Phèdre Effet Passion Amoureuse

représentation de personnages de haut rang et s’inspire de sujets antiques, mythologique ou biblique. Le sujet par excellence est le choix entre la passion amoureuse et la raison, notamment avec les catastrophes que des passions peuvent engendrer. Elle a pour but de susciter la terreur avec la punition des dieux et la pitié afin d’opérer une purgation des passions nommé catharsis. Les thèmes les plus récurrents sont l’amour, la haine et la jalousie, la tragédie doit également s’achever dans le chagrin et

le pouvoir se confond avec le vouloir : il lui suffit d’ordonner. Chez lui, la parole est un acte : dire, c’est faire. Délivré des contingences matérielles de l’existence, il peut vivre avec le maximum d’intensité, en allant jusqu’au bout de ses passions, bonnes ou mauvaises. Le réel ordinaire ne le menace d’aucune usure, d’aucune compromission. À travers son sort personnel se joue le destin du peuple sur lequel il règne. C’est pourquoi, selon Giraudoux, « on réussit chez les rois les expériences

des pièces inspirées de l'histoire (Britannicus en 1669, Bérénice en 1670, Mithridate en 1673), de la mythologie (Iphigénie en 1674, Phèdre en 1677), de l'orient (Bajazet en 1672) qui le consacrent comme maître de la tragédie classique. Il est membre de l'Académie française depuis 1673. Racine met en avant le destin tragique de l'homme, soumis à la fatalité des passions et aux malédictions divines. Après cette période, il arrête le théâtre et est chargé de l’historiographie du roi (élaborer une histoire

alors qu’il est au sommet de sa gloire potentielle. La CATHARSIS [PURGATION] a un sens moral dans le théâtre de la renaissance, le spectateur tragique ne recherche plus la pitié et la terreur, mais les envisage comme un moyen d’avertir contre des passions qui sont représentées sur la scène. Robert Garnier, Hippolyte Hippolyte est fondé sur un sujet mythologique, mais est d’une certaine façon, une figure christique, comparé à un moment, à l’agneau que l’on mène sur l’autel. Garnier, catholique

développer de nouveaux genres théâtraux : farces, soties, moralités, mystères. Les mystères sont souvent joués pour remercier le ciel d’avoir fait cesser un fléau, une épidémie, une guerre ou pour épargner la cité. Ils mettent en scène essentiellement la passion et la résurrection du Christ, parfois des personnages de l’Ancien Testament, les Apôtres, ou retracent la vie de saints. À partir du moment où la division religieuse s’instaure, au XVIe siècle, ils disparaîtront. La Renaissance la Renaissance, les

l'illusion. Dans un premier temps, le naturel est au service de l'illusion théâtrale. En effet, le jeu des acteurs, lorsqu'il annule la distance entre le personnage et la personne, peut servir l'illusion. Il y a alors une confusion entre lieu de la représentation et réalité. Cette perte de repère, pour le spectateur, génère l'illusion. Ainsi, il y a confusion entre le personnage et la personne. En effet, les acteurs jouent « avec naturel » en se servant de leur expérience émotionnelle pour jouer

dieux, à sa patrie et à ses parents. Médée semble donc considérer son ‘’amour’’ maternel comme un devoir ! b) interprétation La tragédie permet au public d’assister au spectacle de la transformation d’un homme en monstre : le héros tragique, en effet, en proie au dolor devient un furiosus ce qui le conduira au scelus nefas. le dolor le héros est en proie à une souffrance physique et morale. Pour les Romains, la douleur est déconsidérée dans la mesure où elle fait perdre à l’homme sa dignité. Or

En 1857 Flaubert a profondément marque la littérature française avec Madame Bovary, une idéalisation presque parfaite de la passion amoureuse à son paroxysme, conduisant indubitablement à la désillusion. Il accouche de son œuvre dans la douleur. Madame Bovary fait scandale a sa sortie mais n'a pas été condamnée pour ''outrage a la morale publique et religieuse aux bonnes mœurs''. Ce livre narre l'histoire dramatique d'un médiocre médecin de campagne, Charles Bovary, qui tombe amoureux d’Emma Bovary

est sans doute la forme la plus susceptible de créer une scène de conflit. Il permet généralement aux passions de se déchaîner. Le conflit peut être intérieur, il est vécu par un seul personnage, comme dans Phèdre tiraillée entre la passion pour son beau-fils Hippolyte et sa fidélité à son époux Thésée. Le théâtre, avec sa convention du monologue, marque le déchirement intérieur et les passions. Cela pourrait paraître ennuyant pour le spectateur, mais les émotions transmise lors de ce dialogue animé

trouve que ce jour-là on executait un noble, et cet évenement avait attiré une partie du pablic habituel du theatre. La qualité de la pièce finit néanmoins par s’imposer et est devenue aujourd’hui la pièce de Racine la plus jouée après Andromaque et Phèdre. Racine s’est basé sur l’histoire romaine pour écrire sa pièce, la base du récit est conforme a l’Histoire, malgrès le fait qu’il ai un peu viellit les personnages et qu’il « invente » le personnage de Junie et son amour réciproque pour Britannicus