Pisistrate

olympiques), pour commémorer la victoire de la déesse sur le géant Aster.Thésée, fondateur de l'unité attique, en aurait fait la grande fête nationale, commune à tout le peuple nouveau. L' Hippoclide, six ans avant l'établissement de la tyrannie de Pisistrate. donc en 566, réglementa la fête et en accrut beaucoup l'éclat, surtout en y introduisant les jeux gymniques; il y fit une place aux cités étrangères; enfin Périclès y ajouta les jeux musiques.  On distinguait les Grandes et les Petites Panathénées

2°3 1. Ses origines sont complexes. Le théâtre participe à la cérémonie religieuse. Sur une aire séparée du public, un ou plusieurs officiants miment avec leur corps et leur voix une histoire.Le théâtre serait né, vers 550 av. J-C, lorsque Pisistrate, tyran régnant à Athènes, associa au Dithyrambe un groupe de comédiens dirigés par Thespis qui passait d’un village attique à l’autre pour représenter les héros grecs. Thespis aurait eu l'idée, de faire dialoguer un acteur avec le chœur, introduisant

instrumentalisation du peuple II – Une institution détournée de son but originel 1 – L’origine de la loi sur l’ostracisme La lutte contre la tyrannie – « sans attirer l’attention » Référence au tyran qui prend le pouvoir par la force Cf. Pisistrate et ses fils (560-510 avant J.C) = Clisthène en 508 avant J.C – instauration de l’ostracisme pour prévenir la tyrannie 2 – L’ostracisme devenu instrument dans les conflits politiques dans l’Athènes démocratique a) Peuple contre élite « jalousie »

grecque I) Histoire et définition Le genre tragique trouve son origine en Grèce antique. La date précise de la naissance de ce genre est inconnue. On sait néanmoins que le premiers concours tragique des dionysies se situe vers 534 sous Pisistrate et la première tragédie conservée « les perses » d'Eschyle date de 572. Mais il n'est pas le premier auteur tragique. Il fut précédé de Thespis, Pratinas et Phrynicos. Représentation théâtrale aux origines religieuses indéniables, la tragédie grecque

demandent un roi » Alors qu’Athènes florissait sous des lois égalitaires, les agitations d’une liberté turbulente mirent le désordre dans l’Etat, et la licence relâcha les vieilles entraves. Grace à une entente entre les hommes des différents partis, Pisistrate, usurpant l’autorité, s’empare de la citadelle. Les Athéniens déploraient leur funeste esclavage, non que ce maître fût cruel, mais il leur pesait, parce que, d’une façon générale, ils n’avaient pas l’habitude du joug. Comme ils en venaient à se

ont connu de longue tyrannie : Corinthe  2 tyrans successifs : de -655 à -585 Père : Kypselos Fils : Périandre Sicyone  2 tyrans successifs : de -650 à -550 Père : Orthagoros Fils : Clisthène Athènes  3 tyrans successifs : de -560 à -510 Père Pisistrate Fils Hippios Fils Hipparque Cités Ionie  Tyrannie (ex : Milet) Chez les grecs, en même temps rejet et fascination pour la tyrannie. Cette forme de pouvoir a contribué à jeter le discrédit sur toute forme de pouvoir personnel donc aussi sur la

de la démocratie athénienne, car il donne des droits politiques à tous les citoyens. C’est une «démocratie modéré», car c’est le conseil des 400, aristocratiques, qui décide de ce qui va être discuté à l’assemblée. 3. Pisistrate et sa tyrannie * Solon parti Pisistrate prend le pouvoir avec l’appui des citoyens pauvres d’Athènes. Sous sa gouverne, Athènes devient une cité prospère. Mais, il est remplacé par son fils Hippias qui mécontente la population entière. C’est alors que Clisthène met

désigne le bouc, animal traditionnellement associé au dieu du vin). Au cours des fêtes dionysiaques (« les dionysies »), on se livrait à des déclamations de poèmes qui se transforment au fur et à mesure en spectacles. A partir de -560, le tyran Pisistrate intégra aux dionysies un concours théâtral, où chaque auteur faisait représenter trois tragédies et un drame satyrique, ainsi que des comédies. L'évolution de la tragédie Les tragédies ont puisé dans le fonds des épopées, des mythes et des légendes

population obtient un pouvoir quasi-absolu pour améliorer le sort de la populace.Ces tyrans unissent la population à la cité. Ils vont éliminer quelques têtes et redistribuer les terres. PAR EXEMPLE : -Pisistrate (Athènes) -Pittacos (Samos) -Périandre (Corinthe) PISISTRATE (Athènes): Il va créer une monnaie athénienne. Il va utiliser la chouette et du brin d’olivier comme symbole. Donc, fierté identitaire et solidification du commerce athénien. Il va organiser des rituels

souvent par leur propension à réformer, développé et embellir leur cité, comme Pisistrate à Athènes ou Phidon à Argos. C.La dictature à travers l’histoire. La dictature dans l’antiquité : On retrouve les première traces de dictature dans l’antiquité, plus précisément chez les Grecs du 8ième au 5ième siècle avant J.C., ces tyrans étaient souvent des riches nobles qui se défendaient contre une masse prolétarienne. Pisistrate (561-514) est une bon exemple de tyran ; il est un tyran car il confisque