Philosophie De L Absurde

(1914-1960), père mort à la guerre, mère analphabète ayant mené une vie miséreuse. Mode de vie dur. Malgré ceci, Camus rencontre à 8 ans un instituteur qui découvrit ses capacités et les développa > agrégation de philosophie > enseignant. Journaliste, écrivain, résistant. - Philosophie existentialiste de l'absurde résultant du constat de l'absence de sens à la vie. La prise de conscience de cette absurdité doit être considérée comme une victoire de la lucidité sur le nihilisme qui permet de mieux

intérieure, mais il est impossible d’établir un rapport suffisant avec le monde pour être libre. Il est donc nécessaire de chercher la raison pour obtenir la liberté. C’est ce qu’on voit dans l’histoire, comme avant la révolution de 1789 avec la philosophie des Lumières, qui a préparé cette révolution. L’ensemble des œuvres du XVIIIème siècle ont ainsi proposé une critique radicale des inégalités, des fanatismes, des injustices, et ont contribué intellectuellement au courant révolutionnaire. Le révolutionnaire

de superlatifs: "ce meilleur des mondes possibles", "le plus beau des château" c)Le registre comique. comique de mots: "thunder-ten-tronckh", "Pangloss" (toute la connaissance en grec), "métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie". Des remarques absurdes: "son château avait une porte et des fenêtres", "les nez ont été faits pour porter des lunettes" registre de langue familier: "grands coups de pied dans le derrière", et euphémisme avec "une leçon de physique expérimentale" (relation sexuelle).

C’est quoi l’absurde? L’absurde? 1- Définitions : Absurde : adjectif (latin absurdus, discordant) Qui est contraire à la raison, au sens commun, qui est aberrant, insensé : Ce raisonnement absurde aboutit à un non-sens. Il est absurde de croire aux revenants. Qui parle ou agit d'une manière déraisonnable : Vous êtes absurde de vous obstiner. Pour les existentialistes, se dit de la condition de l'homme, qu'ils jugent dénuée de sens, de raison d’être. Synonymes possibles : Aberrant

de l’Étranger et de la Peste, l’un des principaux acteurs de la vie intellectuelle française de l’après-guerre. - UN INTELLECTUEL ENGAGÉ Né en Algérie dans une famille très modeste, orphelin de père, Albert Camus commence des études de philosophie au cours desquelles il fait la connaissance du professeur Jean Grenier, qui l’influencera beaucoup et lui fera découvrir Nietzsche. Atteint de la tuberculose, il ne peut achever ses études, mais soutient cependant en 1936 un diplôme d’études supérieures

gens qui l’entourent. D’abord, il s’excuse plusiers des fois avec les gens qui l’entourent pour le décès de sa mère. Si bien qu’il ne soit pas insensible au monde, pendant la première partie du roman, il me semble quelques fois qu’il trouve la vie absurde et ennuyeuse. Mais il change d’opinion au long de la deuxième parti du roman, quand il est dans la prison. Là, il perdre sa liberté et d’ailleurs il est condamné à mort pour le meurtre de l’arabe. Dans sa cellule, il commence à exprimer ses émotions

des chapelles et des curés privés. b) Critique de la philosophie de l'optimisme : Voltaire remet en cause dans ce texte la philosophie de Leibniz, en effet derrière Pangloss se cache Leibniz, il y a bien une caricature de la philosophie optimiste de l'allemand Leibniz. Pangloss est critiqué, il n'y a que ses discours nigaud. Effectivement, tout le raisonnement de Pangloss est dans la logique de l'absurde, il se moque de sa philosophie de Pangloss, la cosmolonigologie = calembour = logique

discréditant le baron car difficile à prononcer. De plus, il est précisé que la mère de Candide, sœur du baron, n’avait point voulu épouser le père de Candide car il n’avait pas assez de quartiers, soixante et onze au lieu de soixante-douze, ce qui est absurde, et montre la superficialité et le matérialisme des aristocrates, ils ne cherchent que le pouvoir et l’argent. Le personnage de Candide lui-même, censé être noble, a un esprit de la plus haute simplicité, amplifiée par le champ lexical de l’innocence

des apparences trompeuses. Dans un premier temps, nous verrons que Voltaire utilise le schéma traditionnel du conte, puis qu’il dénonce l’illusion du pouvoir nobiliaire. Et enfin, nous verrons que Voltaire dénonce également l’illusion de la philosophie optimiste. I- L’utilisation du schéma traditionnel du conte a) L’incipit du conte traditionnel - le récit débute comme un conte traditionnel : utilisation de la formule « Il y avait » qui rappelle le début des contes de fées avec la formule

nommé Joussouf-Cherbi interdit la lecture dans son pays. Il est vite ridiculisé car ses arguments sont insensés et sa démarche est absurde car il utilise la loi pour interdire la lecture, il raconte des mensonges, on va s'opposer à la notion du progrès, l’innovation, au savoir, la connaissance. Ce Mouphti s’oppose à tout ce que un peuple aimerait connaître. C’est absurde car ce traité est un éloge de l'incohérence. En réalité ce pamphlet est un texte violent contre l’obscurantiste et le fanatisme religieux