Pilastre

symbolique : lien entre terre et ciel, la divinité communique avec la ziggourat. Matériau : brique crue comme il n'y a pas de pierre dans le pays de Summer. Brique crue dans de petits moules en bois. Beaucoup de main d'oeuvre car beaucoup de brique. Pilastre et redan : fonction esthétique. On le retrouvera en Egypte aussi et inspiré des constructions en roseau. Cette transposition de matériau organique et matériau dur c'est un phénomène qu'on retrouvera aussi en Egypte. Ces constructions au fil des siècles

toit d’ardoise. La façade du côté jardin est classique à trois étages. Le deuxième niveau (occupé par la galerie des Glaces) est éclairé par de hautes fenêtres encadrées par des colonnes engagées ou pilastres (c’est un support carré terminé par une base et par un chapiteau). On retrouve des pilastres au dernier étage. Au sommet du bâtiment, il y a une balustrade qui cache le toit très aplati (toit à la Mansart). Le “château vieux” et le “châteaux neuf” forment un plan grossièrement en U. Et deux

l'illustration d'un passage de John Milton, le grand poète anglais auteur du Paradis perdu, évoquant l'assemblée de tous les démons: "Soudainement surgi de la terre, comme dans une exhalaison d'immenses constructions [...] construit comme un temple, avec des pilastres tout autour, élevé, surmonté de colonnes doriques, avec une architrave dorée [...]. Ni Babylone ni le Caire, dans toute leur gloire, ne l'égalèrent en magnificence." C'est le souffle démoniaque qui exhausse brusquement l'immense construction dominant

salle. Le temple D d’Uruk est le plus vaste de la Mésopotamie ancienne. Le chevet est élargi par une nef transversale qui précède la cella allongée. Une chaîne de pièces secondaires entoure la cella. Les murs extérieurs épais sont rehaussés de pilastres et creusés de six niches profondes. Axialité et symétrie déterminent la composition générale. Le temple de Tell Asmar reprend le principe de la maison à plan carré où les chapelles représentent des cellas en longueur avec une entrée latérale.

bronze (lance, épée etc.) Premier exemple d’œuvre polychrome de la période Moderne. Cette œuvre est une ronde-bosse en marbre = œuvre autonome, on peut tourner autour car elle n’est pas attachée au fond. Située dans une niche peu profonde avec des pilastres d’ordre corinthiens, bas relief en marbre. Le bas relief = scène de la vie de St George combattant le dragon pour sauver la princesse de Cappadoce 39cm de haut sur 120cm de large conservée au Bargello. Sur la façade de l’Eglise on trouve une copie

théoriquement ce qu'ils faisaient en pratique, L'émergence des panneaux flottants visait à articuler l'espace fluide en le canalisant dans un cadre linéaire en acier. ce sont les éléments de construction qui sont ornementaux-les cadres, les moulures, les pilastres et les architraves qui renforcent les formes et identifient l'espace clos-tandis que les surfaces sont le contexte neutre. La décoration favorise l'environnement disponible et changeant. L'art dit publicitaire L'expansion urbaine et la structure

une redécouverte de l’architecture gréco-romaine. Divers artistes tels Brunelleschi, Palladio et Michel-Ange s’inspirent librement de l’Antiquité et l’on voit apparaître sur les édifices les éléments typiques de cette période : colonnes, frontons, pilastres, arcs en plein cintre, etc. C. Vision optimiste de l'homme Par ailleurs, les Humanistes désirent véhiculer une vision optimiste de l’homme. Pic de la Mirandole, tout comme les autres, croit à la grandeur de l’Homme, dont la beauté est le reflet

glorification. La construction change, au lieu d’aligner les fenêtres à intervalle régulier, on les dispose en groupes séparés par des espaces de largeurs variables. La décoration sculptée s’enrichit, on dote les fenêtres de socle, de colonne et de pilastre et on les couronnait d’architrave, de cintres ou de frontons triangulaires. Pareil pour les portails et les corniches. La volonté de construire à partir du centre de l’édifice en faisant transparaitre l’organisation architectonique s’imposa.

déambulatoires apparaissent comme à Saint Etienne de Vérone ou la cathédrale d’Ivrée. Au niveau de la décoration, on observe peu de figuration sculptée ; la pierre est ajustée mais non polies. Au niveau de la décoration des murs extérieurs, les pilastres lésènes et festons lombards apparaissent. Le deuxième âge de l’art roman, son apogée, est atteint entre l’essor 1150. En provenance de la France, il se transmet principalement autour des chemins de pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle. Le

temples imitaient la simplicité du plan du mégaron mycénien Ce quiexplique qu’ils aient eu seulement deux colonnes sur la façade. On les décrit comme" des" temples-in- antis, parce que leurs deux colonnes se trouvent entre les antes, soit les deux pilastres qui prolongent les murs latéraux formant l’entrée. Puis, après un rajout de deux autres colonnes, on les qualifie de prostyles, (en grec, proH signifie en avant, et stylos,lacolonne)."Plus" tard, cet agencement de quatre colonnes-in-antis ayant