Pib Indicateur Parfait

remplir son rôle d’allocation optimale des ressources (le marché ne conduit pas à l’optimum), ce qui justifie alors le rôle de l’État. I – Les dysfonctionnements du marché Le modèle néoclassique est basé sur une hypothèse de concurrence pure et parfaite. Dans la réalité, la concurrence est souvent imparfaite et peut conduire à des situations de monopoles ou d’oligopoles dans lesquelles la régulation concurrentielle ne s’applique plus. Cela justifie l’intervention de l’État par l’élaboration de

confirment les récentes études menées par la Banque Mondiale. La tendance actuelle s’oriente davantage vers les économies de services. La richesse d’un bon nombre de pays est tirée en grande partie par le secteur tertiaire, et le poids ce dernier dans le PIB des économies développées est bien connu. Cela fait que l’obtention d’un avantage compétitif se trouve désormais dans le développement de l’informatique, la spécialisation dans les technologies modernes, la numérisation des services, la dématérialisation

. 271 LES ANNEXES......................................................................................................... 274 4 Abréviations ACP ADF AMDI ANIMA API ASS BTP CNUCED CRI DI DW FBCF FMI FMN GATT IDE IDH IT KMO MCG MCO MENA NEG PIB RD SPSS TIC UE UEBL UMA Analyse en Composantes Principales Dickey Fuller Augmenté L’Agence Marocaine de Développement des Investissements Réseau Euro-méditerranéen des agences de promotion des investissements dans la méditerranée Agence de Promotion

moutons. La leçon des pâturages nous montre que l'intérêt des individus n'aboutit pas forcément à l'intérêt général. Contrairement à ce que prône la doctrine libérale, la recherche de l'intérêt individuel sur un marché ou la concurrence est pure et parfaite ne participe pas forcément à l'intérêt commun et la main invisible d'Adam Smith qui décrit le fonctionnement autorégulateur du marché ne fonctionne pas en matière de protection de l'environnement. 3. Donner un prix à la nature VOIR TD pour les

relations circulaires qui s’établissent entre les activités et les acteurs pour constituer ce que l’on appelle l’économie nationale. Le PIB, reflet d’une représentation de la réalité économique. L’intégration, à partir de 1976 des services non-marchands produits par les administrations et évalués aux coûts des facteurs, a certes constitué une amélioration, mais le PIB est loin de prendre en compte tous les services non marchands. La production domestique, dont les facteurs ne sont pas rémunérés, en

reste cependant la vision quantitative dont on précise les indicateurs de mesure. La croissance est l’augmentation soutenue de la production d’un pays à un autre. La croissance économique est employée couramment pour désigner une croissance sur une longue période. Les indicateurs de référence correspondant à la mesure de la croissance (dimension quantitative) sont respectivement le PIB et le RNB. Le PIB est l’évaluation de la production d’un pays destinée à un usage

biens qui sont nécessaires à la satisfaction des besoins échangé : sol au problème de l’inégalité des compétences, et à la productivité en matière de production de bien. * Les individus peuvent consommer plus * Evolué la production donc le PIB * Le niveau de la société augmente Demande de fonds Prêtables : demande de fond destiné à financer une dépense. Offre de fonds prêtables : épargne disponible en vue d’être proposé aux entreprises ou aux ménages. La demande est un facteur de la

Comment mesure-t-on le progrès économique ? Le travail de Keynes a permis d'avoir un indicateur économique qui a permis d'être un moyen d'action pour les gouvernements : en effet il permet d'évaluer l'évolution historique de l'économie de différents pays. Cet indicateur s'appelle le PIB moyen : il est la valeur moyenne de l'ensemble des biens et des services produits dans une économie. Chapitre 2 : Les indicateurs économiques Un cas concret : La question de l'évolution et du progrès se pose de

1 : LA COORDINATION DES DECISIONS ECONOMIQUES PAR L’ECHANGE : Le Prix et les décisions des agents économiques : -Le Marché : (de biens et services, du travail, financier, des changes). -Le Marché de concurrence : ->La concurrence pure et parfaite (modèle théorique qui sert de base à la compréhension des marchés actuels). Les conditions : atomicité (multitude d’O et D), homogénéité (tous les pdt de même nature), fluidité (libre entrée et sortie des intervenants, mobilité des facteurs de prod)

DEVELOPPEMENT I Le PIB et ses limites Produit = production de richesses sur un territoire, pendant 1 an. On la mesure par la somme des valeurs ajoutées (ajoutées par l’entreprise à la matière première pour produire le bien final). Intérieur = territoire sur lequel on fait la mesure. Brut = on ne tient pas compte de l’amortissement (usure du matériel). Le PNB (produit national brut) est un ajustement du PIB : les transferts de capitaux d’une filiale à l’étranger sont ajoutés au PIB du pays de l’entreprise-mère