Phèdre La Violence

Le lundi 11 février 2008 | | |Fiche de Lecture | |PHEDRE | |de | |Jean RACINE | |Commentaires :

Introduction I°) Etudes des personnages principaux dans Phèdre 1. Phèdre 2. Thésée 3. Hyppolyte 4. Aricie 5. Œnone II°) Etudes des personnages secondaires 1. Théramène 2. Ismène 3. Panope Conclusion Noms des exposants : * Khadizatou Ba * Babacar Diop * Dicko Diaw * Ndeye Awa Ndao * Korka Mamel Sarr * Moussa Sadio Diop INTRODUCTION Au XVIIe siècle apparait un grand mouvement de la

détail, une exagération des expressions et une théâtralité des décors. En littérature, cela se traduit par l’emploi de nombreuses figures de style comme l’hyperbole et la métaphore. Les auteurs baroques mettent en avant la passion et la violence des sentiments. C’est le cas par exemple du poème de Pierre de Marboeuf que nous avons étudié. Ici, l’auteur met en avant l’inconstance du sentiment amoureux. Le personnage fait la cours à sa maîtresse, qui lui fait un serment au-dessus de l’eau

discours narratif (avec le récit) et discours argumentatif (avec la morale implicite  v1-2). Fable empruntée à Phèdre (Antiquité). La loi du plus fort qui s’oppose à la force verbale. Registre polémique. Principaux procédés d’écritures : Versification (vers hétérométriques  alexandrins, décasyllabes, octosyllabes, un vers de 4 syllabes et heptasyllabes). Fable empruntée à Phèdre (intertextualité). Problématiques : Comment cette fable met – elle en scène la loi du plus fort ? Comment La Fontaine

s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. ». Cette citation nous explique l’inutilité de devoir utiliser la violence physique dans la tragédie. Dans un premier temps on verra les nécessités d’utiliser la violence et la mort dans la tragédie puis ensuite d’autres alternatives à la mort et à la violence pour faire en sorte qu’une œuvre reste tragique. Tout d’abord, on sait que dans la quasi-totalité des tragédies le thème le plus présent est la mort.

passage et rappelle qu’il conduit tout être vers la mort ; la condition humaine : la faiblesse de la condition humaine et sa vulnérabilité, les interrogations sur le sens de la vie prennent une acuité tragique dans les situations de guerre ; la violence : les textes qui évoquent la guerre, qui dépeignent un pays occupé et maltraité, ont des résonances tragiques, surtout lorsque sont mis en parallèle le passé heureux et un présent difficile à vivre, ou quand l’accent est mis sur l’absurdité d’un

Questions de lecture sur Phèdre et On ne badine pas avec l’amour. Phèdre de Racine Question n°1 Phèdre de Racine est une pièce en 5 actes. L’intrigue principale est la suivante : Phèdre, épouse de Thésée roi d’Athènes, est amoureuse de son beau-fils Hippolyte et ceci est la cause de ses tourments. Toute la pièce est unifiée autour de ce sujet principal et ainsi l’unité d’action imposée par le théâtre classique est respectée. D’autre part Phèdre se déroule à Trézène, une ville du Péloponnèse,

Résumé de Phèdre: Phèdre, épouse de Thésée, croit ce dernier mort; libérée par cette nouvelle, elle se laisse aller à avouer à Hippolyte, son beau-fils, la passion coupable qu’elle éprouve pour lui. Cet aveu met bientôt Phèdre dans une situation intenable : non seulement Hippolyte la rejette, mais Thésée, qui avait simplement disparu, est bientôt de retour. Phèdre est alors poussée au mensonge par Œnone, la nourrice de son époux : elle accuse Hippolyte d’avoir voulu lui faire violence. Thésée

s’étendent du début du XVIe siècle jusqu’à la fin du XXe siècle. Le deux premiers textes désignent des pièces de théâtre, l’un étant «l’épitre à propos de Médée», écrit par Pierre Corneille et publié en 1635, et le deuxième étant la Préface de «Phèdre», écrit par Jean Racine et publié en 1677. Ils sont considérés avec Molière comme les plus grands dramaturges du XVIe siècle, l’ère du mouvement Baroque et du Classicisme. Racine et Corneille, dans leurs oeuvres, réalisent un appel à la pitié des

héros tragique est alors confronté au destin, bien souvent synonyme de divinité ou, du moins, de transcendance. Mais encore, innocent, il est alors le jouet de cette transcendance, de cette mystérieuse fatalité. Ainsi, dans la préface de sa tragédie Phèdre, Racine, dramaturge français du XVIIe siècle, écrit qu'elle est «ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente». En effet, victime des forces des Dieux, plus précisément de Vénus, celle-ci tombe dans une passion inassouvie et dévastatrice envers