Photon

puis de transférer les tranches ainsi obtenues dans du LCA standard. III. TECHNIQUES SPECTROFLUORIMETRIQUES La fluorescence est un type de luminescence (émission de photons) qui résulte de l’absorption de photons incidents par une molécule. L’absorption d’énergie par la molécule n’intervient que lorsque l’énergie des photons incidents correspond exactement à l’énergie nécessaire pour déplacer un électron entre deux états de transition. L’énergie étant inversement proportionnelle à la longueur

noyaux-cibles légers (Z < 15). Ceci à cause de la barrière coulombienne trop forte dans le cas des noyaux lourds et qui empêche l’ion incident de s’approcher suffisamment du noyau-cible pour induire la réaction nucléaire. Les produits de réaction détectés (photon ou ion secondaire) sont caractéristiques du noyau-cible en fournissant ainsi une très grande sélectivité à la technique jusqu’au niveau isotopique. Les réactions présentant une résonance étroite dans leur fonction d'excitation (variation de la section

déduction, les spécialistes sont parvenus à retracer ce qu’a pu être le parcours du rayonnement cosmique : | |L’Univers a rapidement été composé de matière "ionisée" dans laquelle la lumière ne se propage pas ; les grains de lumière, les photons, se | |heurtent aux particules, sans cesse absorbés puis réémis en tout sens. Le cosmos se comporte alors comme un épais brouillard. | |Puis l’Univers se dilate, la température s’abaisse. Pour une valeur de la température

..................... 81 C - Synthèse des couleurs ........................................................................................................................................................................................ 84 Les photons ..................................................................................................................................................................... 86 A - Le rayonnement du corps noir ...........................................

débits, mais pas uniquement. En effet la fibre optique est plus fiable, plus performante et a un coût de revient moindre que les câbles cuivrés. Cependant de nouveaux problèmes se posent, notamment en terme de routage. En effet, le traitement des photons qui circulent dans la fibre optique n est pas aussi aisé ni aussi bien maîtrisé que le traitement des signaux électriques dans les réseaux cuivrés. Dans un premier temps, des solutions de conversions opto-électriques ont été mises en place. Les signaux

de “grains de lumi` re” appel´ s : e e e Photons. En principe, pour n’importe quelle longueur d’onde ces deux aspects coexistent toujours. Cependant, pour les tr` s grandes longueurs d’onde (ondes radio et plus...), la nature e e e e corpusculaire de la lumi` re est difficilement d´ celable. Aux tr` s petites longueurs d’onde (rayons γ ), c’est au contraire la nature corpusculaire qui est le plus facilement mise en ´ evidence (collisions directes de photons avec d’autres particules en physique des

spectre électromagnétique Un spectre électromagnétique (EM) est la décomposition d'un rayonnement électromagnétique en fonction de sa longueur d'onde, ou, de manière équivalente, de sa fréquence (via l'équation de propagation) ou de l'énergie de ses photons Spectre EM Domaine total des longueurs d'ondes ou des fréquences du rayonnement électromagnétique 10-12 10-10 10-8 cosmique Rayons X gamma f(Hz) 1020 1018 UV 1016 10-6 10-4 10-2 V 100 102 104 106 l(m) Spectre radio IR 1014 Micro-ondes

spectroscopiques que de proposer une analyse structurale très fine. Les spectroscopies sont des méthodes d’identification et de dosage non destructives fondées sur l’absorption (ou l’émission) quantifiée d’un rayonnement électromagnétique (ou d’un photon) par une substance. Cette absorption quantifiée d’un rayonnement par une molécule, caractérisée par une bande d’absorption dans un spectre de fréquence, provoque une modification des distances entre les particules (électrons et noyaux) qui la composent

transition d’un niveau  , il faut franchir cette barrière énergétique, on utilise une onde électromagnétique de fréquence  tel que : h =  ħ Bo or ħ = h = 0 = fréquence de précession de LARMOR  = relation de LARMOR l’absorption du photon de fréquence 0 se traduit par le basculement du spin nucléaire de l’état parallèle à l’état anti parallèle. Ex :  = Bo ×  peut aussi être exprimé en degré / T.s S-1 ou Hz T rad on utilise alors la relation 0 = Bo

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 37 39 39 41 42 46 47 4 Le photon 4.1 L’e¤et photoélectrique . . . . . . 4.2 L’e¤et Compton . . . . . . . . . 4.3 Les coe¢cients A et B d’Einstein 4.4 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .