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Nous allons nous intéresser à L'Avare qui a perdu son trésor qui est la vingtième fable du livre IV de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil, édité pour la première fois en 1668.Cette fable met en scène un avare qui ne fait qu’entasser son argent sans le dépenser et un jour il perdra sa fortune. Il aborde les thèmes de l’avarice, l’argent, le bonheur relatif et le rapport à la vie. Comment cette fable répond t-il aux exigences du classicisme qui est « plaire et instruire »? On sait

comédie. Il enrichit la tradition populaire et littéraire par son talent et sa naïveté. La fable semble le seul genre qui satisfait La Fontaine, étant encore un genre peu déterminé. Il y trouve le conte, la comédie, la nature, puis la morale, ce qui plaît au poète et lui permet de s'investir corps et âme dans son art.Quant à «La cigale et la fourmi» qui est probablement, avec Le corbeau et le renard, la fable la plus connue, tient sa popularité de deux sources: la réussite et l'attention. Dans le premier

commentairecompose.fr http://commentairecompose.fr/les-obseques-de-la-lionne/ Les obsèques de la Lionne, La Fontaine : lecture analytique Voici une analyse de la fable « Les obsèques de la Lionne » de Jean de La Fontaine. La fable « Les obsèques de la lionne » appartient au second recueil des Fables de La Fontaine, publié en 1694. Dans cet apologue audacieux, La Fontaine mêle récit de fiction mettant en scène des animaux et commentaires critiques, suivant la double visée d’instruire et plaire.

contexte, et parmi de nombreuses œuvres, son conte philosophique Candide ou l’optimiste, tient une place non négligeable. Le jeune Candide, engagé dans une recherche picaresque de sa bien-aimée Cunégonde, construit sa réflexion sur notre condition. / L’extrait qui nous occupe est tiré du Chapitre XVIII, où se trouve décrit le monde merveilleux d’Eldorado, en opposition au monde européen. Cet épisode, par la place qu’il occupe au centre du roman, joue un rôle capital dans l’évolution de Candide. // Il est

également écrit des poèmes, des pièces de théâtre, et des livrets d'opéra. Les Fables de La Fontaine regroupent douze livres. « Le Lion et le Moucheron » constitue une fable du livre II, cette fable raconte le mépris du lion pour le moucheron, ainsi le moucheron lui déclare ma guerre. Dans un premier temps nous verrons que cette fable fait le récit d'un combat, puis nous développerons l'idée de la peinture des caractères, dans une troisième partie nous verrons le fait qu'il y ait une double morale

Enfin il conditionne les réactions de son auditoire en réagissant le premier et bruyamment à ses propres discours. d) Les outils de la dénonciation  l'accumulation de verbes finit par signaler une vraie manie (prend la parole, l'ôte, s'oriente, discourt, récite, reprenait le fil de sa narration) + ses paroles envahissent le texte (au discours indirect puis au discours direct) quant les autres se taisent  la longueur des phrases signale son emphase ; la phrase au DD se gonfle

assis. Il est bien évident que je ne fais pas un roman, puisque je néglige ce qu'un romancier ne manquerait pas d'employer. Celui qui prendrait ce que j'écris pour la vérité, serait peut-être moins dans l'erreur que celui qui le prendrait pour une fable. Cette fois-ci ce fut le maître qui parla le premier et qui débuta par le refrain accoutumé. Eh bien ! Jacques, l'histoire de tes amours ? Jacques Je ne sais où j'en étais. J'ai été si souvent interrompu que je ferais tout aussi bien de recommencer

inscrites dans des carrés millimétrés). La langue devient réglementée, des règles de grammaire et d’orthographe sont mises en place. Les latrines sont inventées entre le 16ème et 17ème siècle, alors qu’avant les gens faisaient leurs besoins de partout. La volonté de séparer le sale du peuple devient de plus en plus présente. Biographie cf. feuille b. Le genre de la fable La Fontaine n’est pas le premier à en écrire : Ésope (-6ème), Phèdre (écrivain du 1er), et Pilpay (sage indien légendaire) ont

comédie. Il enrichit la tradition populaire et littéraire par son talent et sa naïveté. La fable semble le seul genre qui satisfait La Fontaine, étant encore un genre peu déterminé. Il y trouve le conte, la comédie, la nature, puis la morale, ce qui plaît au poète et lui permet de s'investir corps et âme dans son art.    Quant à «La cigale et la fourmi» qui est probablement, avec Le corbeau et le renard, la fable la plus connue, tient sa popularité de deux sources: la réussite et l'attention. Dans le

siècle souffre de plusieurs maux, la charge des taxes, la famine et subit un fléau dévastateur : la peste. La Fontaine s’empare alors de ce dernier sujet lui permettant de mettre en scène des animaux dont la justice semble bien douteuse.Dans cette fable, « Les Animaux malades de la peste », les animaux incarnent chacun un aspect de la société identifiable. Le fabuliste narre une situation dramatique : la