Pierre Paul Rubens

Le «Baroque» était à l'origine un terme péjoratif désignant une chose extravagante et d'une complexité artificielle. Ce terme provient du portugais «barocco» et désigne à l'origine, en joaillerie les perles de formes irrégulières en une pierre mal taillée. Le baroque était donc l'anormal, l'exubérant, voire le décadent. Ce n'est qu'au début du 20e s que les historiens de l'art en ont fait un concept d'esthétique générale appliqué au style brillant de la période qui s'étend entre la Renaissance

littérature : le thème de l’éducation et l’utopie La perspective et l’espace dans l’art des jardins aux XVe et XVIe siècles La musique à la conquête de son autonomie Le Baroque Le temps des incertitudes : le souffle baroque au théâtre et dans la poésie Rubens. La résistance au Baroque. Les Vénitiens La musique au service de l’émotion avec Monteverdi Le Classicisme Molière et la comédie, Racine et la tragédie. L’apologue à travers les fables de La Fontaine et les contes de Perrault Nicolas Poussin – Claude

d'Arabe". 1 . Voir notre contribution à Le Maghreb dans l'imaginaire français. ouvr. coll. (Aix-enProvence, Edisud, 1985), pp. 195-214. et le premier volume de notre thèse : Littérature judéo-maghrébine d'expression française (Montpellier, Université Paul Valéry, juin 1990), et en microfiches : Atelier national des Thèses, Lille III, 1990, réf. 1540.10356/90. 2 . Paris, L'Harmattan, 1991, 288 p.. 8 Introduction Peu de bibliographies de la culture et du vécu juifs en Afrique du Nord avaient

Artaud, Le Théâtre et son double (1938), p. 189 – Pierre Larthomas, Le Langage dramatique (1980), p. 201 • La littérature étrangère : – Léon Tolstoï, Anna Karénine (1877), pp. 174-175 – Edward Bond, Rouge noir et ignorant (1985), pp. 194-195 • Le théâtre moderne du xxe siècle : – Jean Genet, Les Bonnes (1947), pp. 138-139 – Samuel Beckett, Fin de partie (1957), pp. 140-141 – Jean Cocteau, La Machine infernale (1934), pp. 190-191 – Jean-Paul Sartre, Les Mouches (1943), pp. 192-193 – Edward

françaises en Minorque et Amérique du Nord, a vu une défaite française , avec la supériorité numérique Colombie (à environ 50 000 plus d'un million de colons français) conquérir non seulement la Nouvelle-France (à l'exclusion des petites îles de Saint-Pierre et Miquelon ), mais aussi la plupart de la France Antilles (Caraïbes) colonies, et tous les Indiens avant-postes français . Bien que le traité de paix a vu les Indiens avant-postes de France, et les îles des Caraïbes de la Martinique et la Guadeloupe

pour la couleur, il est jeune (dandy), artiste un peu plus tourmenté. Son ennemi : Ingres, lui préférait le dessin, très précis. Il était plus vieux que Delacroix et avait plus de vécu (médailles, légion d’honneur..). Le maître de Delacroix était RUBENS (peintre flamand) connu pour sa couleur et les femmes qu’il représentait assez dodues. Les 2 (Delacroix/Ingres) exposent au Salon et ont chacun leurs partisans. Delacroix « La Mort de Sardanapale » a choqué car on se retrouve en face d’une femme

des classiques. Cette vision est exprimée par de nombreux penseurs de la Renaissance appelés humanistes. 4 L'HUMANISME L’humanisme est une autre rupture culturelle avec la tradition médiévale, voire la plus importante. Selon le chercheur américain Paul Oscar Kristeller, ce terme, souvent mal interprété, signifie une tendance générale de la Renaissance à « attacher la plus grande importance aux études classiques et à considérer l’Antiquité classique comme le standard et le modèle communs par lesquels

Antonin Artaud, Le Théâtre et son double (1938), p. 189 – Pierre Larthomas, Le Langage dramatique (1980), p. 201 • La littérature étrangère : – Léon Tolstoï, Anna Karénine (1877), pp. 174-175 – Edward Bond, Rouge noir et ignorant (1985), pp. 194-195 • Le théâtre moderne du xxe siècle : – Jean Genet, Les Bonnes (1947), pp. 138-139 – Samuel Beckett, Fin de partie (1957), pp. 140-141 – Jean Cocteau, La Machine infernale (1934), pp. 190-191 – Jean-Paul Sartre, Les Mouches (1943), pp. 192-193 – Edward Bond

des sujets militaires. A l’âge de 25 ans il part en Italie et y découvre les peintres de la renaissance. Il est alors particulièrement impressionné par les œuvres de Michel Ange. Il admire également un autre grand peintre , le maître flamand Pierre Paul Rubens. De retour en France , il s’intéresse et peint un événement historique et politique d’actualité. Il peint alors « Le Radeau de la Méduse ». Je vais donc vous raconter le côté historique de ce tableau. En 1816, après la défaite de Waterloo

des expos et Salons comme une stratégie pour s’imposer : il le fait par des moyens comme choisir de s’imposer au Salon de 1822 : il expose un tableau qui frappe par sa taille et par son sujet, par son traitement : par sa nouveauté de la peinture. Rubens devient un maître pour Delacroix : Delacroix cherche sa voie dans l’enseignement d’une peinture qui n’était pas à la mode à l’époque (Ingres = élèves de David). : puissance de la couleur, modelés, mouvements. Amie de Delacroix : Georges Sand : GS