Philosophe

Si "philosopher, c'est réfléchir sur toutes les activités humaines", si la philosophie est l'amour et la recherche de la sagesse, si, comme l'écrivait Descartes "c'est proprement avoir les yeux fermés sans tâcher jamais de les ouvrir que de vivre sans philosopher...", si "l'objet de la philosophie n'est pas limité", si "c'est l'esprit même que la philosophie cherche à retrouver", si "philosopher c'est apprendre à mourir", si c'est l'Univers que la philosophie cherche à comprendre, alors le Symbolisme

I. L’axe de la pensée : problème de la vérité. A ) Combat contre les opinions 1) Les Philosophe contre les Sophistes. Exercice : 1) - Quels sont les points communs entre les Philosophes et les Sophistes ? 2) - Qu’est-ce qui les distingue radicalement ? 3) - A partir du sujet suivant : Peut-on défendre une opinion, utiliser le texte des Sophistes pour argumenter. 1) Tous les deux ont un esprit critique et remettent en question les valeurs et les pouvoirs établis ? Ils utilisent la parole

On reproche souvent aux philosophes de ne poser des questions sans pouvoir y répondre. Et on considère généralement la philosophie comme une discipline inutile n'apportant aucun intérêt dans la vie de chacun Or dans ce texte, extrait de "Problème de philosophie", Russel s'oppose à cette vision négative de la philosophie en mettant en évidence ses bienfaits Pour lui, ce qui fait paradoxalement la force de la philosophie est "son caractère incertain" c'est à dire le fait qu'elle ne parvient pas

plusieurs reprises dans l’extrait : « atomes pensants », « barbares sédentaires », « assassins ridicules », « s’égorgent mutuellement » Le philosophe terrien déplore que tous les hommes soient des « fous » (« méchants et malheureux », mis à part quelque savants auxquels on ne s’intéresse pas suffisamment. Voltaire regrette ici le peu de pouvoir accordé aux philosophes et aux hommes de science à son époque.Les hommes sont comparés à des «  fous » et à de « chétifs animaux ». L’auteur donne ainsi une vision

évènement contingent, à savoir le procès puis la mort de Socrate, un mythe fondateur de la philosophie. Ce mythe modèlera fortement la figure du Sage dans la tradition philosophique occidentale. Car Socrate, à l’approche de la mort, est en effet plus philosophe que jamais : seule la pratique de la philosophie rend la vie digne d’être vécue, et en corollaire, permet d’accepter la mort. Le procès de Socrate : On reproche à Socrate les faits suivants : - son athéisme - son influence néfaste sur

est un moyen pour les philosophes d’être sage et qu’il ne faut pas tolérer le mensonge. La philosophie, en grec, c’est l’ « amour » de la « sagesse ». La sagesse c’est le savoir. Il est donc important pour un philosophe de connaitre la vérité puisque c’est les moyens d’accèdes à la sagesse. Le philosophe se doit donc de recherche la vérité même si celle-ci est douloureuse. En effet, un philosophe se doit de préférer la vérité à l’illusion, au mensonge. Pour le philosophe la connaissance permet

Pythagore, auquel remonte le mot, ce n'est pas la sophia elle-même, science et sagesse à la fois, c'est seulement le désir, la recherche, l'amour (philo) de cette sophia. Seul le fanatique ou l'ignorance se veut propriétaire d'une certitude. Le philosophe est seulement le pèlerin de la vérité. Aujourd'hui, où la science constitue tout notre savoir et la technique, tout notre pouvoir, la philosophie apparaît comme une discipline réflexive. A partir du savoir scientifique, la visée philosophique se

 Devoir, société, morale. Nous avons tendance à penser que ces mots vont de paire. Le philosophe Alain, dans un extrait de Propos d'un Normand nous montrera qu'il n'est pas aussi simple d'associer ces termes. Alain était le pseudonyme de Émile-Auguste Chartier, né en 1868, il aura connu les deux guerres mondiale, car il décèdera en 1951. La problématique qu'il veut soulever dans cet extrait est : Qu'est-ce que le devoir ? Car dans son texte Alain ratisse assez large. Il se demande ce qu'est pour

dernier sont mis sur table pour être interprétés. Le dualisme est, en outre, un sujet très populaire pour bien des philosophes dont Platon et Descartes. Dans cette dissertation, il va être question de la position de Platon sur si la réunion d’un corps et d’une âme peuvent définir l’être humain, celle de Descartes et, enfin, de la comparaison des deux points de vues de chacun de ces philosophes. Pour commencer, Platon ne pense point que l’être humain peut être défini comme la réunion d’un corps et d’une

Cicéron, par exemple) doit d’abord être une compréhension du monde (une physique), monde qui est, selon eux, avant tout un ordre, un cosmos, une parfaite harmonie. Pour se représenter cette idée d’un « ordre cosmique » tel que le conçoivent les philosophes stoïciens, on peut se représenter le réel comme une sorte d’organisme animé. L’ordre du monde n’est pas seulement une structure merveilleuse mais c’est un ensemble dont toutes les parties sont en accord avec le tout comme dans un corps vivant où