Philosophie Et éducation

Le bouddhisme une religion ou une philosophie ? Éthique et Culture religieuse Présenté à Pierre-Olivier Hudon Par Laurence Cantin Gr : 53 Juvénat Notre-Dame du St-Laurent Remise : 3 décembre 2012 Tout au long de mon éducation on m’a présenté le bouddhisme comme étant une religion, mais est-ce vrai ? Le bouddhisme est-il réellement une religion ou une philosophie ? Tout au long de ce travail, je devrai répondre à cette question en me justifiant à l’aide d’un minimum de deux arguments

Nous allons parler de Donatien Alphonse François de Sade (Le Marquis de Sade) et un des poètes maudits qui s’appelle Charles Baudelaire. Le premier appartient au XVIII siècle ou de l’Illustration, par cette raison il parle de l’éducation, une éducation opposée à cette de Rousseau, dans sans livre « 120 Journées en Sodome » et le deuxième appartient au XIX siècle ou Le Romantisme, cependant, il a appuyé ces poèmes sur le symbolisme et il a parlé de thèmes tels que : Lesbianisme, Drogues, Mort, Pornographie

s'intéresse aussi à l'éducation des filles et laquelle avec l'aide du roi Louis XIV crée une institution, Saint-Cyr dont nous parlerons plus bas. Il ne faut pas oublier que le but principal de l'éducation pour ces trois personnages c'est de donner une éducation religieuse et former ainsi des bonnes chrétiennes, après cela on leur apprendra à lire, á écrire, le calcul ou les travaux d'aiguille. Cela nous pouvons le voir reflété dans les vers suivants, prononcés par Arnolphe : Et c´est assez pour elle

Ainsi écrira-t-il en août 1733 : « je lui suis attaché en proportion de son mérite, ce qui veut dire infiniment ». Depuis les années 1970, on assiste à une réévaluation de son ' uvre par des chercheurs venant de diverses disciplines : sciences, philosophie, littérature, histoire, etc. On peut aujourd’hui dire que Voltaire n’exagérait en rien ses qualités. Ainsi Émilie du Châtelet fait-elle figure d'exception dans l’histoire française du XVIIIème siècle, tant par le fait que ce soit une femme que par

considérée comme l’idéal de la connaissance. De manière classique nous pouvons la définir comme étant l’accord de notre pensée avec le réel. Donc, la vérité doit être conforme à nos connaissances. C’est ce que nous avons appris tout au long de notre éducation qui définit un idéal qu’est la vérité. La recherche de la vérité peut être comparée à une théorie scientifique. Une théorie scientifique est le fruit de longues recherches et observations. Une théorie scientifique tout comme la vérité philosophique

philosophes (Platon, Rousseau…). Condorcet, met l’accent sur la liberté, qui repose sur l’éducation. Il s’oppose donc à l’enseignement de la constitution républicaine comme une doctrine. Lepeltier de Saint-Fargeau prêche quant à lui pour une « éducation du citoyen ». Il insiste sur la discipline et la soumission aux lois. Après Thermidor et l’avènement du Ier empire, et encore davantage après la Restauration, le thème de l’instruction civique s’efface et disparaît au profit d’un retour de l’instruction

plus tard pour son élève Aristote, l'homme est pour Platon un « animal politique ». Il a consacré deux de ses œuvres les plus importantes - « La République » et « Les Lois » - à la politique dont la morale est une dimension essentielle. Sa philosophie l’a amené à penser le droit selon une vision naturaliste, qui prétend qu’il existe un droit naturel émanant du Divin, et que l’Homme doit appliquer le droit en respectant ces principes naturels. Sera dans une première partie brièvement présenté

ne doivent ni gouverner l'État, ni faire la guerre, ni entrer dans le ministère des choses sacrées; ainsi elles peuvent se passer de certaines connaissances étendues, qui appartiennent à la politique, à l'art militaire, à la jurisprudence, à la philosophie et à la théologie. La plupart même des arts mécaniques ne leur conviennent pas: elles sont faites pour des exercices modérés. Leur corps aussi bien que leur esprit, est moins fort et moins robuste que celui des hommes; en revanche, la nature leur

communauté morale à l’Homme et pourrait aussi nous amener à nous questionner sur comment déterminons-nous ce qui est juste ? La morale est-elle innée ou acquise ? Qu’est ce qui la fonde ? Est-ce un principe de notre nature ou est-ce apporté par notre éducation, notre société ou autre ? Avons nous toujours conscience de ce qui est bon ? L’Homme ne peut-il être soumis à des instincts comme les animaux ? Est-il dans la nature humaine de juger ce qui est moral ? Comment peut-il effectuer ce jugement ? La

culture est l’ensemble de tous les produits humains dans le domaine des arts, de la connaissance et des comportements. Selon cette définition, il faut considérer que tout homme est cultivé, puisque en tant qu’être social, il reçoit nécessairement une éducation qui le conduit à parler une langue, poser certaines valeurs et avoir des croyances. L’usage encyclopédique que l’on’ fait parfois de cette notion ne doit donc pas nous égarer sur son caractère d’abord anthropologique : l’homme est un être de culture