Pieds-noirs

la population algéroise lutta pour son indépendance. A cette époque, presque un million de Français habita en Algérie : ils s’y étaient installés et avaient emprunté les habitudes des Algériens, jusqu’à leur accent. On les appelait les « pieds-noirs », et ils ne voulaient pas quitter le pays. Le problème de l’émancipation de l’Algérie faillit provoquer une guerre civile en France. Donc, depuis 1954 la France est confrontée à une guerre de décolonisation en Algérie. Les Algériens demandent

18 mars 1962, lord des accords d'Evian (accords qui mettent fin à la guerre d'Algérie et ouvre la voie à l'indépendance du pays) sera le début de la République Algérienne populaire et démocratique le 25 septembre dût à l'exode d'une partie des Pieds-Noirs (colons français rapatriés en France en 1962) qui ne sont pas en accord avec l'indépendance du pays. Cette guerre entraîne de graves conséquences comme des crises politiques, même jusqu'en France : le retour de Charles de Gaulle, le remplacement

rebeller et entrer en opposition ouverte avec le pouvoir. Le conflit débouche, après les Accords d'Évian du 18 mars 1962, sur l'indépendance de l'Algérie, le 5 juillet de la même année, et entraîne l'exode de la population des Européens d'Algérie, dit Pieds-Noirs ainsi que le massacre de plusieurs dizaines de milliers de musulmans pro-français. Le terme officiellement employé à l'époque par la France était « évènements d'Algérie », bien que l'expression « guerre d'Algérie » ait eu cours dans le langage

français d'Algérie, se voit en effet rapatrié en France, pour des raisons de sécurité à cause des attentats du FLN à l'encontre de ces français. Désemparés et perdus, la plupart de ces français, appelé pieds-noirs, se sont sentis abandonnés par la France. En 1962, environ 91 000 harkis (ou pieds-noirs) sont amenés en France malgré une politique française qui s'y oppose. Ils sont méprisés par les Français. On assiste donc à une évolution de la vision de la France par les français, qu'il soit français

l'ordre, l'armée francaise y est envoyée.En 1957, durant la bataille d'Alger, la torture est utilisée. Les gouvernements de la 5 eme République sont impuissants. Le 13 mai 1958, l'armée se souleve, soutenue par la population francaise d'Algerie, les pieds noirs et des musulmans. C'est le putsch d'Alger. Rappelé au pouvoir, d Gaulle change la constitution ezt tente de resoudre le probleme. En 1959, il propose l'autodétermination aux algériens. Cela amene les militaires à se revolter à nouveau en avilk 1961:

tentative d’assassinat contre de Gaulle au Petit-Clamart. En Algérie, les éléments les plus extrémistes du FLN assassinent des Européens pour pousser les Français à partir : « La valise ou le cercueil » En dépit des accords d’Evian, près de 900 000 pieds-noirs doivent quitter l’Algérie à la hâte, abandonnant la plupart de leurs biens, par crainte des représailles du FLN. La plupart des « rapatriés » s’installent dans les départements du sud de la France. La majorité d’entre eux se sentent déracinés, puisque

Chapitre 1 : L’historien et les mémoires de la guerre d’Algérie La mémoire est le souvenir d’un événement qu’on a vécu ici la guerre d’Algérie mais cette guerre est vécue différemment selon les acteurs (soldats, pieds noirs, harkis, FLN). Chaque mémoire est donc suggestive, le rôle de l’historien va donc être de travailler avec objectivité : Dire la vérité. 2 exemples pose un problème de mémoire : Il fallut attendre 1999 pour on utiliser le terme de guerre avant c’était les événements d’Algérie

Deuxièmement, nous verrons la division qui est la source d'instabilité et de violence. La division est une chose propre à cette guerre pour la France. En effet, il existe 2 types de français ; ceux de la métropole et ceux se situant en Algérie ( Pieds-noirs ). A Alger est créé un parti nationaliste en 1954 pour obtenir de la France l'indépendance de l'Algérie, alors divisée en départements français. L'insurrection de la Toussaint 1954 donne le signal de la guerre. Pour unir les fractions divisées

sécessionniste du MNA de Messali Hadj, était partisan de l'action violente pour obtenir l'indépendance. Le choc fut rude pour la France qui considérait l'Algérie comme territoire français où, sur dix millions d'habitants vivait un million d'Européens, les Pieds-Noirs. Ces derniers, pour la plupart, refusaient catégoriquement l'indépendance, bien qu'ils soient en grande partie responsables de cette situation. En effet, les représentants des Français d'Algérie avaient constamment bloqué toutes les réformes

du référendum d'autodétermination du 1er juillet prévu par les accords d'Évian du 18 mars 1962, sur la naissance de la République algérienne démocratique et populaire (appellation officielle) le 25 septembre, sur l'exode d'une grande partie des Pieds-Noirs (au nombre d'un million) qui refusent d'accepter l'indépendance de ce pays. Divergences de qualification juridique et enjeux politiques Remarque historiographique Les archives officielles de la guerre d'Algérie ne sont encore que partiellement