en finit pas de terminer (2). Comment comprendre autrement la course éperdue des "avants gardes" tout au long du vingtième siècle, et l'accélération toujours plus rapide de leur succession. Il faudrait examiner comment cette accélération a imposé la revendication de "nouveauté" et d'"originalité" comme autant de valeurs impératives, jusqu'à interdire tout

mectre au Conseil, autrement ne les eust signées. Toutes les lettres ainsi veues et expédiées il lisoit de mot à mot et après les signoit de sa main, ne jamais n’eust cachet que la signature de sa main.  », selon l’extrait en annexe du livre de Philippe Contamine sur Charles VII, qui révèle du roi un portrait contentieux et appliquer dans les réformes du royaume. -> extrait tiré de Nature doc : Les documents présentés sont les ordonnances royales de réformation et d’institutionnalisation

en 1789, cette date charnière n’est que le résultat d’un certains nombres de prémices antérieurs. La révolution française elle-même débute avant même 1789. Cette période révolutionnaire est marqué par un avant, un pendant et un après. Mais tout au long de cette période, il y a un même désir qui anime les révolutionnaires. Ce désir c’est changer (les institutions, le pouvoir, en un mot : révolutionner, refonder le pays), limiter (le pouvoir absolu du roi, limiter le pouvoir du roi c’était donner une

Fiche de Lecture : Némésis de Philip Roth  I/ Biographie Philip Roth est né à Newark, une ville portuaire proche de Manhattan dans le New Jersey, le 19 mars 1933. Petit-fils d’immigrés juifs originaires de Galicie arrivés aux Etats-Unis au tournant du XXe siècle, fils d'un modeste agent d'assurances chez Metropolitan Life, Philip Roth a une enfance heureuse à Weequahic, quartier de la petite classe moyenne de Newark, cette banlieue new-yorkaise. Un décor qui reviendra amplement dans ses futurs

Capet doit aller évincer les arabes du comté de Barcelone => prépare son départ => fait sacré son fils afin qu’il assure son remplacement => Robert n’est pas totalement roi => ni couronne ni insigne mais onction => deux rois. Jusqu’à Philippe Auguste en 1123, les rois utilisent cette pratique pour assurer leur descendance => fondation d’une dynastie, les capétiens => se maintien jusqu’en 1328 de ligne direct (père en fils) et jusqu’n 1792 collatéralement. => PREMIERE LOI FONDAMENTALE

alexandrins à rimes plates est propre à ce genre littéraire, car le vers long permet la gravité du ton. L'hyperbole abonde, avec l'image insistante du "gouffre" pour la plaine (v. 4, 5), les panaches "énormes " (v. 6), rimant avec les "blessures difformes " (v. 7), notation certes réaliste mais dont l'évocation dans ce contexte appartient également à l'exagération épique qui accentue aussi bien l'horreur que l'héroïsme, par le sourire (v. 22) des condamnés qui pousse jusqu'à l'exagération. Les comparaisons

villes sur le continent. À compter de 1380, l'affaiblissement du pouvoir royal, conjugué à un contexte économique difficile, conduit à une période de guerre civile dans les deux pays, situation dont le royaume d'Angleterre est le premier à sortir. Henri V d'Angleterre profite alors de la folie du roi Charles VI de France et de la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons pour relancer le conflit. Fort de son alliance avec les Bourguignons, il obtient la couronne de France pour son fils Henri VI avec

religieux. C'est dans ce contexte de début de modernité politique que s'inscrit notre document. Il s'agit d'un extrait de Rerum austriacarum libri XV écrit par Pontus HEUTERUS, Pontus de Huyter, et publié en 1584. Dans cette œuvre, que l'auteur dédie à Philippe II d'Espagne, il retrace l'Histoire des Rois, Ducs et Comtes de Bourgogne. L'extrait que l'on allons étudier est le discours d'abdication de Charles Quint, qu'il fit devant les États Généraux des Pays Bas et la cour impériale, dans la grande salle

: mariage de Louis VII et d’Aliénor d’Aquitaine.· 1146 : appel à la deuxième croisade.· 1152 : mariage d’Aliénor et d’Henri Plantagenêt.· 1174 : canonisation de Bernard de Clairvaux.· 1175 – 1218 : vie Simon IV de Montfort· 1180 – 1223 : règne de Philippe II Auguste· 1204 : les croisés pillent Constantinople. Conquête de la Normandie.· 1200 – 1231 : naissance de l’université de Paris· 1204 : mort d’Aliénor d’Aquitaine· 1214 : bataille de Bouvines.· 1222 : arrivée des Mongols avec Genghis Khan.· 1226