Phrase

variée et rythme le texte ; dans chaque phrase on observe une accumulation de qualités inimaginables. On cherche à nous décrire un personnage parfait, le classicisme se différencie ainsi du réalisme. Dans ce texte, les phrases sont structurées en crescendo : physiquement, ce duc est parfait, et moralement aussi. Ainsi, les deux premières phrases nous permettent de conclure que cet homme parfait est admiré des femmes. La litote est utilisée dès la première phrase, avec l’expression du fait qu’être

SYNTAXE 1 SDL Chapitre 2 -1- 2. LES CONSTITUANTS DE LA PHRASE Ce chapitre est destiné à présenter les constituants de la phrase simple. Par phrase simple, nous entendons phrase constituée d'une seule proposition. Nous nous limitons pour l'instant aux phrases déclaratives. 1. LA NOTION DE CONSTITUANT • On appelle constituant tout groupe de mots structuré, ou syntagme, résultant du découpage syntaxique d'un constituant plus grand. La phrase étant la plus grande unité de la syntaxe, donc le plus grand

marquer la possession dans le cadre du GN est en français standard de, et non pas à. b. Je me suis en allé : phrase qui n’est pas non-standard mais agrammaticale car elle transgresse une règle de la grammaire du français selon laquelle le pronom complément atone se place devant l’auxiliaire ou devant la forme conjuguée. c. Cette nouvelle s’est avérée fausse : phrase qui pose un problème d’acceptabilité en français standard à cause d’une incompatibilité entre le sens de s’avérer et

15 à 23 « le mieux du monde ») * La tromperie du palefrenier (4ème péripétie l. 23 à 32 « pour trente ») Conclusion (Dénouement l 32 à 33) Une situation initiale complète mais brève : (l 1 à 5) * présentation de la nouvelle en 1 seule phrase (l. 1 à 5). BdP donne l’identité des 2 pers. et indique l’objet sur lequel la nouvelle va reporter (l. 1 à 3). * Pas d’identité précise du conseiller : utilisation de l’article indéfini « un » ; seule indication dans le texte « un conseiller du

habitants à aller à l’église. Idem « remous » ligne 14. Puis, pendant le prêche, la foule tombe à genoux par imitation, « suivre leur exemple », souligné par complément circonstanciel « de proche en proche ». Propagation mimée par la longueur des phrases lignes 22-26, effet dramatique souligné par évocation du bruit des chaises avec négation « sans aucun autre bruit » + « quelques » devant chaises, développe l’idée de silence solennel évoqué précédemment et mis en relief par la notation de sons qu’on

sentiments. Par contre, il ignore tout ce que le personnage ignore. II LA LANGUE pour comprendre et analyser une œuvre 5-La grammaire d'énonciation Natures et fonctions :  La nature : La nature d’un mot désigne ce qu’est un mot (peu importe dans quelle phrase il se trouve) Mots variables : • Les noms commun (table, porte) • Les déterminants (articles : le, la, les, un, une, des, du ; adjectifs possessifs : mon, ton, son, ma, ta, sa ; démonstratifs : ce, ces, cette, cet…) • Les adjectifs qualificatifs

La   phrase   est   articulée   en   deux   parties   et   traite   du   lien   étroit   entre   la   toilette   de   madame   Swann   et   la   saison   actuelle.   Le   premier   segment,   plus   étendu,   et   structurellement   plus   complexe,   commence   par   le   verbe   «  persuadé  »   et   se   poursuit   avec   l’utilisation   du   «  je  »  

est extrait, et de quelle année la contemplation : le fait de regarder quelque chose avec beaucoup d'attention contempler : regarder sans penser à autre chose que ce qu'on regarde leur poser des questions sur la structure du poème et faire une phrase pour récapituler ce poème de Victor Hugo est extrait des Contemplations ; il est composé de trois strophes de 4 vers chacune. Les rimes sont croisées. Compréhension globale l'aube = nom féminin. Le moment où le jour se lève le contraire de

économie ne pourra résister à...”, iIl donne l’idée dans la le texte que la conséquence serait  plus grave et plus catastrophique. C’est une façon d’alarmer le lecteur. On trouve des phrases exclamatives à la fin du texte:” Quel defidéfi providentiel!” et “Quel beau et salutaire dessein!”. Avec ces phrases exprimant le jugement positif de l’auteur. , Il il encourage et oblige le lecteur à s’adonner à l’autre choix. Les formes linguistiques que vous citez sont tout à fait pertinentes. N’hésitez

(Chapitre 7, Page 151 à 153 de « Mais Pierre soudain devint aussi furieux […] qu’elle nous entende. ») Question directrice: montrez que ce conflit relève à la fois du réalisme mais aussi qu’il est plus symbolique. Introduction : >Phrase d’accroche >Présentation brève du roman >Une situation précise de l’extrait ainsi que sa présentation générale >la question qui va guider la lecture analytique > annonce des deux axes. Nombre d’auteurs ont optés pour le réalisme, c’est le cas