Pierre Mendès France

les aspects positifs de cette république éphémère. C'est ainsi qu'en 1983, l'historien Jean-Pierre Rioux estimait que « les Français pourraient peut-être admettre enfin que ce régime faible et méprisé n'a pas tout à fait démérité ». I. « Un régime faible et méprisé » A. Les faiblesses institutionnelles 1. L'absence de consensus originel Le rétablissement de la République dans la France libérée en 1944, avait été suivi d'un débat constitutionnel passionné, ( 2 assemblées constituantes

1946 qui ôte au président les pouvoirs dont il n'avait plus l'usage. B. Soumission de la fonction gouvernementale La gouvernement va, comme le président de la République, se trouver entièrement à la merci du Parlement. Ce qui fera dire à Pierre Mendès France que «le gouvernement rend compte à l'assemblée comme le serviteur à son maître ». Plusieurs mécanismes vont contribuer à soumettre le gouvernement aux chambres. Annonce des sous-parties 1° Mise en pratique du parlementarisme moniste : le

Depuis plusieurs siècles à travers bouleversements, crises et révolutions, la France est à la recherche d’institutions durables. En effet, elle à connue plusieurs régimes politiques mais c’est au régime de la IVème république qui sera étudier ici. Contexte : La Quatrième République est le régime républicain en vigueur en France du 27 octobre 1946 au 4 octobre 1958. Elle est instituée après la libération de la France de l'occupation nazie (1944-1945). En effet, après la libération, le régime

ou la Toussaint Rouge est le nom donné en France et ayant eu lieu le 1er novembre 1954, jour de la fête catholique de la Toussaint. Les insurgés dénoncent la colonisation et réclament l’indépendance du pays. Nous verrons dans un premier temps comment la France ne parvient plus à s’imposer, même par la force, toute tentative de réforme va être illusoire. Dans un second temps nous présenterons l’événement et la réaction de la métropole. I) La France ne parvient plus à s’imposer, même par la force

droites conservatrices. L'année 1953, où il quitte le gouvernement de René Laniel et prend la direction de son parti, l'U.D.S.R., sur une ligne de gauche, marque de manière claire et définitive son passage à gauche – il participera aux gouvernements Mendès France en 1954 et Mollet en 1956. Ce passage, toutefois, ne constitue pas une rupture totale avec les valeurs de son milieu d'origine. La tonalité anticapitaliste du programme commun et son vaste programme de nationalisations puis les mesures des gouvernements

L’Inde devient alors un Dominion. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, fort de son statut de puissance victorieuse et inoccupée, le Royaume- Uni est prêt à renoncer à sa souveraineté politique tout en gardant les intérêts commerciaux. La France est loin de laisser son empire. Traumatisme de 1940 et se rattache à la seule grandeur qui lui reste : son empire. L’opinion française veut garder l’empire. Malgré les promesses de réforme annoncée lors de la conférence de Brazzaville (1944), au Congo

1BTS MUC Introduction : Pierre Mendès France ancien député, ministre du Front Populaire, de De Gaulle et du socialiste Guy Mollet, était un homme politique métrisant l'économie. Ces nombreuses questions et réflexions au sujet de l'emploi, budget, fiscalité,finance et Europe n'ont perdu de leur actualité, bien a contraire ces sujets sont en effet bien actuel. Le déficit budgétaire contre le chômage - regret que les économistes ne puissent expliquer et lutter contre

Introduction : Jean Pierre Rioux est un historien français né en 1939. Il s’intéresse surtout à la période contemporaine de la France sur le plan politique et social. Dans son ouvrage intitulé La France de 1939 à nos jours, il consacre un chapitre entier à Pierre Poujade et au mouvement dont ce dernier est l’instigateur, le poujadisme. Dans ce chapitre, qui a pour titre La révolte de Pierre Poujade, Jean-Pierre Rioux s’interroge d’une part sur sa personnalité en donnant ses principaux éléments

citoyenneté française et est représentée au Parlement, a donné assez de preuves de son attachement à la France pour que la France ne laisse pas mettre en cause son unité [ ... ]. Jamais la France, jamais aucun Parlement, jamais aucun gouvernement ne cédera sur ce principe fondamental. L'Algérie c'est la France, et non un pays étranger que nous défendons. » Déclaration de Pierre Mendès France, chef du gouvernement français, devant l'Assemblée nationale, 12 novembre 1954i[ Document 5 : La

l'AN) et il y a 200 députés (ex de l'ass de 1956) qui sont hors du jeux gouvernemental, càd qu'ils ne peuvent / souhaitent pas appartenir à une majorité. (particulier à la IVè Rép, pas en III ni en V) Il y a 150 députés communistes (1er partis de France ds ces années, 25% électorat qui vote communiste sous IVè) mais ne veulent pas participer au gvt (contre le système mais sont ds le système car élus) et à côté de ce parti communiste, il y a 50 poujadistes (extrême droite d'auj) dc au total 200.