Philosophie pratique

Kant et le jugement de goût La question du goût est l’une des problématiques fondamentales en philosophie de l’art. Devant une œuvre d’art les jugements sont variés. Ils sont aussi opposés. Ce sont des désaccords qui s’expriment. Les uns aiment les autres non. Certains pensent qu’il faut connaître les œuvres pour pouvoir les apprécier, d’autres pensent que la spontanéité est la seule garantie d’un goût valable. Tous ces jugements se valent-ils ? Certains sont-ils plus pertinents ? Les jugements

. La question de la vérité chez Hegel Clément Bertot Mémoire de maîtrise, année 2004-2005. Université de la Sorbonne, Paris IV PhiloSophie © avril 2007 Table des matières Remerciements ......................................................................... 5 Introduction .............................................................................. 6 Section 1 : La critique hégélienne des doctrines non spéculatives de la vérité .................................................

La philosophie, comme toute chose a un créateur. Selon Platon, le père de la philosophie serait Socrate. Platon est l’un des disciples de ce dernier et dans son livre L’Apologie de Socrate il fait la défense de Socrate dans son procès. Le jugement final des juges a été de mettre à mort le philosophe. Par contre cette nouvelle ne fait pas l’unanimité, puisque les tyrans et les disciples du mis à mort n’appuyaient pas cette décision. Donc, était-il juste de condamner Socrate? Dans le texte suivant

correspond à ses « propres et naturels moyens ». Il souligne le contraste avec les pratiques des auteurs contemporains et fait « connoistre l’extreme difference entre eux et moy ». b) …. et quand l’essayiste emprunte, c’est pour mieux se dire lui-même… 147 C - 148 C : « Reprendre en autruy mes propres fautes (…) en ce docte et laborieux tissu des Politiques ». Montaigne réfléchit sur la manière dont il pratique l’emprunt. c) … dressant de lui-même un portrait fidèle, qui n’est pas

l’expérimentation que la science s’est lancée sur une route inarrêtable. C’est alors la découverte de l’héliocentrisme, de la forme elliptique des orbites, des lois de la gravitation universelle et bien d’autres découvertes. La philosophie a aussi connue une révolution grâce à la philosophie féconde de Descartes qui amènera de nouvelles dimensions philosophiques. L’humain se questionne alors sur sa finalité et se demande s’il est déterminé par une force divine ou son existence n’est que le fruit du pure hasard

question. Le Discours de la méthode est un classique de la philosophie. Il est très bien organisé et original dans sa forme. Il peut être utile pour toute personne se posant des questions sur la vérité, et sur la façon dont on doit conduire sa raison. Mais cette méthode n’est pas simple à appliquer pour tout le monde, car les propos de Descartes sont parfois exagérément compliqué, et donc difficiles à comprendre et à mettre en pratique. Les explications de Descartes trainent parfois en longueur

Un entretien avec Marcien Towa, professeur et philosophe proposé par David Ndachi Tagne Editions du Crac (Cet échange a eu lieu à Yaoundé en 1998) Où en est la philosophie africaine dans l'environnement d'aujourd'hui? Le philosophe peut-il réussir le pont de la pensée à la "praxis", autrement dit à l'action, notamment politique? Deux questions qui viennent à l'esprit lorsqu'on va à la recontre du Pr Marcien Towa, philosophe, ancien recteur d'Université et maire d'une commune de village. Marcien

solipsisme ? Solipsisme : est une théorie philosophique selon laquelle l'esprit est la seule chose qui existe réellement et le monde extérieur n'est, selon cette conception, qu'une représentation. Ayant entrepris de refonder entièrement la philosophie sur des bases solides, Descartes met en œuvre un doute méthodique, consistant à éliminer tout ce qui n'est pas absolument certain, afin de voir s'il reste après cela quelque certitude sur laquelle s'appuyer. Il découvre alors que, même si mes sens

raconter tout ce qu’il sait et construire un plan qui ne corresponde qu’à ce qu’il sait et non au sujet posé. Lorsque ce sujet est tombé au bac 2008 (à la surprise des correcteurs tant le thème est vaste !), les plans en quatre ou cinq parties ont été pratiqués par de nombreux candidats alors qu’ils sont à proscrire absolument. Remarque : le sujet est beaucoup trop vaste pour être traité par les séries ES/L, auxquelles correspondraient plutôt des sujets chronologiques parcellaires (comme la guerre froide

opposition à l'égoïsme. Un autre homme, une autre personne. En philosophie, "autrui" est ce qui est différent de moi et que l'appréhende par ma subjectivité. L'homme est ce que j'ai en commun avec les autres, tandis qu' "autrui" est ce qui me différencie des autres, ce que je ne peux connaître totalement, à cause de ma subjectivité. En philosophie, il n'est pas rare d'employer le terme de cité à la place du mot Etat. Cette pratique renvoie à la Grèce antique, laquelle était composée de grandes cités