Photopolymère

source d'éclairage est un laser qui, de par ses cohérences spatiale et temporelle permet la création d'interférences lumineuses de bon contraste. Ces interférences peuvent être enregistrées sur des milieux photosensibles variés (plaques, fils, photopolymères, cristaux) et sous différentes formes (variations de densité optique, d'épaisseur, d'indice de réfraction), conduisant à des hologrammes d'amplitude et de phase. 1/8 45 La figure 1 décrit le principe de l'enregistrement d'un hologramme : la

lithographiée. Dans un premier temps, l’image doit être créée sur une plaque soit photographiquement soit à l’aide d’un ordinateur plus communément CTP ou computer-to-plate. Lors de son passage dans la chambre photographique, la couche de résine photopolymère est exposée aux ultraviolets. Les zones de la plaque exposées par les UV vont recevoir leur encrage, à l’inverse, les zones non exposées seront « mises à nu » par lavage. Dans un second temps, de la gomme arabique est appliquée sur la plaque, ce

au cours de l’impression. 1.2.3 Selective Sintering Laser La Selective Laser Sintering (SLS) ou « frittage laser sélectif » consiste quasiment à la même chose que la stéréolithographie. La seule différence est que le liquide photopolymère est remplacé cette fois par une poudre. Le principe est ensuite identique. Une fine couche de poudre est d’abord étalée. Puis le laser à ultraviolet va la solidifier. Sous l’effet de la chaleur due au laser, les particules de la poudre fondent

résine spéciale sensible au traitement ultra violet. À la fin de chaque couche 2D, une lampe à ultra violet traite la résine qui durcit à son contact. Un système de ventilation est obligatoire à cause des vapeurs toxiques qui s’échappent des photopolymères et des solvants. Procédé DLP (digital light processing) Comme la stéréolithographie ce procédé utilise la photopolymérisation. En effet, un projecteur est placé sous une cuve de résine photo sensible qui durcit au contact de la lumière. L’objet

tissu appelé tamis. Pour cela, il faut fabriquer une image négative sur un écran. La forme imprimante est constituée d’un tissu (poreux) de fibres synthétiques ou métalliques tendu sur un cadre. Les parties non imprimantes sont obturées par un photopolymère. Cette forme imprimante est appliquée contre le support d’impression et l’encre est versée sur la forme imprimante. L’impression est réalisée en faisant pénétrer l’encre avec une racle, à travers les parties non obturées de l’écran, de façon qu’elle

étiquettes IML, plusieurs procédés sont possibles : • l’offset feuilles avec encres à séchage par oxydation ou encres UV, • l’héliogravure, • l’offset rotatif petite laize avec encres UV, • la flexographie avec encres UV, • la typographie avec plaques photopolymères et encres à séchage par oxydation ou encres UV. L’ordre de citation correspond approximativement à la fréquence d’utilisation des différents procédés. L’offset feuilles est particulièrement apprécié car il permet d’une part de combiner facilement

couleurs sont disponibles actuellement, plus la transparence et le matériau permet de simuler les propriétés mécaniques de l'ABS et la tenue en température jusqu'à 70° C, voire 110 °C. La technologie Polyjet qui repose sur un jet de résine photopolymère durcie par UV offre des capacités semblables de tests fonctionnels et visuels, en rajoutant un large choix de matériaux. L'Objet 500 Connex3 de Stratasys par exemple permet de mélanger trois matériaux différents et d'associer à différentes

écran en tissu. Pour cela, il faut fabriquer une image négative sur un écran. La forme imprimante est constituée d’un tissu (poreux) de fibres synthétiques ou métalliques tendu sur un cadre. Les parties non imprimantes sont obturées par un photopolymère. Cette forme imprimante est appliquée contre le support d’impression et l’encre est versée sur la forme imprimante. L’impression est réalisée en faisant pénétrer l’encre avec une raclette, { travers les parties non obturées de l’écran, de façon