Place Léon-Blum

divisent. Les partisans d'une adhésion à la IIIe Internationale communiste, fondée par Lénine, et qui veulent suivre l'exemple des révolutionnaires russes sont majoritaires. Ils créent le Parti communiste. La minorité socialiste, dirigée par Léon Blum, reste à la SFIO. Chaque tendance a son organe de presse: l'Humanité pour la SFIC, le Populaire pour la SFIO. Le plus grand syndicat français, la Confédération générale du Travail, se divise entre une CGT réformiste et une CGTU révolutionnaire

SFIO dans le Nord, et élu conseiller municipal à Lille. Il succède à Gustave Delory comme maire en 1925 ; il est réélu en 1929 et 1935. En même temps député socialiste de 1928 à 1936, il devient en 1936 ministre de l'Intérieur du Front populaire de Léon Blum. C'est lui qui annoncera la signature des accords de Matignon. En raison de son action contre les ligues, des journaux d'extrême droite comme Action française et Gringoire lancent une campagne de diffamation, relayée à la Chambre des députés par

Intervention de Léon Blum au Congrès de Tours (27décembre 1920) Le texte de Léon Blum s’inscrit clairement dans la scission, les socialistes doivent prendre la décision d’adhérer à la III internationale (Kominterm) ou renoncer et rester fidèle à leur politique. Il s’agit d’un texte : Retranscription d’un discours de Léon Blum. Lors du 18 congrès du SFIO du 25 déc. 1920. On réunit des socialistes pour savoir si oui ou non on adhère à la III internationale. Des membres de la SFIO qui sont

gouvernement de Léon Blum se fut en 1936. Suzanne Lacore (mai 1875-novembre 1975), sous-secrétaire d'État à la Santé publique, chargée de la protection de l'enfance du 4 juin 1936 au 21 juin 1937. Irène Joliot-Curie, fille de Pierre et Marie Curie, démontre, avec son mari Frédéric Joliot, l'existence du neutron et découvre la radioactivité artificielle. En 1935 elle partage avec son mari le prix Nobel de chimie. Elle est nommée sous-secrétaire d'État à la recherche scientifique du gouvernement de Léon Blum

gauche (radicaux, socialistes et communistes) s’unissent en vue des élections législatives de 1936 : c’est le Front populaire. Le Front populaire remporte ces élections. Pour satisfaire les revendications sociales des salariés, le gouvernement de Léon Blum signe les accords Matignon, signés entre le syndicat et la patronat qui augmente le pouvoir d’achat , comme le mentionne l’auteur du document 2. Le Parleemnt vote deux lois sociales : l’une institue les les deux semaines de congés payés, l’autre

de la « politique de la main tendue » par MauriceThorez,ledirigeant de la S.F.I.C. Devant ce qu’ils considéraient comme une tentative de renversement de la République par les fascistes, tous les partis de gauche, composé des socialistes (SFIO) de Léon Blum, des communistes de Maurice Thorez et des radicaux de Daladier et Herriot; se rassemblèrent et signent alors des accords électoraux qui leur permettent de remporter largement le élections législatives de 1936 et de former un gouvernement de «Front

Simone Weill sont les humiliations, les rancoeurs et les ameutumes accumulées. La victoire du front populaires est une motivation supplémentaire car ils auront lespoir d un nouveau gouvernement qui va améliorer leur conditions de travail. Mais selon Leon BLUM les occupations d usine sont comme illégal donc il propose que des discussions s ouvreentre ouvrier et patron des usines occupées. Finalement les paysans ont obtenue leurs résultat: la hausse des salaires, 2semaines de congés payés , la semaines

datant de 1936 nous montre le slogan victoire sur la misère, car l’accord de Matignon à étais signé grâce au front populaire, du coup les ouvriers gagnent des acquis sociaux. On en conclu que sans le front populaire , les action de Jean Jaurès , Léon Blum ( président du conseil des ministre du front populaire ) car s’est réformes ainsi que toutes les autres ont permis aux ouvriers une grande avancées sociales comme les congés payés, réduction du temps de travail et le droit d’avoir un syndicat.

du capital et du travail se retrouvent face à face dans la grande salle où siège d’ordinaire le Conseil de Cabinet. A la tête de ceux-ci, et flanqué de Belin et Frachon, Léon Jouhaux, secrétaire général de la C.G.T depuis 27 ans. La discussion, longue, serrée, mais courtoise dans la forme, s'engage sous l'arbitrage de Léon Blum. Puisque la loi va régler le principe des 40 heures, des congés payés et des conventions collectives, c'est sur les modalités de celles-ci, et plus encore sur le relèvement

← Ils forment une alliance appelé Front populaire diriger par Léon Blum ( C.F.I.O ), Maurice Thonez ( P.C.F ), et Édouard Daladier. ← Les accords de Matignon ( 8 juin 1936 ) II. Les espoir du Front Populaire 1. La Victoire électorale ← Le 3 mai 1936, le Front Populaire remporte les élection législative. ← Il détient la majorité absolue a la chambre des députés et Léon Blum devient président du conseil. ← Les grèves joyeuses.