Philosophie De Galilée Et Copernic

Cours de philosophie – Navarro Chapitre 3 : La raison et le réel ; la vérité ; la démonstration ; la matière et l’esprit. I) Retour sur le film 12 Hommes en colère, de Sidney Lumet (1957) : suffitil d’être certain pour être dans le vrai ? La certitude d’avoir raison est-elle un moyen suffisant pour savoir que l’on est dans le vrai, que l’on ne se trompe pas ? Certitude : adhésion entière de l’esprit à une idée qu’il juge vraie. Elle s’oppose au doute. La certitude tire sa force de la vérité

l’objectif de la science  Mais cet objectif est aussi celui de la philosophie. En quoi la science se distingue-t-elle de la philosophie de ce point de vue ? a) On sait que science et philosophie, à l’origine, sont étroitement liées (cf. l’Académie de Platon : "Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre"), puis vont se différencier peu à peu, mais conserveront toujours en commun cet objectif : tendre vers la vérité. b) La philosophie est "recherche et amour de la vérité". Cela signifie qu’elle n’atteint

de cette théorie est que l’homme est en possession de capacités intellectuelles potentiellement illimitées. La quête du savoir et la maîtrise de diverses disciplines sont nécessaires au bon usage de ses facultés. L’humanisme s’inspire de la philosophie et de la réflexion antique et ne s’oppose pas à la croyance divine. Ce mouvement vise à lutter contre l’ignorance et à diffuser plus clairement le patrimoine culturel y compris le message religieux. Cependant, l’individu, correctement instruit

en un siècle et demi. En 1530 Nicolas Copernic achève la rédaction de son livre Des révolutions des sphères célestes (qui ne sera publié qu’en 1543). En 1584, Giordano Bruno publie De l’infinité de l’univers et du monde (il est brûlé par l’Inquisition en 1600). En 1628 William Harvey met en évidence le phénomène de la circulation sanguine. En 1628, Galilée publie Dialogue sur les deux grands systèmes du monde où il défend la conception héliocentrique de Copernic contre la conception géocentrique (héritée

Philosophie Danielle Lories Introduction: Qu’est-ce que la philosophie? (C’est une question philosophique) Il y a une question philosophique politique et une question philosophique épistémologique et 4 éléments de réponses: 1. pas de réponses sures, ou dont on n'a jamais fini de chercher des réponses. 2. Les méthodes éprouvées font qu'elle se situe (la philosophie) par rapport aux sciences sans résultat unanimement admis. 3. Se distingue des sciences notamment car elle n'a pas de

d'épistémologie » vient du grec ancien «epistemê», la science, et de «logos», l'étude : ce qui signifie l'étude des sciences (c'est la science qui réfléchit sur les sciences, sur toutes les sciences). Aujourd'hui, l’épistémologie tend à faire partie de la philosophie. L'épistémologie est une interrogation critique sur les sciences, sur leur origine, leurs méthodes, leurs résultats et finalement, sur leur capacité à expliquer le réel, qu'il s'agisse du réel physique ou du réel social. De plus, elle permet d'expliquer

ses idées. Autrement dit Le terme fantique désigne la personne qui, au nom d'une foi en une idéologie estime qu'il n'y a aucune limite dans les actions qu'il est légitime d'entreprendre pour la faire triompher.Pour Voltaire, qui soutient que la philosophie est le seul remède au fanatisme : « Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des

connaissance (première partie). De plus, les premières traces d'activités scientifiques en mésopotamie se retrouvent par l'invention de l'écriture cunéiforme (en forme de clous), qui, par les pictogrammes, permet la reproduction de textes Aussi, la philosophie met en avant la méthode expérimentale, développée par Claude Bernard qui définit une démarche scientifique qui consiste à tester par des expériences répétées la validité d'une hypothèse en obtenant des données nouvelles, qualitatives ou quantitatives

Pascal, Préface pour un Traité du videGroupe d’études « La philosophie au sens large » Animé par Pierre Macherey 07/12/2005 Pascal et l’idée de science moderne : la Préface pour un Traité du vide de 1651 (suite) Les étapes suivantes de l’investigation que Pascal a consacrée à cette même question du vide, se situent en 1651, où il a esquissé sa Préface pour un Traité du vide, et où il a eu une importante correspondance avec M. de Ribeyre, un notable de Clermont-Ferrand, dans laquelle

aug- ments sa science augmente sa douleur. L’HcUsiaste, 7, £o 3ainte &bie, trad. Louis SzGOND. ’ n fraDpms 13821 qui, par son de h sphRe, se un précurseur de sc et de Gozz. he scolastique $ {1300 *-1350 ?) a iaissé plusieurs ’ de philosophie et éologie, dont Ie ‘ est d'affirmer la objechve deg ’tions universelles ) p les principes tifiques ; cette ’on fair d'Occxu, •eux d’Albert Arr, mcébe lointain du ’ ’ ’ e. L’épopée de la Science Rois du monde, nos lointains aieux de