Pib Par Défaut Et Par Excés

objectifs à la fois. Il est difficile d’obtenir un taux de croissance du PIB et un solde du commerce très élevés, avec la baisse voire quasi- nullité des taux de chômage et d’inflation. A)   La croissance  Quand on dit croissance, on entend PIB (valeur) PNB (entreprises nationales que l’on enregistre). Quel est l’indicateur de cette croissance ? C’est la valeur ajoutée des entreprises. La croissance s’évalue en fonction du PIB, mesuré à prix constant (sans l’inflation) en volume : quantité produite

produirait, pendant la durée du CDS, un certain type d'événement, prévu par le contrat, affectant le crédit de l'entité de référence (défaut de paiement d'intérêts, surtout). Le but originel était généralement : * pour les acheteurs, de répliquer, mais dans l'autre sens, le coût de détention d'une obligation de l'entité de référence en cas de faillite ou défaut de paiement de celle-ci ; * pour les vendeurs, de recevoir les revenus d'un prêt à l'entité de référence sans avoir à engager les

européennes décident d'élargir les bornes de fluctuation à ±15% donc la spéculation est plus difficile car les banques centrales ont plus de temps pour réagir Conclusion sur le SME : fonctionnement asymétrique avec un pays dominant qui est l'Allemagne (PIB, bonne réputation de sa monnaie, finances équilibrées) => argument de la monnaie unique donc ça serait bien que la politique monétaire soit confié non pas a un seul pays mais une instance fédérale car il pourra prendre en compte les situation de plusieurs

dépenses qeu de recettes fiscales or comment financer un déficit ? création de monnaie par la banque centrale. C faire tourner la planche à biller sous la 4e rep, soit emprunter. Empleur des déficit à provoquer l’explosion de dette public. 80 % du PIB c la dette de l’Etat, en grece, 12 % de déficit et 120 % dette public. L’inflation allège la dette pour tout le monde donc pour les Etats. On a vu réappartrie au printemps 2010 au sein du FMI, ne faudrait-il pas admettre un peu plus d’inflation à

de facto à opter pour un accroissement de l'endettement, ce qui n'est pas neutre en terme de redistribution. Un déficit budgétaire peut en effet résulter non pas d’un surcroît de dépenses publiques, supposées stimuler la demande globale, mais d’un défaut de recettes fiscales, dont l’effet multiplicateur, par le truchement d’un accroissement du revenu disponible des ménages, est moins important en raison d’une différenciation des comportements d’épargne. Les réductions d’impôts ne seront en effet pas

titre d’exemple, le taux de croissance moyen du PIB pour 14 pays européens sur la période 1991-1995. Ainsi, sur cette période, un pays comme l’Irlande a connu un taux de croissance du PIB bien supérieur à celui de ces voisins. Quelles sont les conséquences d’une telle disparité sur la mise en place d’une union monétaire? Considérons deux pays identiques (en termes de propension à importer notamment) et qui ne diffèrent que par leur taux de croissance du PIB. Le pays à fort taux de croissance risque d’être

forte pression sur les fonds propres des banques qui ont réduit leur activité de prêts, conduisant au passage d’une crise financière à une crise de l’économie réelle. Une crise en trois temps : marchés, banques, économie réelle Hausse du taux de défaut sur les prêts subprime Baisse des prix de l’immobilier aux États-Unis Accélérateurs Agences de notation Les marchés Tension sur les produits structurés VALORISATION Les banques Monolines Pertes en valeur de marché Menaces de dégradation L’économie

faut identifier. Le premier déséquilibre majeur est l’inégalité de la répartition de la production mondiale. Les cinq premières économies du monde sont à l’origine de 60% de cette production. Les Etats-Unis engendraient à eux seuls environ 27% du PIB mondial en 1999, alors qu’ils ne regroupent que 5 % de la population mondiale. Dans ce contexte si l’un des deux principaux pays ou un groupe de grandes nations connaissent une faible croissance, l’économie risque d’en souffrir. Les Etats-Unis ont évidement

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 14 15 17 19 20 21 22 26 27 29 32 III.1 III.2 III.3 III.4 III.5 III.6 III.7 III.8 III.9 III.10 III.11 Contributions à la croissance du PIB réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Crédit aux ménages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Positions extérieures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

dépréciée de plus de 45 % par rapport au dollar en l'espace de trois semaines. * La crise financière en Russie: qui s'est traduite également par une crise économique, a culminé en 1998. Elle est marquée par une dévaluation brutale du rouble et un défaut sur la dette russe. Cette crise se produit à la suite de la crise économique asiatique de 1997, située au début d'un ralentissement économique mondial. * La crise argentine: L'expression crise argentine désigne la dernière grande crise économique