Pilotis

PALLADIO Andrea (1508-1580), Les Quatre Livres de l’architecture, Paris, Arthaud, 1980 [1re éd. italienne, 1570], coll. « Architectures », Livre deuxième, chapitre III. 6 étages de cellules, couronnés par une terrasse, sont alors portés par des pilotis dont les hauteurs varient pour s'adapter au profil du terrain tout comme le nombre des étages dévolus aux diverses salles d'étude et pièces de service situées sous les cellules, nombre qui passe de un à trois du haut au bas de la pente 16. Entre le

que cela reste incroyable. Le capitaine du village s’est construit une case lacustre, copie de celles qu’il a vue dans les marigots de rives du Pindaré où les cultivateurs de riz, pendant les mois de pluie, ne peuvent vivre que dans des cases sur pilotis et ne se déplacent qu’en barque. Cet homme a fait preuve d’une grande habilité et il a même fabriqué un escalier de quatre marches pour accéder à son nid. 1.- LA VIE QUOTIDIENNE a) Les cases Les cases des Urubus ont des toits

éléments horizontaux et verticaux en bois. Cette utilisation du bois dans les constructions remonte à près de 20.000 ans. Aujourd’hui dans le monde, il reste encore les traces de l’histoire de la construction de bois : maisons à colombage, restes de pilotis vieux de 6000 ans dans les lacs alpins, … Depuis, les méthodes de construction n’ont cessé de se diversifier et de s’améliorer pour aboutir aujourd’hui à un véritable marché de la  « construction-bois », actuellement en pleine expansion.

du Rouge et le Noir ne se limite pas à ces sinistres faits divers. Comme il l’explique à Balzac dans une célèbre lettre écrite en 1842, Stendhal a cherché à y mettre en scène un grand nombre de « petits faits vrais » : ceux-ci constituent les « pilotis » sur lesquels repose son œuvre. Il y peint donc « la France telle qu’elle est en 1830 », en retraçant le parcours de Julien Sorel, un « fils de charpentier » mené par l’ambition, qui a pris « la résolution inébranlable de s’exposer à mille morts

toute cette vie qu’il avait perdue à cause de l’accident était revenue pendant son sommeil. Alors, il poussa un cri de joie et sortit de la maison en courant. Mais son cri se transforma en hurlement de terreur. La maison était haut perchée sur des pilotis : il venait de se précipiter dans le vide. Afrique ferma les yeux et attendit le choc. Mais il se passa autre chose. Deux énormes bras, d’une force incroyable, l’attrapèrent au vol, et il se sentit écrasé contre une poitrine aussi large, velue et

développement économique ont souvent mis de côté le respect de l’environnement et en subissent les conséquences à l’heure actuelle (destruction liée à une mauvaise protection antisismique, « tsunami » causé par le manque de barrage car les constructions sur pilotis grignotent les berges). Les arbres sont très respecté au Japon, on ne peut les couper. G) Us et coutumes • Rue : Elles n’ont généralement pas de nom sauf les avenues et grandes rues construites récemment. Il est très difficile

n’assure pas leur rôle. Ce contreventement est facile à représenter : une simple boite d’allumette. Afin d’éviter les effets de cisaillement, il faut superposer les ouvertures (fenêtres, portes, etc.). De même, si des bâtiments sont placés sur des pilotis, ou que le rez-de-chaussée présente des colonnades, il faut que les colonnes soit larges, afin de pouvoir supporter les secousses produites lord d’un tremblement de terre. Enfin, même les éléments structuraux peuvent engendrer des dégâts. C’est

par Le Corbusier, le cubisme va trouver une prolongation dans cette architecture géométrique et pure. Désormais le plan est libre, les toitures sont plates et plantées, les volumes « flottent », posés sur de fins pilotis car, selon Le Corbusier : « Le ciment armé nous donne les pilotis. La maison est en l’air, loin du sol ; le jardin passe sous la maison ». La façade perd sa fonction porteuse, les baies peuvent s’étendre, s’allonger sur toute la façade. Une nouvelle hiérarchie architectonique Le

dans un cercueil vitré, protégé en permanence par deux gardes. MAISON DE HO CHI MINH A quelques pas de l'imposant mausolée d'Ho Chi Minh, se trouve la petite maison dans laquelle Ho Chi Minh a vécu quatre années, entre 1954 et 1958. Elevée sur pilotis, elle est dotée d'un charme tout particulier (situé près d'un très joli lac, au cœur d'un vaste parc), et surprend le visiteur de par sa modestie. En effet, seules deux petites pièces toutes simples la composent, et notamment le bureau sur lequel

relativement éphémère (matériau fragile, en proie aux incendies, insectes, raz-de-marées). Des «édifices de valeur architecturale» dont on conserve la description. 16 églises classées Patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO. Palafitos, constructions sur pilotis, en bord de mer, avec une ouverture sur la mer et une sur la terre (la rue). Peu d’innovation architecturale jusqu’aux années 1970. Importations et adaptation très lente des formes de bâti du continent, avec toujours la même démarche : «l’effort ininterrompu