Photorécepteur

car les groupes OH et CH3 ne sont pas du même coté de la double liaison. c. L'isomérisation photochimique Voir TP 13 ISOMERISATION Le processus de la vision met en jeu une isomérisation photochimique. La rétine contient des milliards de photorécepteurs (cônes et bâtonnets) qui contiennent des protéines appelées opsines. La molécule de Z-rétinal se fixe sur l’opsine. Sous l’action d’un photon, il subit une isomérisation et est transformé en E-rétinal. Sa géométrie change et elle se détache de

déclenchée par la lumière. C’est l’énergie lumineuse absorbée par l’entité chimique qui va permettre cette transformation. SCHEMA 2. La vision Le processus de la vision met en jeu une isomérisation photochimique. La rétine contient des milliards de photorécepteurs (cônes et bâtonnets) qui contiennent des protéines appelées opsines. La molécule de Z-rétinal se fixe sur l’opsine. Sous l’action d’un photon, il subit une isomérisation et est transformé en E-rétinal. Sa géométrie change et elle se détache de

composées de cellules nerveuses et de cellules gliales (nourricières). La structure verticale  Il y a deux catégories de cellules nerveuses : les cônes et les bâtonnets (qui servent d’interface entre l’environnement et l’organisme) appelés photorécepteurs. Ces cellules nerveuses ont deux spécificités : Elles ne possèdent pas de dendrites ; Elles contiennent des pigments particuliers. Trois étapes de « transmission » ; trois couches de cellules. Sous l’impacte des photons de la lumière

fonction du temps, en une abscisse x donnée (ici x = n*λ) : L'oeil humain, comme tout photorécepteur, est sensible à la puissance transportée par l'onde lumineuse, qui est une grandeur quadratique de l'amplitude (c'est-à-dire, proportionnelle au carré de l'amplitude). De plus, comme la période de l'onde est très grande devant le temps de réponse de tout photorécepteur (même les plus rapides), le photorécepteur détecte la valeur moyenne du carré de l'amplitude. Aussi, on écrit que l'éclairement en

couche granuleuse interne et la couche des ganglionnaires. Ces trois couches représentent les cellules nerveuses de la rétine, reliées entre elles et ayant chacune une fonction précise. La couche des cellules photosensibles, aussi appelée photorécepteurs ou cellules sensorielles, comporte environ 130 millions de cellules photosensibles différentes, portant des noms reflétant leur forme: - Les bâtonnets : ils constituent environ 95% de ces cellules, soit environ 120 millions, ils sont responsables

d’endurer la faim. Toujours au point de vue physique on peut observer une mydriase qui consiste à être la dilatation de la pupille qui peut durer pendant 24 heures. On peu aussi remarquer un ralentissement des battements cardiaques. Ensuite, les photorécepteurs sont affectés se qui modifie la perception des couleurs, la sensibilité à la lumière augmente et la sensibilité aux détails s’accentue donc nous pouvons dire que les cônes sont les plus toucher par cette hallucinogène. Nous pouvons aussi dire

Document 1   : Dessins de Monsieur X . Dans ses dessins, les bananes, les tomates et les feuilles sont toutes de la même couleur mais ses photorécepteurs sont intacts Quelle est l’origine de cette anomalie ? Doc 2 : Des images différentes stimulent des régions différentes du cortex visuel. Des explorations du débit sanguin local ont montré que des Mondrian de couleur vive activent fortement l’aire V4. Des images de mouvement en noir et blanc activent plutôt l’aire V5. Ces deux types d’images stimulent

cristallinfait Le cristallin de l’œil se comportent comme une lentille convergente de distance focale modifiable 4Quel est le rôle de la rétine ? Par quoi peut on modéliser la rétine ? La rétine joue le rôle d’un écran sensible à la lumière. Les photorécepteurs (cônes pour la vision des couleurs et les batonnets pour la vision en faible luminosité) de la rétine convertissent l’image lumineuse en message nerveux Quel est le rôle du nerf optique ? Le nerf optique transmet ce message nerveux au cerveau

confirme l'atteinte visualiser au fond d’œil - Angiographie : rechercher des néovaisseaux choroïdiens Formes cliniques - Forme précoce : drusen (30%) 1er signe clinique de la DMLA Drusen= accumulation de résidus de la phagocytose des photorécepteurs par les cellules de l’épithélium pigmentaire Petites lésion profondes, blanchâtres, deux formes et de taille variable - Forme atrophique : forme sèche (50%) - Forme exsudative : forme humide (70%) Notions des traitements possibles

pôle postérieur et comportant deux feuillets principaux : l'épithélium pigmentaire (feuillet supérieur) et la rétine sensible (feuillets inférieurs dans lesquels se trouvent les photorécepteurs). L'épithélium pigmentaire est un feuillet solidaire à la choroïde. Il joue un rôle de phagocyte vis à vis des photorécepteurs usés et absorbe la lumière grâce à la mélanine présente, évitant ainsi une dispersion qui dégraderait l'image. La rétine sensible est donc le feuillet incolore inférieur