Pierre ou les Ambiguïtés

symbolique de l’antiquité, qui tournait autour de trois pôles, le blanc représentait l’incolore, le noir était grosso modo le sale et le rouge était la couleur la seule digne de ce nom. La suprématie du rouge s’est imposée à tout l’occident Ambiguïté de la couleur rouge : 1. Le rouge est associé depuis le fond des âges au sang & feu, à la vie et à la vigueur, à l’autorité & à sa beauté 2. Le rouge feu, c’est la vie ; mais c’est aussi la mort, l’enfer, les flammes de Satan qui consument et anéantissent

tombe entre ses cuisses puis se prolonge et s’entremêle entre quelques barreaux. Son visage n’a pas vraiment d’expression, on ne sait pas si ses yeux son ouverts ou fermés, ses cheveux sont déployés autour de sa tête. Il s’agit d’un bas relief en pierre de la représentation inhabituelle et très rare du martyre de Saint-Georges qui est un martyre du IVe siècle, saint patron de la chevalerie de toute la chrétienté (ordre du Temple, ordre teutonique, ordre de la Jarretière, ordre de Saint-Michel et

lien qui l’unit à Cléanthis pour voir dans cet « amour» un divertissement sans conséquence? Ou faut-il entendre le mot « force » comme l’aveu de la brutalité toute physique qui préside aux rapports entre les puissants et leurs inférieurs? Cette ambiguïté donne au badinage bouffon une inquiétante profondeur, en laissant percevoir sous ce jeu une sinistre réalité. Déjà, les regards croisés des deux complices avaient, dans la didascalie, paru lourds de sous-entendus. V - UN AMOUR RAISONNABLE Néanmoins

Bachelard – La poétique de l’espace Intro : -L’image poétique échappe à la causalité -La considération du départ de l’image dans une conscience individuelle peut nous aider à restituer la subjectivité de l’image. -Pierre-Jean Jouve « la poésie est une âme inaugurant une forme » -L’image poétique est une émergence du langage. Chapitre 01 : La maison. De la cave au grenier. Sens de la hutte -Peut-on dégager une essence intime et concrète des maisons que nous avons habité, qui soit une justification

dans une publication de John von Neumann. Les idées de la théorie des jeux sont ensuite développées par Oskar Morgenstern et le même John von Neumann en 1944 dans leur ouvrage Theory of Games and Economic Behavior. Interprétations : Il existe une ambiguïté sur les interprétations possibles de la théorie des jeux et notamment sur le fait que la théorie des jeux soit une théorie normative ou une théorie descriptive5,6. Von Neumann et Morgenstern décrivent la manière dont des joueurs rationnels se comporteraient5

sein de l’association Entreprise & Personnel auprès d’une dizaine d’entreprises utilisatrices de ces nouveaux progiciels et de l’analyse des discours au travers desquels les éditeurs promeuvent leur offre (6). Nous formulons l’hypothèse que cette ambiguïté est inhérente à la tension contrôle/autonomie qui constitue le fondement de l’intégration informatique. UNE TECHNOLOGIE INVISIBLE POUR GÉRER LES CONTRADICTIONS INTERNES DES GRANDES ORGANISATIONS Comment aborder les progiciels intégrés, comprendre

puis inventer un personnage maléfique. Inventer des formules magiques (les répétitions, les ritournelles…) Ses pouvoirs sont-ils limités? Si oui, comment et pourquoi ? (ex. La sorcière de la rue 1    Mouffetard et autres contes de la rue Broca, Pierre GRIPARI). Production d'écrit : Alors que tu joues tranquillement dans ton jardin, la Grandissime Sorcière surgit devant toi. Raconte ce spectacle terrifiant en te servant nécessairement des mots suivants : pousser un cri _ sursauter _ frissonner _

syndicalisme, par ouvriérisme, il a combattu la participation à la défense de Dreyfus mais plaident en sa faveur sa conception de l’égalité homme-femme comme sa volonté de combiner conquêtes partielles et projet global. Encore faible, en raison des ambiguïtés de l’Encyclique Rerum Novarum (1891), qui met sur le même plan syndicat mixte (patrons / ouvriers) et syndicat spécifique (propre à chaque groupe social), le syndicalisme chrétien débute en 1887 chez les employés. Des catholiques, comme Charlemagne

aventures : « Le sentiment que peut avoir le lecteur vient, en fait, non pas d'une véritable absence de la femme, mais d'une présence ambiguë, à éclipses, et qui peut laisser sur sa faim, lui communiquer une sorte d'insatisfaction […].[3] » Cette ambiguïté se concrétise d’ailleurs totalement dans le personnage d’Aouda : celle-ci, quoique présente dès le premier tiers du roman et très régulièrement mentionnée par le narrateur, n’occupe qu’un rôle superficiel, sans véritable importance. Elle ne sert

l'espionner, d'abord par le truchement d'un page (à la scène 3 de l'acte I) puis personnellement (scène 6 de l'acte III). Quand à la marquise elle-même, ne profite t-elle pas de sa relation avec le duc pour tenter d'imposer ses conceptions patriotiques ? Pierre quand à lui, emporté par sa fougue, semble mu par la volonté de prendre le contrôle des républicains et de Florence, en s'emparant du statut de son père (« dites que Strozzi viendra », scène 8 acte IV). Les personnages n'hésitent donc pas à utiliser