Phèdre Suscite Admiration

et historiques lesquelles varient d’une époque à une autre d’où l’on parle de problèmes plutôt occasionnels alors que l’art reste absolu et éternel. - La littérature en général et l’écriture en particulier doivent procurer un certain plaisir et susciter l’évasion au-delà de la laideur et des affres de la vie quotidienne : ce travail artistique devient en quelque sorte, une quête incessante d’un monde meilleur qui touche parfois les dimensions de l’idéal. Exemple : parmi maints exemples surgit

et la conversion de la reine païenne – vient finir de combler les attentes courtoises du public. 3. Les éléments propres à susciter la curiosité du public médiéval Le dernier paragraphe ci-dessus répond amplement à la question : référence à la religion, hauts faits chevaleresques, conquête armée et conquête amoureuse. On ajoutera parmi les éléments capables de susciter la curiosité du public médiéval la soumission et la conversion des païens ainsi que l’évocation de la ville, de ses palais et

d’Antigone et dans la défaite des Perses. Accablements totalement irrémédiables, souvent meurtriers. À ces émotions radicalement insurmontables viennent s’associer les désirs en leur versant le plus délirant. Désir d’être aimée chez Médée ou chez Phèdre, désir de vengeance chez Oreste et Électre, désir d’anéantissement de Troie chez les Grecs victorieux. Ces émotions, ces désirs et ces passions, qui caractérisent les tempéraments héroïques de l’épopée et de la tragédie et leurs dramatiques excès

1265-1266). La scène 3 de l’acte III, où pour la première fois Ruy Blas et la reine se parlent seul à seule, culmine dans l’exaltation lyrique, dans l’aveu enflammé de leur passion mutuelle, dans l’expression hyperbolique de leur dévotion et de leur admiration réciproques. C’est de l’extase où il se trouve à la scène 4 de l’acte III que Ruy Blas tire la force de tenir tête à Salluste pendant une partie de la scène suivante, jusqu’au moment où il lui faudra céder devant la pression du grand seigneur qui

1265-1266). La scène 3 de l’acte III, où pour la première fois Ruy Blas et la reine se parlent seul à seule, culmine dans l’exaltation lyrique, dans l’aveu enflammé de leur passion mutuelle, dans l’expression hyperbolique de leur dévotion et de leur admiration réciproques. C’est de l’extase où il se trouve à la scène 4 de l’acte III que Ruy Blas tire la force de tenir tête à Salluste pendant une partie de la scène suivante, jusqu’au moment où il lui faudra céder devant la pression du grand seigneur qui

ses hésitations naissent toutes les péripéties de la pièce. Il n’y a rien dans tout cela qui sente l’artifice : on a l’impression que rien ne pouvait se passer autrement. Si Voltaire critiqua Ie manque d'unité de l'action, il avoua néanmoins son admiration en termes élogieux : «Il y a manifestement deux intrigues dans ‘’Andromaque’’ de Racine, celle d'Hermione aimée d'Oreste et dédaignée de Pyrrhus, celle d'Andromaque qui voudrait sauver son fils et être fidèle aux mânes d'Hector. Mais ces deux intérêts

ses hésitations naissent toutes les péripéties de la pièce. Il n’y a rien dans tout cela qui sente l’artifice : on a l’impression que rien ne pouvait se passer autrement. Si Voltaire critiqua Ie manque d'unité de l'action, il avoua néanmoins son admiration en termes élogieux : «Il y a manifestement deux intrigues dans ‘’Andromaque’’ de Racine, celle d'Hermione aimée d'Oreste et dédaignée de Pyrrhus, celle d'Andromaque qui voudrait sauver son fils et être fidèle aux mânes d'Hector. Mais ces deux intérêts

» l. 33-34) est très nettement déceptive. La comparaison sonne comme une cassure, une rupture brutale qui fait retomber dans la réalité (l. 33-49). Suit l’admiration de Charles pour son épouse dessinatrice et pianiste (l. 50-59). Mais cette admiration confine chez le mari à l’idiotie et à la vanité (l. 60-64). 2. La retranscription des pensées d’Emma s’amorce par l’utilisation du discours indirect (« Elle songeait quelquefois que… » l. 1). Puis, le discours indirect libre (« Pour en goûter

doute, de la perte du guide qui ns soutient pr ne pas tomber ds le précipice. Construction proche de la tragédie : nœud fatal qui va entraîner la catastrophe ac la logique de la passion. C’est un enchaînement fatal motivé par les passions des pers (Phèdre). Extrait 3 : Le Pavillon à Coulommiers Tournoi : M. de N. porte la couleur jaune pr montrer son amour à Mme de C. Mme de C. profite de la mort du roi pr se retirer. Elle demande une copie d’un tableau où on voit le portrait de M. de N

» l. 33-34) est très nettement déceptive. La comparaison sonne comme une cassure, une rupture brutale qui fait retomber dans la réalité (l. 33-49). Suit l’admiration de Charles pour son épouse dessinatrice et pianiste (l. 50-59). Mais cette admiration confine chez le mari à l’idiotie et à la vanité (l. 60-64). 2. La retranscription des pensées d’Emma s’amorce par l’utilisation du discours indirect (« Elle songeait quelquefois que… » l. 1). Puis, le discours indirect libre (« Pour en goûter