Pissenlit

lapin, une femelle, qui bientôt lui donna toute une portée de lapereaux. Hélas! il n’avait rien pour les nourrir. Il lui vint une idée mirifique. Il proposa à ses petits camarades le marché suivant: s’ils voulaient bien cueillir le trèfle et les pissenlits nécessaires à ses lapins, il donnerait à chaque bête le nom du cama rade en question. Le résultat fut magique! Et Carnegie ne l’oublia jamais. Bien des années plus tard, il usa de la même constatation dans ses affaires. Il voulut obtenir comme client

terre : jusqu’au jour des réparations complètes, ils doivent rester là pour crier vengeance. Rien n’est changé dans ce lieu d’abomination, sauf qu’il ne gèle plus, sauf que le soleil brûle, et que, çà et là, sur le sol poudreux, fleurissent des pissenlits jaunes ou des giroflées violettes. Quant aux grands puits béants que l’on avait comblés avec des cadavres de torturés, le temps a commencé d’y faire son œuvre : les martyrs se sont desséchés ; le vent a jeté sur eux de la terre et de la poussière

fait c’est ce sale petit monde des lièvres qui est mauvais [...]” (p. 44) Cette fois-ci, “sale” a une autre acception, c’est à dire qui peut avoir des conséquences fâcheuses; mauvais, désagréable ou dangereux. Événements “des vers de vase des pissenlits un tas de choses pour amuser les enfants” (p.46) “tas” signifie une grande quantité de choses; “un jeune malade qui crève doucement dans son lit” (p. 46) “crève” pour mourir; “il y a un type qui est noir et qui débloque” (p.46) “débloquer”

histoire de savoir ce que c’est que cette embrouille. Kerry consulta le tableau des horaires. — Le bus ne passe qu’une fois par heure. Et on vient de le rater. Ils s’assirent sur le trottoir, les pieds dans le caniveau. Kerry attrapa un pissenlit qui poussait entre deux dalles de béton et le fit tourner entre ses doigts. — Tu penses que tu vas avoir des problèmes avec GKM ? demanda-t-elle. — J’ai un morceau de papier avec l’adresse écrite de la main de Kelvin. Je vois pas ce qu’ils

LES BESOINS DES ÊTRES VIVANTS ANNEXE 4 : Les plantes autour de moi Nom : _____________________________________ Date : ______________________ Prédictions 1. Dans la cour d’école, je pense qu’il y a environ ____ types de plantes. des pissenlits 2. Je crois qu’il y a __________________, __________________ et __________________. Vérifications 1. Nombres d’échantillons de plantes observé 2. J’ai vu ____________________, _____________________ et ___________________. page

entendit son frère éclater d’un rire moqueur, avant de disparaître dans l’obscurité. — Non mais quel abruti ! grommela James. Rose lui fit signe de se taire. Après un cercle serré, Albus revint sur le terrain et atterrit aussi doucement qu’un flocon de pissenlit. Les Serpentard l’applaudirent, et se resserrèrent pour le féliciter chaleureusement. — Tu as un don, annonça la voix sonore de Tabitha dans le vent. Comme ton père. — Ce n’est pas un don, grinça James entre ses dents. Par prudence, Rose tira sur

gauche, des talus s'élevaient, couverts de petits arbres, entre d'autres plus grands, hêtres et peupliers, aux ombres déjà vigoureuses. La floraison lactée des pâquerettes répandait sur clartés qui se perdait près de ciel. Et sur les berges du pissenlit, la valériane, la lage, la uns traînée de ferme dans le bleu du l'herbe la ruisseau la bardane, le jacinthe sauvage, le popu- renoncule des bois avaient poussé en saines UN MALE ^2 Régulièrement vaches quittaient rétable un peu après

s'il n'existait pas. Elle avait une vue plongeante sur une volée marches qui serpentait jusqu'au pied de la colline et sur route en contrebas, mais, d'en haut, personne ne pourrait voir. Tandis qu'elle s'asseyait, en admirant les sequins d'or s pissenlits qui éclaboussaient la pelouse, elle sentait déjà tension se relâcher. Bon. Sa première matinée de cours avait pas été un triomphe. Et alors ? Elle se rattraperait cet aprés-midi. Avec un ciel d'azur aussi lumineux, comment en 1er? Le rocher

sourire de lassitude. – Cet homme, dis-je, me semblait bien petit. – Regardez par ici, cria-t-il, penché sur la 65 peinture, la sabrant d’un gros doigt rond et velu. Voyez-vous, derrière l’animal, cette plante ? Vous la preniez pour un pissenlit, je suppose ? On pour un chou de Bruxelles ? Ou pour quoi encore ? Eh bien, c’est un arbre, le phitéléphas ou palmier à ivoire, susceptible de croître à la hauteur de cinquante ou de soixante pieds. Ne comprenez-vous pas que ce personnage, à

dis-je. – Regardez ici ! s’écria-t-il en se penchant et en posant sur le dessin un doigt qui ressemblait à une grande saucisse poilue. Voyez-vous cette prolifération arborescente derrière l’animal ? Je suppose que vous vous imaginez que c’est du pissenlit ou des choux de Bruxelles, n’est-ce-pas ? Oui, eh bien ! c’est un palmier d’ivoire végétal, monsieur, qui a près de vingt mètres de haut ! Ne comprenez-vous pas pourquoi un homme a été placé là ? Il a été ajouté, car il n’aurait raisonnablement pas