Pierre Le Pesant de Boisguilbert

France. C’était même devenu une mode et les dames de la cour refusaient de porter des étoffes provenant de l'étranger, « prétendant ainsi, en sacrifiant leur coquetterie, se noblement sacrifier à la patrie », (extrait du Grand Dictionnaire universel de Pierre LAROUSSE [1817-1875], publié dans les années 1860). Cette politique protectionniste eut cependant des conséquences. Si elle profita à court terme à l’essor de quelques manufactures, elle eut en revanche l’effet désastreux de conduire les autres pays

de religion „ la suite de la R€forme ont fait €merger l'id€e du libre-€change qui sera formul€e plus tard par Hugo de Groot (Grotius). 6 La naissance de l'€conomie moderne Origines Les premiers pr€curseurs de l'€conomie moderne sont Pierre de Boisguilbert et l'€conomiste irlandais Richard Cantillon. Ce dernier v€cut „ Paris. Il d€finit pour la premi†re fois les circuits €conomiques globaux, et inspira FranŒois Quesnay et les physiocrates. Adam Smith, dans son c€l†bre trait€ Recherche sur la

(1822-1888) Commoner, Barry (1917) Daly, Herman E. (1938-) Duhem, Pierre (1861-1916) Eddington, (Sir) Arthur (1882-1944) Einstein, Albert (1879-1955) Engels, Friedrich (1820-1895) Galilée Galileo Galilei - (1564-1642) Gibbs, Josiah Willard (1839-1903) Haldane, John Burdon Sanderson (1892-1064) Helm, Georg (1851-1923) Huygens, Christiaan (1629-1695) Jevons, William Stanley (1835-1882) Kelvin, Lord - William Thomson (1824-1907) Laplace, Pierre Simon (1749-1827) Leontief, Vassili (1906) Liebig, Justus von

Il en reste sans doute encore trop, du seul fait de mon ignorance. D’ailleurs, ainsi que le dit très justement le proverbe « Bien des élèves sont supérieurs à leurs maîtres ». Je remercie également Laurent DOMBRET , Myriam FIALA, Simeon KOFFI, Pierre PERROT et Paul SANTUCCI pour des nombreuses corrections de coquilles et des échanges intellectuels stimulants. Enfin, je remercie André CABANNES pour sa versions de ce cours. relecture d’une des premières 4 Sommaire Première partie : L’ère

criardes. Il en reste sans doute encore trop, du seul fait de mon ignorance. D’ailleurs, ainsi que le dit très justement le proverbe « Bien des élèves sont supérieurs à leurs maîtres ». Je remercie également Laurent DOMBRET, Myriam FIALA, Simeon KOFFI, Pierre PERROT et Paul SANTUCCI pour des nombreuses corrections de coquilles et des échanges intellectuels stimulants. Enfin, je remercie André CABANNES pour sa versions de ce cours. relecture d’une des premières 4 Sommaire Première partie : L’ère préindustrielle

Il en reste sans doute encore trop, du seul fait de mon ignorance. D’ailleurs, ainsi que le dit très justement le proverbe « Bien des élèves sont supérieurs à leurs maîtres ». Je remercie également Laurent DOMBRET, Myriam FIALA, Simeon KOFFI, Pierre PERROT et Paul SANTUCCI pour des nombreuses corrections de coquilles et des échanges intellectuels stimulants. Enfin, je remercie André CABANNES pour sa versions de ce cours. relecture d’une des premières 4 Sommaire Première partie : L’ère

retrouve tout naturellement dans la haute administration. Tout du moins jusqu’à ce que les Médicis reconquièrent Florence en 1512. Mais Machiavel retourne sa veste sans problèmes, et en 1513 rédige un petit livre dédié « A Laurent le Magnifique, fils de Pierre de Médicis » (on peut lire la dédicace de l’ouvrage) : Le Prince. Malheureusement pour lui les Médicis ne mordront pas à l’hameçon. Il se réfugiera alors dans une carrière plus strictement littéraire, non sans continuer à conspirer pour la république

limite de la survie même du sujet qui parle. Entre rapports de force et relations de vérité, ce discours établit un lien fondamental. C’est-à-dire encore que l’appartenance de la vérité à la paix, à la neutralité, à cette position médiane dont Jean-Pierre Vernant 10 a montré combien elle était constitutive de la philosophie grecque, au moins à partir d’un certain moment, se dénoue. Dans un discours comme celui-là, d’une part on dira d’autant mieux la vérité que l’on est dans un 10 Cf. J.-P. Vernant