Phèdre Malédiction

sa nourrice. Au moment où elle vient de faire ce cruel aveu, Thésée est absent et bientôt le bruit de sa mort se répand dans Athènes. C’est Phèdre elle-même qui vient annoncer cette triste nouvelle à Hippolyte ; dans cette entrevue, sa tête s’égare et elle lui fait l’aveu de ses coupables sentiments. Hippolyte, épouvanté, la repousse avec horreur et Phèdre, humiliée, jure de se venger de cet affront. Cependant avant de le faire, elle essayera encore une fois de fléchir Hippolyte ; maintenant qu’elle

Commentaire composé Phèdre acte II scène 5 Jean Racine est un dramaturge classique du XVII é siècle ; ce mouvement artistique et littéraire a atteint son apogée sous le règne de Louis XIV, il est axé sur le réalisme, la vraisemblance et la bienséance. Jean Racine privilégie les œuvres théâtrales appartenant au registre de la tragédie s’inspirant d’œuvres antiques et plus particulièrement grecques. Il s’inspire de d'Euripide et de Sophocle pour créer une de ses tragédies la plus connue, Phèdre, en 1677.

Phèdre lui oppose la passion dont elle a rêvé : «Ils s’aimeront toujours» et, dans la tirade des vers 1252-1294, elle passe du délire à la lucidité : n’est-elle pas capable de se voir elle-même comme «une amante insensée»? ne se demande-t-elle pas : «Que fais-je? Où ma raison se va-t-elle égarer?». Elle succombe moralement sous le poids de l’horreur qu’elle s’inspire à elle-même. Dans les vers 1257-1263, sa jalousie devient furie vengeressse, au nom aussi de son orgueil («je ne puis souffir un bonheur

PHÈDRE Phèdre est un personnage de la pièce «Phèdre» de Jean Racine. Cette œuvre a été créée le 1er Janvier 1677. Phèdre est la fille de Minos (roi de Crète) et Pasiphaé. Elle est aussi mariée à Thésée qui est mort, mais ses sentiments la trompent et elle tombe amoureuse du fils de Thésée, Hippolyte. La passion que Phèdre a pour Hippolyte domine toute sa vie, et change sa personnalité. Elle transforme le manque de Thésée en amour pour son beau fils, Hippolyte. De par la ressemblance entre le

de lecture : Phèdre de racine Acte I Hippolyte dit à Théramène, son chef, qu’il veut partir à la recherche du roi de Troie et d’Athènes, qui est Thésée et à père disparu. Il dit fuir Aricie, dont il est amoureux mais pour des raisons politiques, il n’a pas le droit de l'aimer. Phèdre apparaît très triste. Sa nourrice, Oenone, arrive à lui faire dire son secret, elle aime son beau-fils,qui n'est d'autre qu'Hippolyte, qu’elle fait semblant de le détester pour qu’il s’éloigne. Phèdre veut mourir.

reconnaît sa faute Dieu prononce 2 malédictions sur le serpent v14 Et l’Eternel Dieu dit au serpent: Parce que tu as fait cela, tu es maudit d’entre toutes les bêtes et d’entre tous les animaux des champs; sur le sol à cause d'Adam v17 Et à Adam il dit: Parce que tu as écouté la voix de ta femme et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre: Tu n’en mangeras pas! Le sol est maudit à cause de toi. Sur Eve , aucune malédiction v16 A la femme il dit: Je rendrai

bien vieille…’’. Privé de sa muse, Baudelaire trouve donc une nouvelle source d’inspiration en s’adressant à la Beauté. Nous verrons de quelle manière Baudelaire déconstruit un lieu commun de la poésie amoureuse et trouve l’inspiration dans sa malédiction. MOUVEMENT 1 : Le don d’immortalité v.1 à 8 MOUVEMENT 2 : Le poète maudit s’adressant à la Beauté v.9 à 14. Mouvement 1 : Le don d’immortalité * « Je te donne ces vers » v.1, on voit dès le premier vers qu’il fait don de ce poème,

BRISER LES MALEDICTIONS ET LES ALLIANCES | Sur la base de Genèse 3 :17 et de Genèse 9 :25 Que les devins ne soient plus en mesure de percevoir quoique ce soit de moi ou en m’utilisant au nom de Jésus. Leurs miroirs ne refléteront plus d’informations sur moi, au nom de Jésus Je me repens de toutes relations que j’ai eues avec les esprits de rébellion qui s’opposent à Dieu dans ma vie. Je renonce et rejette les esprits de désobéissance hors de ma vie au nom de Jésus. Seigneur, brise et ôte

reste dans sa maison à pleurer son abandon et sa solitude. Le corps dolent, le cœur meurtri, elle déteste en elle cette beauté dont s'enchantent des nations entières. Tant qu'enfin le triste père de l'infortunée jeune fille, soupçonnant quelque malédiction céleste et craignant d'avoir encouru la colère d'en haut, interroge l'antique oracle du dieu de Milet, offre à cette puissante divinité des prières et des victimes, demande pour la vierge dédaignée un hymen et un mari. Apollon, bien que grec et

davantage ses bourreaux. Nous sommes responsables de la ‘folie’ de Van Gogh comme nous le sommes de la chute de Rembrandt, discrédité et abandonné de tous, des hantises morbides de Goya, des délires de Delacroix, de la déchéance de Lautrec, de la malédiction de Pascin, du martyre d’Utrillo, de la mort ‘inexpliquée’ de Nicolas de Staël. […] Ainsi Van Gogh représente-t-il, non un problème pathologique sur lequel, sans doute, on dissertera à perte de vue, mais plus certainement sociologique, comme