Phèdre Les Personnages

PHÈDRE LA JALOUSIE I/ AMBIVALENCE DES SENTIMENTS DE PHÈDRE A/ LE DESIR DE COMPRÉHENSION ET LE RETOUR SUR LE PASSÉ *Hyberbole « tout ce que j’ai souffert » : phèdre se livre à une instrospection *question de rhétorique « où ma raison va t-elle s’égarer ? » mouvement de réflexivité, elle éprouve un st d’étrangeté à elle même, autoanalyse. *paradoxe « des crimes inconnus en enfer » éprouve un sentiment de honte et de culpabilité.  *hyperbole « spectacle horrible » elle ne supporte pas l’image

Les personnages :Phèdre = Personnage éponyme (qui donne son moment la pièce). Héroïne. Fille de Minos, roi de Crètes ; et de Pasiphaé.Origine royale, noble. [Femme jeune] Épouse de Thésée, roi d'Athènes => étrangère. Soeur d'Ariane. Elle s'empoisonne et se jette dans les flots.Thésée = Roi d'Athènes, père d'Hippolyte et Pirithoüs (tous deux impartis en enfer pour enlever Perséphone, l'épouse du dieu des enfers). Au début de la pièce, il est porté disparu ; mais par la suite, il est tenu pour mort

sentiments et à les expliquer à travers les tragédies classiques. Le texte est la scène 3 de l’acte II de Phèdre, dans laquelle celle-ci avoue son amour pour Hyppolite. Ecrit par racine en 1967, le texte nous donne à réfléchir sur les différents sentiments exprimés par Phèdre. En effet, cette tirade est un aveu amoureux dans lequel Phèdre exprime sa souffrance, ce qui la place en personnage pathétique. I) Aveu amoureux 1) Aveu direct et incontrôlable. 2) L’expression de ses sentiments. 3)

thématiques, stylistiques et ses significations dans cet extrait. Référence à la mythologie dans la réplique de Phèdre, « monstre de la Crète » : Minotaure (p 65, v 649), référence à Ariane, vers 652. Phèdre fait un parallèle entre Hippolyte et Thésée / Phèdre et Ariane. La réplique de Phèdre : on à l’histoire de Thésée avec le labyrinthe donc elle avoue au passage son amour pour Hippolyte. Phèdre propose un double discours, elle dresse un portrait de Thésée : on pense que c’est le portrait de ce dernier

Commentaire Composé: Acte V, scène 1 1. Introduction Phèdre est une pièce de Jean Racine, présenté pour la première fois en 1677. C'est une tragédie qui inspire chez le spectateur la terreur et la pitié. On y voit un héro face à la fatalité. La pièce se compose de 5 actes et respecte les 3 unités. C'est une pièce qui apparait lorsque Racine est au sommet de sa gloire. La pièce se déroule à Trézène, en Grèce. Les personnages sont: Phèdre ( personnage principale), Thésée, Hippolyte, Oenone, Aricie et

immoral) on retrouve cette morale dans ses plus grandes œuvres, telles que Phèdre. Phèdre parut en 1677, d’abord intitulée Phèdre et Hippolyte puis Phèdre, représente un sujet fameux de la mythologie grecque emprunté à Euripide, mais il modifiera quelques aspects afin de respecter les règles de bienséance et de vraisemblance du théâtre classique. Cette tragédie revêt un caractère classique en général car elle représente des personnages de sang royal, respecte la règle des 3u, respecte la métrique classique

Phèdre,Racine,1677 Phèdre est une tragédie qui respecte les principes du théâtre classique grec avec: - l'origine noble des personnages qui jouent un rôle politique; - la force de la fatalité; - la composition en 5 actes et l'écriture en alexandrins; - l'unité de lieu, de temps et d'action; - le dénouement tragique; - le spectacle qui provoque la terreur et la pitié chez le spectateur. ACTE I L'acte I comprend 5 scènes qui présentent tous les personnages principaux. Hippolyte veut

devant Phèdre, sa belle-mère, dont il redoute confusément les sentiments à son égard. La scène 3 révèle que l’amour de celle-ci est encore plus à craindre que sa haine. Le dialogue manifeste le rapport très intime qui unit Œnone à Phèdre dont elle a été la nourrice. Dans son insistance, Œnone se trouve néanmoins dotée d’un rôle qui va au-delà de celui de confidente : en faisant avouer à sa maîtresse son amour, elle est l’agent du destin et embraye la machine tragique. Dans sa tirade, Phèdre se rend

philosophe, parfois même des philosophes peuvent être des personnages imaginaires inventés par d’autres philosophes. Ce qui nous amène à nous demander si l’amour philosophique chez Platon dans son œuvre Le Banquet, nous renvois une forme d’amour acceptable. Les discours, celui de Diotime et celui de Phèdre, sont de toute évidence d’opinions opposées. Bref, le texte qui suivra, vous démontrera ma préférence envers le discours de Diotime à celui de Phèdre. La première partie de ce travail résume

Ce corpus composé de trois extraits de pièce de théâtre, Phèdre et Bajazet de Jean Racine, ainsi que d' Othello de William Shakespeare, appartenant toutes au genre tragique, et dont une intense passion fait partie intégrante de chacune de ces pièces. Ces trois extraits font tous partie du mouvement littéraire du classicisme. Au XVIIe siècle, le théâtre s’est notablement inspiré des œuvre des « Anciens », pour qui les auteurs classiques vouaient une grande admiration. Ils ont en effet reproduit la