Pib Pertinence Et Limites

croissance du PIB nonminier — un agrégat plus pertinent pour évaluer les développements et guider les politiques macro-économiques — devrait rester morose en 2013, et pourrait s’accélérer en 2014 après la transition. L’inflation devrait pouvoir ralentir par rapport à sa moyenne récente, et la position extérieure restera fragile. Le second facteur de changement est celui du démarrage du projet minier d’Ambatovy, qui va modifier l’arithmétique de la croissance agrégée d’une manière significative. Le PIB total

GÉNÉRAL DU CONTENU DU RAPPORT Chapitre 1: Questions classiques relatives au PIB . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 Chapitre 2: Qualité de la vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 Chapitre 3: Développement durable et environnement . . . . . . . . . . . . . . . . 67 II. ANALYSE DES SYSTÈMES DE MESURE ET PROPOSITIONS Chapitre 1: Questions classiques relatives au PIB . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 Chapitre 2: Qualité de la vie .

décisions des agents. Les compétences mobilisent des connaissances et des méthodes qui permettent à l’étudiant de s’approprier et d’exploiter les informations économiques à sa disposition. Le nombre de thèmes et leurs périmètres ont été volontairement limités, afin de laisser une large place à l’analyse de situations réelles et à la réflexion. De ce point de vue, l’analyse de documents à la source, publiés par des institutions telles que l’INSEE, la Banque de France, la BCE, la Banque mondiale ou encore

(maximisation du profit). Le développement rapide des activités productives du 20e siècle, en particulier pendant les 30 Glorieuses où on a une croissance rapide et soutenue, va faire apparaitre des limites à l’objectif premier de toutes les politiques économiques : la croissance. Pourtant, ces limites avaient été anticipées par Adam Smith. Il dit par exemple dans son livre : « la poursuite du profit deviendra graduellement de plus en plus difficile ». Il faisait référence à la dégradation de la

DEVELOPPEMENT (processus aboutissant à l’amélioration des conditions de vie de la population), de nombreux traits les distinguent et on peut se poser la question de leur inégale intégration dans un espace mondialisé. On peut donc se poser la question de la pertinence de la distinction entre NORD et SUD. - problématique : La problématique doit lier MONDIALISATION et DEVELOPPEMENT : en quoi la MONDIALISATION des ECHANGES révèle-t-elle les contrastes et les interdépendances entre pays mais aussi entre régions

Impôts directs/impôts indirects - 6 - IV/ le choix de la matière imposable - 6 - 1. Impôt sur le revenu : - 7 - 2. Impôt sur la dépense : - 7 - 3. Impôt sur le capital : - 8 - Chapitre 2 : Système fiscal marocain, finalités et limites - 8 - I- L’interventionnisme fiscal - 8 - 1. Au lendemain de l’indépendance - 8 - 2. Au début des années quatre-vingt-dix - 8 - 3. actuellement - 9 - II - L’équité fiscale - 9 - 1. L’équité horizontale - 9 - 2. L’équité

nouvelle microéconomie en sont des illustrations. Les faibles résultats des politiques d’ajustement, la montée de la pauvreté et les rigidités structurelles permettent de réaliser d’une part qu’il faut d’autres objectifs que la simple croissance du PIB et d’autre part le développement de l’Afrique nécessite de profondes transformations qui ne sauraient être subordonnés aux simples exigences de réformes à court terme. Comment critiquer le modèle de développement mené jusqu’à maintenant sans tomber

direct) + droits sociaux (salaire indirect) 4.1. Salaires directs et indirects Taxation du travail = 42,4 % 3eme en europe. Moyenne UE : 36,5 % Taxation du capital = 36,9 % 2eme en europe. Moyenne UE : 30,1 % 2005 prélèvements obligatoires = 44% du PIB Modèle bismarkien : la protection couvre le travailleur et ses ayant droit. Prestations proportionnelles aux revenus Cotisations d’assurance sociale Gestion corporatiste La France s’en éloigne : CMU, RMI, alloc familiales Modèle beveridgien : on couvre

bancaires importantes qui ont entrainé des pertes. Les pays émergents, qui nous concernent plus particulièrement, ont été particulièrement touchés par ces crises. Par exemple, au Venezuela, le coût de la crise bancaire a été estimé à 15% du PIB et à 55% du PIB en Argentine. Une crise économique peut être définie comme le retournement de la situation économique d’un pays. Les conséquences d’une crise sont multiples, on assiste premièrement à une montée du chômage, à des faillites successives puis la

en 2009 pour atteindre 143,8 milliards d'euros et 7,5% du PIB. La dette publique apparaît quand à elle à 1489 milliards d'euros. Cela résulterait de deux facteurs : l'augmentation des dépenses et la diminution des recettes. 1- Une forte croissance des dépenses La part des dépenses publiques dans le PIB est passée de 52,8% en 2008 à 56% en 2009, soit une augmentation de 3,2 points en un an. Cela est du en partie par la baisse du PIB de 1,1 point, mais surtout de l'augmentation des dépenses publiques