Place Rouge

un 1er plan. Le morcellement est uniforme sur toute la surface du tableau, quelques verticales s’imposent. Les couleurs :jaune, rouge, bleu-violet (primaires) Noir et blanc Certaines sont unies, en aplat (ex : rouge), d’autres nuancées (ex :colonne rose) Vives : rouge, claires : jaune Impressions possibles : profusion, ensemble technique, qui laisse peut de place à l’homme, modernité… En complément, les élèves peuvent remplir la fiche 2 Production plastique : dans une photocopie noir et

possédaient une parfaite maîtrise de la cosmétique : le maquillage était très raffiné et les couleurs utilisées très variées. Mais, pendant longtemps les parfums, onguents, aromates n’étaient utilisés que pour les cérémonies religieuses avant de trouver une place dans la vie quotidienne égyptienne. Les cosmétiques étaient une source d’embellissement mais possédaient également des vertus thérapeutiques. Ainsi, les fards appliqués sur les yeux contenaient des plantes médicinales permettant de soigner et d’éviter

chaudes et froides à la fois. Le rouge a une place importante dans le tableau, elle recouvre tout l’arrière plan. Elle témoigne la période de guerre. Le blanc va venir contraster avec rouge, le blanc qui a pour signification dans ce contexte, de paix. La blouse roumaine démontre le pacifisme de la femme qui la porte. Le visage de la femme est d’un rose qui tend vers le rouge, elle sentirait dépassée par cette guerre. Sur sa blouse, il ya deux grandes branches tachées de rouge, ca signifierait que deux

quatrain v.1 à 6. Dès le v.1, la métaphore "les crachats rouges" donne le ton du poème. Pour insister sur un mot en poésie, on le place soit au début, soit à l'hémistiche ou soit à la fin du vers. Importance de la place de "crachat". Un mot aux sonorités dures, terme très vulgaire et trivial, qui évoque le désagréable, le dérangement et le réalisme. "Crachat rouge" évoque le sang, opposition entre le ciel bleu…, l'or, le vert. Le canon crache du feu en 1870. Le mal a la couleur du feu, du sang

découvrir l'intérieur. J'ai vu des grains rouges, brillants et juteux, serrés dans des alvéoles, au goût acidulé et sucré. Le rouge c'est une des trois couleurs primaires. Symbole de vie (le sang qui nourri notre corps, nos émotions : nos joues colorées en rouge), de mort (le sang versé, la mort biologique, le désespoir et le repli sur soi), d'amour de beauté (la rose rouge que j'ai reçue lors de mon initiation , beauté de l'âme, ) , chaleur (les flammes de l'âtre, déclarer sa flamme mais aussi les

raisonnable, le lieu Indifferent. La propriétaire a juré qu'elle vivait Pas sur place. Il ne restait rien Sauf l'auto-confession. « Madame, » J'ai prévenu, «Je déteste un voyage perdu - je suis - africain.» Silence. Le silence de transmission Pressurisée bonne éducation. La voix, quand il est venu, Le prix semblait raisonnable, le lieu             Indifférent. La propriétaire a juré qu'elle ne vivait             pas sur place. Il ne restait rien             Sauf l'auto-confession. «Madame,» J'ai

qui crache du feu. La couleur « rouge » renforce cette idée de violence et de passion destructrice que peuvent avoir les politiques pour affirmer leur pouvoir. C’est en effet Napoléon III qui commandite cette guerre franco-prussienne. Le rejet du verbe « sifflent » au vers 2, met en exergue la monstruosité de la guerre qui occupe « tout le jour par l’infini du ciel bleu ». On note bien l’opposition entre les couleurs puisque le bleu du ciel est confronté au rouge du feu et du sang (même le Ciel

Kandinsky, philosophe de l'abstraction (II) Jaune - rouge - bleu (1925 - Wassily Kandinsky) Paru en décembre 1911, Du Spirituel dans l’art, est un ouvrage théorique signé par le peintre russe Wassily Kandinsky dans lequel il avance une riche palette de propositions composant un précis des formes et des couleurs, mêlant physiologie et psychologie, détaillant sa conception de « l’art total », évoquant le « tournant spirituel » à l’œuvre dans l’approche syncrétique des religions, proposant l’analyse

Cet effet graphique incitant le lecteur a poursuivre sa lecture et se laisser guider au cours des rebondissements. Cet effet place également le lecteur dans l’ambiance folle et joyeuse du texte et le met en situation pour s’imaginer au mieux la scène et rentrer au mieux dans sa conception. A l’inverse , la seconde partie occupant les lignes 22 jusqu’a la fin , ne comporte qu’un

de mise dans l'œuvre La Guerre, célèbre triptyque réalisé entre 1929 et 1932 soit 10 ans après l'armistice. Ce tableau se présente sous une forme originale appelée triptyque qui est l'association de trois panneaux à l'horizontale et d'un panneau placé verticalement en dessous du panneau central. Cette forme est généralement associée à des œuvres religieuses en général chrétiennes comme le retable d'Issenheim de Mathias Grünewald. Ces triptyques ont toujours un sens de lecture allant de gauche vers